DerniĂšremise Ă  jour des donnĂ©es de ce texte : 26 aoĂ»t 2021 Replier TITRE III : MOBILISER L'ATTRACTIVITE AU SERVICE DE LA CROISSANCE (Articles 109 Ă  144) DĂ©plier CHAPITRE IER : DEVELOPPER L'ACCES AU TRES HAUT DEBIT ET AU NUMERIQUE SUR LE TERRITOIRE (Articles 109 Ă  120) VIII.-1.L'abrogation de Le Code de la consommation regroupe les lois relatives au droit de la consommation français. Gratuit Retrouvez l'intĂ©gralitĂ© du Code de la consommation ci-dessous Article L121-1 EntrĂ©e en vigueur 2016-07-01 Les pratiques commerciales dĂ©loyales sont interdites. Une pratique commerciale est dĂ©loyale lorsqu'elle est contraire aux exigences de la diligence professionnelle et qu'elle altĂšre ou est susceptible d'altĂ©rer de maniĂšre substantielle le comportement Ă©conomique du consommateur normalement informĂ© et raisonnablement attentif et avisĂ©, Ă  l'Ă©gard d'un bien ou d'un service. Le caractĂšre dĂ©loyal d'une pratique commerciale visant une catĂ©gorie particuliĂšre de consommateurs ou un groupe de consommateurs vulnĂ©rables en raison d'une infirmitĂ© mentale ou physique, de leur Ăąge ou de leur crĂ©dulitĂ© s'apprĂ©cie au regard de la capacitĂ© moyenne de discernement de la catĂ©gorie ou du groupe. Constituent, en particulier, des pratiques commerciales dĂ©loyales les pratiques commerciales trompeuses dĂ©finies aux articles L. 121-2 Ă  L. 121-4 et les pratiques commerciales agressives dĂ©finies aux articles L. 121-6 et L. 121-7. 11 - Le refus de vente est sanctionnĂ© pĂ©nalement. "Il est interdit de refuser Ă  un consommateur la vente d'un produit ou la prestation d'un service ()" ( article L. 121-11 du code de la consommation ). En d’autres termes, le professionnel ne peut, au nom de sa libertĂ© contractuelle, refuser que vous achetiez un produit ou un service Sont rĂ©putĂ©es trompeuses au sens de l'article L. 121-1 les pratiques commerciales qui ont pour objet 1° Pour un professionnel, de se prĂ©tendre signataire d'un code de conduite alors qu'il ne l'est pas ; 2° D'afficher un certificat, un label de qualitĂ© ou un Ă©quivalent sans avoir obtenu l'autorisation nĂ©cessaire ; 3° D'affirmer qu'un code de conduite a reçu l'approbation d'un organisme public ou privĂ© alors que ce n'est pas le cas ; 4° D'affirmer qu'un professionnel, y compris Ă  travers ses pratiques commerciales, ou qu'un produit ou service a Ă©tĂ© agréé, approuvĂ© ou autorisĂ© par un organisme public ou privĂ© alors que ce n'est pas le cas, ou de ne pas respecter les conditions de l'agrĂ©ment, de l'approbation ou de l'autorisation reçue ; 5° De proposer l'achat de produits ou la fourniture de services Ă  un prix indiquĂ© sans rĂ©vĂ©ler les raisons plausibles que pourrait avoir le professionnel de penser qu'il ne pourra fournir lui-mĂȘme, ou faire fournir par un autre professionnel, les produits ou services en question ou des produits ou services Ă©quivalents au prix indiquĂ©, pendant une pĂ©riode et dans des quantitĂ©s qui soient raisonnables compte tenu du produit ou du service, de l'ampleur de la publicitĂ© faite pour le produit ou le service et du prix proposĂ© ; 6° De proposer l'achat de produits ou la fourniture de services Ă  un prix indiquĂ©, et ensuite a De refuser de prĂ©senter aux consommateurs l'article ayant fait l'objet de la publicitĂ© ; b Ou de refuser de prendre des commandes concernant ces produits ou ces services ou de les livrer ou de les fournir dans un dĂ©lai raisonnable ; c Ou d'en prĂ©senter un Ă©chantillon dĂ©fectueux, dans le but de faire la promotion d'un produit ou d'un service diffĂ©rent ; 7° De dĂ©clarer faussement qu'un produit ou un service ne sera disponible que pendant une pĂ©riode trĂšs limitĂ©e ou qu'il ne sera disponible que sous des conditions particuliĂšres pendant une pĂ©riode trĂšs limitĂ©e afin d'obtenir une dĂ©cision immĂ©diate et priver les consommateurs d'une possibilitĂ© ou d'un dĂ©lai suffisant pour opĂ©rer un choix en connaissance de cause ; 8° De s'engager Ă  fournir un service aprĂšs-vente aux consommateurs avec lesquels le professionnel a communiquĂ© avant la transaction dans une langue qui n'est pas une langue officielle de l'Etat membre de l'Union europĂ©enne dans lequel il est Ă©tabli et, ensuite, assurer ce service uniquement dans une autre langue sans clairement en informer le consommateur avant que celui-ci ne s'engage dans la transaction ; 9° De dĂ©clarer ou de donner l'impression que la vente d'un produit ou la fourniture d'un service est licite alors qu'elle ne l'est pas ; 10° De prĂ©senter les droits confĂ©rĂ©s au consommateur par la loi comme constituant une caractĂ©ristique propre Ă  la proposition faite par le professionnel ; 11° D'utiliser un contenu rĂ©dactionnel dans les mĂ©dias pour faire la promotion d'un produit ou d'un service alors que le professionnel a financĂ© celle-ci lui-mĂȘme, sans l'indiquer clairement dans le contenu ou Ă  l'aide d'images ou de sons clairement identifiables par le consommateur ; 12° De formuler des affirmations matĂ©riellement inexactes en ce qui concerne la nature et l'ampleur des risques auxquels s'expose le consommateur sur le plan de sa sĂ©curitĂ© personnelle ou de celle de sa famille s'il n'achĂšte pas le produit ou le service ; 13° De promouvoir un produit ou un service similaire Ă  celui d'un autre fournisseur clairement identifiĂ©, de maniĂšre Ă  inciter dĂ©libĂ©rĂ©ment le consommateur Ă  penser que le produit ou le service provient de ce fournisseur alors que tel n'est pas le cas ; 14° De dĂ©clarer que le professionnel est sur le point de cesser ses activitĂ©s ou de les Ă©tablir ailleurs alors que tel n'est pas le cas ; 15° D'affirmer d'un produit ou d'un service qu'il augmente les chances de gagner aux jeux de hasard ; 16° D'affirmer faussement qu'un produit ou une prestation de services est de nature Ă  guĂ©rir des maladies, des dysfonctionnements ou des malformations ; 17° De communiquer des informations matĂ©riellement inexactes sur les conditions de marchĂ© ou sur les possibilitĂ©s de trouver un produit ou un service, dans le but d'inciter le consommateur Ă  acquĂ©rir celui-ci Ă  des conditions moins favorables que les conditions normales de marchĂ© ; 18° D'affirmer, dans le cadre d'une pratique commerciale, qu'un concours est organisĂ© ou qu'un prix peut ĂȘtre gagnĂ© sans attribuer les prix dĂ©crits ou un Ă©quivalent raisonnable ; 19° De dĂ©crire un produit ou un service comme Ă©tant "gratuit", "Ă  titre gracieux", "sans frais" ou autres termes similaires si le consommateur doit payer quoi que ce soit d'autre que les coĂ»ts inĂ©vitables liĂ©s Ă  la rĂ©ponse Ă  la pratique commerciale et au fait de prendre possession ou livraison de l'article ; 20° D'inclure dans un support publicitaire une facture ou un document similaire demandant paiement qui donne au consommateur l'impression qu'il a dĂ©jĂ  commandĂ© le produit ou le service commercialisĂ© alors que tel n'est pas le cas ; 21° De faussement affirmer ou donner l'impression que le professionnel n'agit pas Ă  des fins qui entrent dans le cadre de son activitĂ© commerciale, industrielle, artisanale ou libĂ©rale, ou se prĂ©senter faussement comme un consommateur ; 22° De crĂ©er faussement l'impression que le service aprĂšs-vente en rapport avec un produit ou un service est disponible dans un Etat membre de l'Union europĂ©enne autre que celui dans lequel le produit ou le service est vendu. Le prĂ©sent article est applicable aux pratiques qui visent les professionnels. Codede la consommation (ancien) Informations Ă©ditoriales. Code de la consommation (ancien) Recherche par : Document - NumĂ©ro d'article. Table alphabĂ©tique. Sommaire . Code de la

RĂ©sumĂ© du droit des contrats dans le code civil et le code de la consommation 27 septembre 20109 dĂ©cembre 20135459 Qu’il s’agisse de biens de consommation ou de services, le contrat est le lien juridique entre le consommateur et son fournisseur ; particulier, commerçant, entreprise, organisme, etc. 1 – PRINCIPES GENERAUX Article 1101 du Code civil “Le contrat est une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s’obligent envers une ou plusieurs autres Ă  donner, Ă  faire ou Ă  ne pas faire quelque chose”. article 1134 du Code civil “ Les conventions lĂ©galement formĂ©es tiennent lieu de loi Ă  ceux qui les ont faites
” En principe donc – Chacun est libre de contracter ou non ; le choix du contractant est libre et le contenu du contrat est librement dĂ©terminĂ© entre les parties. – Les contrats sont valables par le seul Ă©change des consentements concrĂ©tisĂ© gĂ©nĂ©ralement par la signature des deux parties. Cela signifie qu’il existe une grande libertĂ© des parties avant la signature d’un contrat ; le client est roi et peut imposer sa volontĂ©. Signature = engagement ferme et dĂ©finitif. Par contre, aprĂšs la signature, ce qui est Ă©crit le lie dĂ©finitivement. En cas de non-respect des engagements pris par une partie, l’autre partie peut engager une procĂ©dure judiciaire pour faire respecter les termes du contrat et/ou obtenir un dĂ©dommagement. 2 EXCEPTION DELAIS DE REFLEXION Certaines transactions placent le consommateur dans une situation de faiblesse par rapport au professionnel. C’est pourquoi des lois ont accordĂ© au consommateur un dĂ©lai de rĂ©flexion appelĂ© aussi dĂ©lai de renonciation ou dĂ©lai de rĂ©tractation durant lequel son engagement n’est pas encore dĂ©finitif. Le dĂ©lai de rĂ©flexion se distingue de la facultĂ© de dĂ©dit en ce qu’il n’est liĂ© Ă  aucune contrepartie financiĂšre. Secteurs concernĂ©s 21 – CrĂ©dit Ă  la consommation 14 jours Ă  compter de l’acceptation de l’offre prĂ©alable Il faut que – le prĂȘteur soit un professionnel ; – le crĂ©dit soit d’une durĂ©e supĂ©rieure Ă  trois mois ; – le montant du prĂȘt soit infĂ©rieur ou Ă©gal Ă  21 500 € ; – le crĂ©dit soit pour la consommation personnelle et non professionnelle art. L311-15 et L311-17 du Code de la Consommation. Attention pour que l’annulation du crĂ©dit entraĂźne l’annulation du contrat, il faut que la mention du crĂ©dit figure sur le bon de commande le crĂ©dit doit ĂȘtre affectĂ© Ă  l’achat du produit crĂ©dit liĂ©. 22 – CrĂ©dit immobilier – 10 jours Ă  compter de la remise de l’offre ; – pas de rĂ©tractation mais au contraire, acceptation qui doit transiter par voie postale art. L312-5 et L312-7 du Code de la Consommation. 23 – Assurance-vie, bons de capitalisation, opĂ©rations de prĂ©voyance – 30 jours Ă  compter du 1er versement ; – LRAR lettre type jointe Ă  la proposition art. L132-5 du Code des Assurances et D731-2 du Code de la SĂ©curitĂ© Sociale. 24 – Enseignement privĂ© Ă  distance, cours par correspondance – 7 jours Ă  compter de la rĂ©ception du projet de contrat qui ne peut ĂȘtre signĂ© qu’au terme de ce dĂ©lai loi du 12/07/1971. 25 – Vente Ă  distance – 7 jours francs Ă  compter de la livraison de la commande ; – les frais de retour sont Ă  la charge de l’acheteur art. L121-16 du Code de la Consommation. 26 – Agence matrimoniale – 7 jours aprĂšs la signature du contrat par LRAR. Attention les clubs de rencontres ne sont pas concernĂ©s par cette protection loi du 23 juin 1989 et dĂ©cret du 16 mai 1990. 27 – Acquisition d’un bien immobilier neuf et ancien – 7 jours Ă  compter du lendemain de la premiĂšre prĂ©sentation de la lettre lui notifiant l’acte L 271-1 du code de la construction et de l’habitation. 29 – DĂ©marchage Ă  domicile ou par tĂ©lĂ©phone ‱ Ă  domicile avec certaines exceptions ou sur le lieu de travail, mĂȘme si le dĂ©marcheur est venu Ă  la demande du consommateur ; – dans les lieux non destinĂ©s Ă  la commercialisation ; – au cours de rĂ©unions ou d’excursions organisĂ©es par un commerçant Ă  son profit. Attention est, en principe, soumise Ă  la loi sur le dĂ©marchage, l’opĂ©ration consistant Ă  inviter une personne par tĂ©lĂ©phone Ă  retirer un lot en magasin dĂšs lors que, venu au magasin, le client s’est vu proposer des objets. L’application de cette loi restant Ă  l’apprĂ©ciation du juge. – 7 jours aprĂšs signature du contrat, par LRAR ou en utilisant le formulaire dĂ©tachable art. L121-24 Ă  L121-26 du Code de la consommation. ‱ par tĂ©lĂ©phone – 7 jours Ă  compter de la livraison du produit. – Par retour du produit, frais Ă  la charge de l’acheteur. – A la suite d’un dĂ©marchage par tĂ©lĂ©phone, le professionnel doit confirmer son offre par Ă©crit. Le consommateur n’est engagĂ© que s’il retourne l’offre signĂ©e art. L121-27 du Code de la consommation. 3 – CAUSES DE NULLITE Pour qu’un contrat soit valable, il faut que quatre conditions soient remplies art. 1108 du Code civil 31 – Le consentement de la partie qui s’oblige “Il n’y a pas de consentement valable si le consentement n’a Ă©tĂ© donnĂ© que par erreur, ou s’il a Ă©tĂ© extorquĂ© par violence ou surpris par dol”. art. 1109 du Code civil. ‱ L’erreur pour qu’un contrat puisse ĂȘtre annulĂ© pour erreur, il faut que la qualitĂ© substantielle essentielle de la chose soit concernĂ©e. ‱ La violence La violence est dĂ©finie comme une action de nature Ă  “faire impression sur une personne raisonnable et lui inspirer la crainte d’exposer sa personne ou sa fortune Ă  un mal considĂ©rable et prĂ©sent” art. 1112 du Code civil. Peuvent ĂȘtre apparentĂ©s Ă  cette notion de violence, deux autres cas d’annulation – l’abus de dĂ©pendance Ă©conomique concerne essentiellement les contrats Ă©tablis entre deux parties dont l’une dĂ©pend Ă©conomiquement de l’autre surtout dans les relations employeur/employĂ©. – l’abus de faiblesse une protection particuliĂšre est apportĂ©e aux personnes qui ne sont pas en mesure, lors de la souscription d’un engagement, d’en apprĂ©cier la portĂ©e ou de dĂ©celer les ruses ou artifices dĂ©ployĂ©s pour les convaincre art. L122-8 du Code de la consommation et loi N°92-60 du 18/01/1992. ‱ Le dol “Le dol est une cause de nullitĂ© du contrat lorsque les manƓuvres pratiquĂ©es par l’une des parties sont telles, qu’il est Ă©vident que, sans ces manƓuvres, l’autre partie n’aurait pas contractĂ©. Le dol ne se prĂ©sume pas, et doit ĂȘtre prouvĂ©â€ Art. 1116 du Code civil. Cette obligation de preuve rend souvent difficile le recours Ă  ce motif d’annulation. 32 – Sa capacitĂ© Ă  contracter “Toute personne peut contracter si elle n’en a pas Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e incapable* par la loi” art. 1123 du Code civil. “Sont dĂ©clarĂ©s incapables de contracter, les mineurs non Ă©mancipĂ©s et les majeurs protĂ©gĂ©s” art. 1124 du Code civil. * Faisant l’objet d’un systĂšme de protection sauvegarde de justice, tutelle ou curatelle 33 – Un objet certain qui forme la nature de l’engagement La nature du produit ou de la prestation doit ĂȘtre clairement dĂ©finie elle doit ĂȘtre dĂ©terminĂ©e ou dĂ©terminable. Elle doit ĂȘtre susceptible de transaction ; elle peut exister ou ĂȘtre future. Dans le but de remplir cette condition, un certain nombre de mentions obligatoires sont dĂ©finies selon les types de contrats. 34 – Une cause licite Pour ĂȘtre valable, un contrat ne doit pas aller Ă  l’encontre de la loi. Des contrats portant, par exemple, sur des ventes de produits contraires Ă  l’ordre public ou aux bonnes mƓurs, ne seraient pas valables. Si l’une des quatre conditions de validitĂ© du contrat n’est pas remplie, celui-ci peut ĂȘtre annulĂ©. Mais seul un juge peut prononcer l’annulation d’un contrat. 4 – DATE DE LIVRAISON NON RESPECTEE Pour tout contrat concernant la vente d’un bien meuble d’un prix supĂ©rieur Ă  500 € et dont la livraison n’est pas immĂ©diate, le professionnel est obligĂ© d’indiquer la date limite Ă  laquelle il s’engage Ă  livrer le bien. Lorsque ce dĂ©lai est dĂ©passĂ© de 7 jours, hors cas de force majeure, le consommateur peut, dans un dĂ©lai de 60 jours ouvrĂ©s » Ă  compter de cette date », dĂ©noncer le contrat par LRAR si la livraison n’est pas intervenue entre temps art. L114-1 du Code de la consommation. En cas de refus, il faut engager une procĂ©dure judiciaire, la dĂ©cision du tribunal restant “souveraine”. 5 – CLAUSES ABUSIVES ARTICLE L 132-1 DU CODE DE LA CONSOMMATION Dans les contrats conclus entre professionnels et consommateurs, sont abusives les clauses qui ont pour objet ou pour effet de crĂ©er au dĂ©triment du consommateur un dĂ©sĂ©quilibre significatif entre les droits et les obligations des parties au contrat. Il existe une liste non exhaustive de ce qui peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme clauses abusives. Le contrat restera applicable dans toutes ses dispositions autres que celles jugĂ©es abusives si cela est possible. Dans certains cas, la rĂ©solution du contrat pourra ĂȘtre prononcĂ©e. Nota. Clause obscure Sans ĂȘtre abusive, une clause d’un contrat peut volontairement ou involontairement ne pas ĂȘtre trĂšs claire et conduire Ă  diffĂ©rentes interprĂ©tations. Dans ce cas, elle doit s’interprĂ©ter, en cas de doute, dans le sens de la logique interne du contrat puis dans le sens le plus favorable au consommateur art. L133-2 du Code de la consommation. A garder en mĂ©moire, notamment en ce qui concerne l’exĂ©cution des contrats d’assurance.

Larticle L. 136-1 du code de la consommation, que tout le monde appelle loi Chatel (alors qu’elle avait un champ d’application Ă©tendu, au-delĂ  du code de la consommation), a Ă©tĂ© modifiĂ© par la loi Hamon, n° 2014-344 du 17 mars 2014.

TĂ©lĂ©chargez des modĂšles de contrats de qualitĂ© Étiquette L. 121-1-1 du code de la consommation Pratiques commerciales trompeuses visites domiciliaires chez Freeavril 12, 2018 La Cour de cassation a rejetĂ© le pourvoi de la sociĂ©tĂ© Free la DGCCRF a Ă©tĂ© autorisĂ©e Ă  effectuer des opĂ©rations de visite et de saisie en vue de rechercher la preuve de pratiques commerciales prohibĂ©es. L’opĂ©rateur pourrait avoir restreint le service d’accĂšs Ă  l’internet 3G mobile de ses abonnĂ©s 
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Codede la consommation : article L121-20-5 Contrats conclus à distance et hors établissement; Code de la consommation : article L211-1 à L211-4 Obligations relatives aux contrats, au droit de rétractation et à la prospection commerciale; Code de la consommation : article L213-1 Archivage du contrat conclu par voie électronique; Code de la consommation : article L216-3 Délai de
I. – A. Ă  créé les dispositions suivantes -Code de la sĂ©curitĂ© sociale. Art. L136-6-1A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code du travailArt. L3252-3, Art. L3253-8, Art. L3253-17, Art. L7122-23, Art. L7122-24 A créé les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 87-0 A A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1665 A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1605 bis, Art. 1663 A créé les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1663 B, Art. 1663 C A abrogĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1664 A créé les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Sct. 3. Retenue Ă  la source sur les salaires, pensions et rentes viagĂšres Ă  titre gratuit, Art. 1671 A créé les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1680 A A abrogĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1681 A, Art. 1681 B, Art. 1681 C, Art. 1681 D, Art. 1681 E A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code de la sĂ©curitĂ© sociale. Art. L133-5-3, Art. L133-5-6, Art. L133-5-7, Art. L133-5-8, Art. L133-5-10, Art. L133-5-11, Art. L133-9, Art. L133-9-1, Art. L133-9-2, Art. L133-9-4, Art. L136-6 A créé les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Sct. Section VIII PrĂ©lĂšvement Ă  la source de l'impĂŽt sur le revenu, Art. 204 C, Art. 204 D, Art. 204 E, Art. 204 F, Art. 204 G, Art. 204 H, Art. 204 I, Art. 204 J, Art. 204 K, Art. 204 L, Art. 204 M, Art. 204 N, Art. 204 A, Art. 204 B A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1730, Art. 1731, Art. 1736 A créé les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1753 bis C A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1756, Art. 1771, Art. 1920 A créé les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1759-0 A A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des collectivitĂ©sterritorialesArt. L3664-1, Art. L5217-12-1, Art. L71-113-3, Art. L72-103-2, Art. L2321-2, Art. L3321-1, Art. L4321-1 A modifiĂ© les dispositions suivantes -Livre des procĂ©duresfiscalesArt. L257-0 A A créé les dispositions suivantes -Livre des procĂ©duresfiscalesArt. L288 A A abrogĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 77, Art. 182 C, Art. 1663 A A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 87 A, Art. 89, Art. 89 A, Art. 151-0, Art. 170, Art. 201, Art. 202 A abrogĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1671 B A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1679 quinquies, Art. 1680, Art. 1681 ter, Art. 1681 quater A, Art. 1681 sexies A abrogĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1681 ter A, Art. 1681 ter B A modifiĂ© les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1684, Art. 1688, Art. 1723 ter-00 A, Art. 1724 quinquies, Art. 1729 B A créé les dispositions suivantes -Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, CGI. Art. 1729 G G. – 1. Sous rĂ©serve des 2 Ă  5 du prĂ©sent G, les A Ă  F du prĂ©sent I s'appliquent aux revenus perçus ou rĂ©alisĂ©s Ă  compter du 1er janvier Le 5° du B du prĂ©sent I s'applique aux dĂ©clarations mentionnĂ©es aux articles 87,88,240 et 241 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts affĂ©rentes aux revenus perçus ou rĂ©alisĂ©s Ă  compter du 1er janvier 2017 et aux dĂ©clarations mentionnĂ©es Ă  l'article 87-0 A du mĂȘme code affĂ©rentes aux revenus perçus Ă  compter du 1er janvier Le 1°, le a du 4°, le 8°, les premier et deuxiĂšme tirets du a et le b du 9°, le 13°, le 15°, le 18°, le 22° et le a du 38° du B et le a du 1° du D du prĂ©sent I s'appliquent Ă  l'imposition des revenus perçus ou rĂ©alisĂ©s Ă  compter du 1er janvier Le 23° du B du prĂ©sent I s'applique Ă  compter des impositions dues au titre de l'annĂ©e Le 2° du C du prĂ©sent I s'applique Ă  compter du 1er septembre Les actions de communication menĂ©es par le Gouvernement sur la mise en place du prĂ©lĂšvement Ă  la source informent en particulier sur l'option offerte au contribuable d'individualisation du taux de prĂ©lĂšvement du foyer fiscal, pour chacun des conjoints ou partenaires liĂ©s par un pacte civil de solidaritĂ© soumis Ă  imposition phase de prĂ©figuration du prĂ©lĂšvement Ă  la source de l'impĂŽt sur le revenu est ouverte aux dĂ©biteurs de la retenue Ă  la source mentionnĂ©e au 1° du 2 de l'article 204 A du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, dans sa rĂ©daction rĂ©sultant du prĂ©sent article, Ă  compter du mois de septembre 2018 et jusqu'Ă  la mise en Ɠuvre de ce les revenus versĂ©s entre le 1er septembre 2018 et le 31 dĂ©cembre 2018, les dĂ©biteurs ayant choisi de participer Ă  la phase de prĂ©figuration prĂ©vue au A transmettent Ă  chaque bĂ©nĂ©ficiaire de revenus tout ou partie des informations suivantes 1° Le taux du prĂ©lĂšvement Ă  la source qui s'appliquerait Ă  ses revenus ;2° Le montant de la retenue Ă  la source qui serait effectuĂ©e ;3° Le montant du revenu sur lequel la retenue Ă  la source serait effectuĂ©e ;4° Le montant de ce revenu net du montant de cette informations figurent sur le bulletin de salaire ou tout document la base du numĂ©ro d'inscription au rĂ©pertoire national d'identification des personnes physiques et des Ă©lĂ©ments d'Ă©tat civil communiquĂ©s par les dĂ©biteurs participant Ă  la phase de prĂ©figuration, l'administration fiscale leur transmet le taux de prĂ©lĂšvement Ă  la opĂ©rations sont rĂ©alisĂ©es et ces informations recueillies, dĂ©tenues ou transmises aux seules fins de la phase de prĂ©figuration prĂ©vue au prĂ©sent I de secret professionnel prĂ©vue Ă  l'article L. 103 du livre des procĂ©dures fiscales s'Ă©tend Ă  ces personnes qui contreviennent intentionnellement aux obligations prĂ©vues aux deuxiĂšme et troisiĂšme alinĂ©as du prĂ©sent C encourent les peines prĂ©vues Ă  l'article 226-13 du code options prĂ©vues au IV de l'article 204 H et Ă  l'article 204 M du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts sont ouvertes aux contribuables avant la transmission de leur taux de prĂ©lĂšvement en application de l'article L. 288 A du livre des procĂ©dures fiscales dans sa rĂ©daction rĂ©sultant du prĂ©sent article ou du C du prĂ©sent I – A. – Les contribuables bĂ©nĂ©ficient, Ă  raison des revenus non exceptionnels entrant dans le champ du prĂ©lĂšvement mentionnĂ© Ă  l'article 204 A du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, tel qu'il rĂ©sulte de la prĂ©sente loi, perçus ou rĂ©alisĂ©s en 2018, d'un crĂ©dit d'impĂŽt modernisation du recouvrement destinĂ© Ă  assurer, pour ces revenus, l'absence de double contribution aux charges publiques en 2019 au titre de l'impĂŽt sur le – Le crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A du prĂ©sent II est Ă©gal au montant de l'impĂŽt sur le revenu dĂ» au titre de l'annĂ©e 2018 rĂ©sultant de l'application des rĂšgles prĂ©vues aux 1 Ă  4 du I de l'article 197 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts ou, le cas Ă©chĂ©ant, Ă  l'article 197 A du mĂȘme code multipliĂ© par le rapport entre les montants nets imposables des revenus non exceptionnels mentionnĂ©s au 1 de l'article 204 A dudit code, les dĂ©ficits Ă©tant retenus pour une valeur nulle, et le revenu net imposable au barĂšme progressif de l'impĂŽt sur le revenu, hors dĂ©ficits, charges et abattements dĂ©ductibles du revenu global. Le montant obtenu est diminuĂ© des crĂ©dits d'impĂŽt prĂ©vus par les conventions fiscales internationales affĂ©rents aux revenus mentionnĂ©s au 1 du mĂȘme article 204 – Sont pris en compte au numĂ©rateur du rapport prĂ©vu au B du prĂ©sent II, pour le calcul du crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A, les montants nets imposables suivant les rĂšgles applicables aux salaires, aux pensions ou aux rentes viagĂšres, Ă  l'exception 1° Des indemnitĂ©s versĂ©es Ă  l'occasion de la rupture du contrat de travail, Ă  l'exception des indemnitĂ©s compensatrices de congĂ© mentionnĂ©es Ă  l'article L. 3141-28 du code du travail, des indemnitĂ©s compensatrices de prĂ©avis mentionnĂ©es Ă  l'article L. 1234-5 du mĂȘme code, des indemnitĂ©s de fin de contrat de travail Ă  durĂ©e dĂ©terminĂ©e mentionnĂ©es Ă  l'article L. 1243-8 dudit code et des indemnitĂ©s de fin de mission mentionnĂ©es Ă  l'article L. 1251-32 du mĂȘme code ;2° Des indemnitĂ©s versĂ©es Ă  l'occasion de la cessation des fonctions des mandataires sociaux et dirigeants ;3° Des indemnitĂ©s versĂ©es ou des avantages accordĂ©s en raison de la prise de fonction de mandataire social, mentionnĂ©s au troisiĂšme alinĂ©a de l'article L. 225-102-1 du code de commerce ;4° Des indemnitĂ©s de clientĂšle, de cessation d'activitĂ© et de celles perçues en contrepartie de la cession de la valeur de la clientĂšle ;5° Des indemnitĂ©s, allocations et primes versĂ©es en vue de dĂ©dommager leurs bĂ©nĂ©ficiaires d'un changement de rĂ©sidence ou de lieu de travail ;6° Des prestations mentionnĂ©es Ă  l'article 80 decies du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts ;7° Des prestations de retraite servies sous forme de capital ;8° Des aides et allocations capitalisĂ©es servies en cas de conversion ou de rĂ©insertion ou pour la reprise d'une activitĂ© professionnelle ;9° Des sommes perçues au titre de la participation ou de l'intĂ©ressement et non affectĂ©es Ă  la rĂ©alisation de plans d'Ă©pargne constituĂ©s conformĂ©ment au titre III du livre III de la troisiĂšme partie du code du travail, ainsi que des sommes mentionnĂ©es au a du 18° de l'article 81 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts ;10° Des sommes retirĂ©es par le contribuable d'un plan mentionnĂ© au 9° du prĂ©sent C ;11° Des sommes issues de la monĂ©tisation de droits inscrits sur un compte Ă©pargne-temps, pour celles correspondant Ă  des droits excĂ©dant une durĂ©e de dix jours ;12° Des primes de signature et des indemnitĂ©s liĂ©es aux transferts des sportifs professionnels ;13° Des gratifications surĂ©rogatoires, qui s'entendent des gratifications accordĂ©es sans lien avec le contrat de travail ou le mandat social ou allant au-delĂ  de ce qu'ils prĂ©voient, quelle que soit la dĂ©nomination retenue ;14° Des revenus qui correspondent par leur date normale d'Ă©chĂ©ance Ă  une ou plusieurs annĂ©es antĂ©rieures ou postĂ©rieures ;15° De tout autre revenu qui, par sa nature, n'est pas susceptible d'ĂȘtre recueilli peut demander Ă  l'administration de prendre formellement position sur le traitement fiscal applicable aux Ă©lĂ©ments de rĂ©munĂ©rations versĂ©s. L'administration se prononce dans un dĂ©lai de trois mois lorsqu'elle est saisie d'une demande Ă©crite, prĂ©cise et complĂšte par un redevable de bonne foi. L'absence de rĂ©ponse de l'administration dans un dĂ©lai de trois mois vaut acceptation tacite de la demande de l'employeur. Un dĂ©cret en Conseil d'Etat prĂ©cise les modalitĂ©s d'application du prĂ©sent alinĂ©a, notamment le contenu, le lieu ainsi que les modalitĂ©s de dĂ©pĂŽt de cette – 1. Le montant net imposable du revenu foncier Ă  retenir au numĂ©rateur du rapport prĂ©vu au B du prĂ©sent II pour le calcul du crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A est dĂ©terminĂ©, sous rĂ©serve des 2 et 3 du prĂ©sent D, dans les conditions prĂ©vues aux articles 14 Ă  33 quinquies du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, au 3° du I de l'article 156 du mĂȘme code et au K du prĂ©sent montant est retenu Ă  proportion de la part des recettes fonciĂšres suivantes dans le total des recettes fonciĂšres de l'annĂ©e 2018 1° Loyers et fermages perçus en 2018 directement ou indirectement par le contribuable et dont l'Ă©chĂ©ance est intervenue au titre de cette mĂȘme annĂ©e Ă  raison de l'exĂ©cution normale des contrats ou conventions de toute nature conclus entre les propriĂ©taires et les les loyers et fermages Ă©chus en 2018 a Consistant en la remise d'immeubles ou de titres donnant vocation Ă  la propriĂ©tĂ© ou Ă  la jouissance de tels immeubles, de constructions ou d'amĂ©nagements en sont exclus ;b A raison de l'exĂ©cution des contrats ou conventions et couvrant une pĂ©riode de location supĂ©rieure Ă  douze mois ne sont retenus que dans la limite d'un montant correspondant Ă  douze mois ;2° Revenus des propriĂ©tĂ©s dont le propriĂ©taire se rĂ©serve la jouissance, mentionnĂ©s Ă  l'article 30 du code gĂ©nĂ©ral des En cas de rupture d'un engagement, les majorations du revenu net foncier effectuĂ©es au titre de l'annĂ©e 2018 en application des f Ă  m et o du 1° du I de l'article 31, de l'article 31 bis et du III de l'article 156 bis du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts ne sont pas prises en compte dans le montant net imposable du revenu foncier mentionnĂ© au 1 du prĂ©sent Le montant de la rĂ©gularisation effectuĂ©e au titre de l'annĂ©e 2018 des provisions, mentionnĂ©es au a quater du 1° du I de l'article 31 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, dĂ©duites par le propriĂ©taire en 2017 au titre des dĂ©penses prĂ©vues au I de l'article 14-2 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis et correspondant Ă  des charges non dĂ©ductibles n'est pas pris en compte dans le montant net imposable du revenu foncier mentionnĂ© au 1 du prĂ©sent – 1. Le montant net imposable des bĂ©nĂ©fices industriels et commerciaux, des bĂ©nĂ©fices agricoles et des bĂ©nĂ©fices non commerciaux Ă  retenir au numĂ©rateur du rapport prĂ©vu au B du prĂ©sent II pour le calcul du crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A est dĂ©terminĂ©, pour chaque membre du foyer fiscal et pour chacune de ces catĂ©gories de revenus, dans les conditions prĂ©vues Ă  l'article 204 G du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, Ă  l'exception du 6° du 2 et du 4 du mĂȘme article 204 Le montant dĂ©fini au 1 du prĂ©sent E, le cas Ă©chĂ©ant aprĂšs application des abattements prĂ©vus aux articles 44 sexies Ă  44 septdecies du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, est retenu dans la limite du plus faible des deux montants suivants 1° Le bĂ©nĂ©fice imposable au titre de l'annĂ©e 2018, dĂ©terminĂ© selon les rĂšgles prĂ©vues au 1 du prĂ©sent E, avant application des Ă©ventuels abattements prĂ©vus aux mĂȘmes articles 44 sexies Ă  44 septdecies ;2° Le plus Ă©levĂ© des bĂ©nĂ©fices imposables au titre des annĂ©es 2015,2016 ou 2017, dĂ©terminĂ© selon les rĂšgles prĂ©vues au 1 du prĂ©sent E, avant application des Ă©ventuels abattements prĂ©vus audits articles 44 sexies Ă  44 prĂ©sent 2 n'est pas applicable lorsque le bĂ©nĂ©fice imposable en 2018 est le premier bĂ©nĂ©fice dĂ©clarĂ© Ă  la suite d'une crĂ©ation d'activitĂ© en 2018. Toutefois, lorsque le bĂ©nĂ©fice rĂ©alisĂ© en 2019 par le membre concernĂ© du foyer, majorĂ© le cas Ă©chĂ©ant des traitements et salaires, des bĂ©nĂ©fices qu'il a rĂ©alisĂ©s relevant des autres catĂ©gories mentionnĂ©es au 1 du prĂ©sent E et des revenus des gĂ©rants et associĂ©s mentionnĂ©s Ă  l'article 62 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts qu'il a perçus, imposables au titre de la mĂȘme annĂ©e 2019, est infĂ©rieur au bĂ©nĂ©fice rĂ©alisĂ© en 2018, majorĂ© le cas Ă©chĂ©ant de ses revenus relevant des autres catĂ©gories prĂ©citĂ©es rĂ©alisĂ©s en 2018, le crĂ©dit d'impĂŽt est remis en cause Ă  hauteur de la diffĂ©rence constatĂ©e, dans la limite de la diffĂ©rence, lorsqu'elle est positive, entre le bĂ©nĂ©fice rĂ©alisĂ© en 2018 et le bĂ©nĂ©fice rĂ©alisĂ© en 2019, sauf si le contribuable justifie que la baisse de son bĂ©nĂ©fice en 2019 rĂ©sulte uniquement de la variation de son activitĂ© par rapport Ă  En cas d'application du 2° du 2 du prĂ©sent E, le contribuable peut obtenir un crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire dans les conditions suivantes 1° Lorsque le bĂ©nĂ©fice imposable au titre de l'annĂ©e 2019, dĂ©terminĂ© selon les rĂšgles prĂ©vues au 1, est supĂ©rieur ou Ă©gal au bĂ©nĂ©fice imposable au titre de l'annĂ©e 2018, dĂ©terminĂ© selon les mĂȘmes rĂšgles, le contribuable bĂ©nĂ©ficie d'un crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire, lors de la liquidation du solde de l'impĂŽt sur le revenu dĂ» au titre de 2019, Ă©gal Ă  la fraction du crĂ©dit d'impĂŽt dont il n'a pas pu bĂ©nĂ©ficier en application du 2 ;2° Lorsque le bĂ©nĂ©fice imposable au titre de l'annĂ©e 2019, dĂ©terminĂ© selon les rĂšgles prĂ©vues au 1, est infĂ©rieur au bĂ©nĂ©fice imposable au titre de l'annĂ©e 2018, dĂ©terminĂ© selon les mĂȘmes rĂšgles, mais supĂ©rieur au plus Ă©levĂ© des bĂ©nĂ©fices imposables au titre des annĂ©es 2015,2016 ou 2017 retenus en application du 2° du 2, le contribuable bĂ©nĂ©ficie, lors de la liquidation du solde de l'impĂŽt sur le revenu au titre de 2019, d'un crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire Ă©gal Ă  la diffĂ©rence entre a Le crĂ©dit d'impĂŽt calculĂ© en retenant au numĂ©rateur du rapport prĂ©vu au B du prĂ©sent II le bĂ©nĂ©fice imposable au titre de l'annĂ©e 2019, dĂ©terminĂ© selon les rĂšgles prĂ©vues au 1 du prĂ©sent E ;b Et le crĂ©dit d'impĂŽt dĂ©jĂ  obtenu en application du 2 du prĂ©sent E ;3° Lorsque le bĂ©nĂ©fice imposable au titre de l'annĂ©e 2019, dĂ©terminĂ© selon les rĂšgles prĂ©vues au 1, est infĂ©rieur au bĂ©nĂ©fice imposable au titre de l'annĂ©e 2018, dĂ©terminĂ© selon les mĂȘmes rĂšgles, le contribuable peut bĂ©nĂ©ficier, par voie de rĂ©clamation, d'un crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire Ă©gal Ă  la fraction du crĂ©dit d'impĂŽt dont il n'a pas pu bĂ©nĂ©ficier en application du 2 ou du 2° du prĂ©sent 3, s'il justifie que la hausse de son bĂ©nĂ©fice dĂ©clarĂ© en 2018 par rapport aux trois annĂ©es prĂ©cĂ©dentes et Ă  l'annĂ©e 2019 rĂ©sulte uniquement d'un surcroĂźt d'activitĂ© en Pour l'application des 1 et 2, si le bĂ©nĂ©fice imposable au titre des annĂ©es 2015,2016 et 2017 s'Ă©tend sur une pĂ©riode de moins de douze mois, il est ajustĂ© pro rata temporis sur une Les contribuables mentionnĂ©s Ă  l'article 151-0 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts qui ont dĂ©noncĂ© leur option en 2017 pour 2018 et qui ont exercĂ© une nouvelle option pour le versement libĂ©ratoire en 2018 pour 2019 ne bĂ©nĂ©ficient pas du crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A du prĂ©sent – 1. Les montants nets imposables suivant les rĂšgles applicables aux salaires perçus dans les conditions mentionnĂ©es au 2 du prĂ©sent F Ă  retenir au numĂ©rateur du rapport prĂ©vu au B du prĂ©sent II pour le calcul du crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A, aprĂšs application du C, sont retenus dans la limite du plus faible des deux montants suivants 1° Leur montant net imposable au titre de l'annĂ©e 2018 ;2° Le plus Ă©levĂ© de ces revenus imposables au titre des annĂ©es 2015,2016 ou Les dispositions du 1 du prĂ©sent F sont applicables 1° Aux rĂ©munĂ©rations perçues par les personnes qui, au sens des a et c du 2° du III de l'article 150-0 B ter du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, contrĂŽlent en 2018 la sociĂ©tĂ© qui les leur verse au cours de cette mĂȘme annĂ©e ;2° Aux rĂ©munĂ©rations perçues par les conjoints, ascendants, descendants ou frĂšres et sƓurs des personnes qui, au sens du 1° du prĂ©sent 2, contrĂŽlent la sociĂ©tĂ© qui les leur verse en 2018 au cours de cette mĂȘme Ces dispositions ne s'appliquent pas lorsque l'annĂ©e 2018 constitue la premiĂšre annĂ©e au titre de laquelle les personnes concernĂ©es perçoivent des rĂ©munĂ©rations mentionnĂ©es au lorsque les rĂ©munĂ©rations perçues en 2019 par ces personnes, majorĂ©es le cas Ă©chĂ©ant de leurs autres traitements et salaires, de leurs bĂ©nĂ©fices relevant des catĂ©gories mentionnĂ©es au 1 du E du prĂ©sent II et de leurs autres revenus de gĂ©rants et associĂ©s mentionnĂ©s Ă  l'article 62 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts imposables au titre de cette mĂȘme annĂ©e, sont infĂ©rieures Ă  celles perçues en 2018 de la mĂȘme sociĂ©tĂ©, majorĂ©es le cas Ă©chĂ©ant de ces mĂȘmes autres revenus rĂ©alisĂ©s en 2018, le bĂ©nĂ©fice du crĂ©dit d'impĂŽt est remis en cause Ă  hauteur de la diffĂ©rence constatĂ©e, dans la limite de la diffĂ©rence, lorsqu'elle est positive, entre les rĂ©munĂ©rations perçues en 2018 et celles perçues en En cas d'application du 2° du 1 du prĂ©sent F, lorsque les rĂ©munĂ©rations imposables suivant les rĂšgles applicables aux salaires perçues de la mĂȘme sociĂ©tĂ© en 2019 sont supĂ©rieures ou Ă©gales Ă  celles perçues en 2018, le contribuable peut demander, par voie de rĂ©clamation, la restitution de la fraction du crĂ©dit d'impĂŽt dont il n'a pas pu bĂ©nĂ©ficier en application du le cas oĂč les rĂ©munĂ©rations imposables suivant les rĂšgles applicables aux salaires perçues de la mĂȘme sociĂ©tĂ© en 2019 sont infĂ©rieures Ă  celles perçues en 2018 mais supĂ©rieures Ă  la plus Ă©levĂ©e des rĂ©munĂ©rations perçues au titre des annĂ©es 2015,2016 ou 2017 retenues en application du 2° du 1 du prĂ©sent F, le contribuable peut demander, par voie de rĂ©clamation, la restitution d'une partie de la fraction du crĂ©dit d'impĂŽt dont il n'a pas pu bĂ©nĂ©ficier en application du 1, Ă  hauteur de la diffĂ©rence constatĂ©e entre les rĂ©munĂ©rations perçues en 2019 et, selon le cas, celles perçues en 2015,2016 ou dĂ©faut, la restitution de la fraction du crĂ©dit d'impĂŽt dont le contribuable n'a pas pu bĂ©nĂ©ficier en application du mĂȘme 1 peut Ă©galement ĂȘtre demandĂ©e, sous rĂ©serve qu'il justifie, d'une part, que la hausse des rĂ©munĂ©rations dĂ©clarĂ©es en 2018 par rapport Ă  celles perçues de la mĂȘme sociĂ©tĂ© les trois annĂ©es prĂ©cĂ©dentes correspond Ă  une Ă©volution objective des responsabilitĂ©s qu'il a exercĂ©es ou Ă  la rĂ©munĂ©ration normale de ses performances au sein de cette sociĂ©tĂ© en 2018 et, d'autre part, que la diminution de cette mĂȘme rĂ©munĂ©ration en 2019 est Ă©galement – AbrogĂ©H. – Le crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A et le crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire prĂ©vu au 3 du E du prĂ©sent II accordĂ©s au titre de l'impĂŽt sur le revenu dĂ» au titre de l'annĂ©e 2018 s'imputent sur l'impĂŽt sur le revenu dĂ», respectivement, au titre des revenus 2018 ou 2019, aprĂšs imputation de toutes les rĂ©ductions d'impĂŽt, de tous les crĂ©dits d'impĂŽt et de tous les prĂ©lĂšvements ou retenues non Ă©ventuel est – En cas de transfert par le contribuable de son domicile fiscal hors de France au cours de l'annĂ©e 2018 1° Le crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A du prĂ©sent II est calculĂ© en tenant compte, pour la dĂ©termination, d'une part, du montant d'impĂŽt sur le revenu dĂ» au titre de cette mĂȘme annĂ©e et, d'autre part, du dĂ©nominateur du rapport mentionnĂ©s au B du prĂ©sent II, des seules plus-values et crĂ©ances mentionnĂ©es aux I et II de l'article 167 bis du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts imposables suivant le barĂšme progressif de l'impĂŽt sur le revenu pour lesquelles il n'est pas sursis au paiement de l'impĂŽt correspondant ;2° Lors de la survenance de chaque Ă©vĂ©nement prĂ©vu au VII du mĂȘme article 167 bis, le crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A du prĂ©sent II est, le cas Ă©chĂ©ant, rectifiĂ© en tenant compte, pour la dĂ©termination, d'une part, du montant d'impĂŽt sur le revenu dĂ» au titre de l'annĂ©e 2018 et, d'autre part, du dĂ©nominateur du rapport mentionnĂ©s au B du prĂ©sent II, de la plus-value ou crĂ©ance dĂ©finitive concernĂ©e par cet Ă©vĂ©nement. Le montant de la rectification effectuĂ©e est imputĂ©, le cas Ă©chĂ©ant, sur le montant de l'impĂŽt sur le revenu dĂ» ou Ă  restituer Ă  raison de la survenance de l'un des Ă©vĂ©nements mentionnĂ© au VII dudit article 167 – Le crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A et le crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire prĂ©vu au 3 du E du prĂ©sent II ne sont pas retenus pour l'application du plafonnement mentionnĂ© Ă  l'article 200-0 A du code gĂ©nĂ©ral des – 1. Par dĂ©rogation aux articles 12,13,28 et 31 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, les charges de la propriĂ©tĂ© sont dĂ©ductibles dans les conditions suivantes 1° Celles mentionnĂ©es aux a bis, a quater et c Ă  e bis du 1° du I de l'article 31 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, affĂ©rentes Ă  des dettes dont l'Ă©chĂ©ance intervient en 2018, ne sont dĂ©ductibles que pour la dĂ©termination du revenu net foncier imposable de l'annĂ©e 2018 ;2° Celles mentionnĂ©es aux a, b et b bis du 1° et aux c Ă  c quinquies du 2° du I de l'article 31 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts sont retenues, pour la dĂ©termination du revenu net foncier imposable de l'annĂ©e 2019, Ă  hauteur de la moyenne des montants respectivement supportĂ©s au titre de ces mĂȘmes dĂ©penses en 2018 et en le 2° du prĂ©sent 1 ne s'applique pas aux dĂ©penses affĂ©rentes Ă  des travaux d'urgence rendus nĂ©cessaires par l'effet de la force majeure ou dĂ©cidĂ©s d'office par le syndic de copropriĂ©tĂ© en application de l'article 18 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis, ni aux travaux effectuĂ©s sur un immeuble acquis en 2019, ni aux dĂ©penses affĂ©rentes a ̀ des immeubles classĂ©s ou inscrits en 2019 au titre des monuments historiques ou ayant reçu en 2019 le label dĂ©livrĂ© par la Fondation du patrimoine en application de l'article L. 143-2 du code du patrimoine si ce label a Ă©tĂ© accordĂ© aprĂšs avis favorable du service dĂ©partemental de l'architecture et du Les provisions mentionnĂ©es au a quater du 1° du I de l'article 31 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts supportĂ©es par le propriĂ©taire en 2018 au titre des dĂ©penses prĂ©vues au I de l'article 14-2 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 prĂ©citĂ©e et correspondant Ă  des charges dĂ©ductibles ouvrent droit, Ă  hauteur de 50 % de leur montant, Ă  une dĂ©duction pour la dĂ©termination du revenu net foncier imposable de l'annĂ©e Pour la dĂ©termination du revenu net foncier imposable de l'annĂ©e 2020, les provisions mentionnĂ©es au a quater du 1° du I de l'article 31 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts sont diminuĂ©es Ă  hauteur de 50 % du montant des provisions mentionnĂ©es au mĂȘme a quater supportĂ©es par le propriĂ©taire en 2019 au titre des dĂ©penses prĂ©vues au I de l'article 14-2 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 prĂ©citĂ©e et correspondant Ă  des charges l'application du 1° ter du II de l'article 156 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, les charges fonciĂšres sont dĂ©ductibles du revenu global annuel dans les mĂȘmes conditions et selon les mĂȘmes modalitĂ©s que celles prĂ©vues au K du prĂ©sent II pour la dĂ©termination des revenus nets fonciers l'imposition des revenus de l'annĂ©e 2019, le montant des cotisations ou primes dĂ©ductibles du revenu net global en application du 1 du I de l'article 163 quatervicies du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts dans sa rĂ©daction antĂ©rieure Ă  l'ordonnance n° 2019-766 du 24 juillet 2019 portant rĂ©forme de l'Ă©pargne retraite est Ă©gal Ă  la moyenne des mĂȘmes cotisations ou primes versĂ©es en 2018 et en 2019, lorsque, d'une part, le montant versĂ© en 2019 est supĂ©rieur Ă  celui versĂ© en 2018 et que, d'autre part, ce dernier montant est infĂ©rieur Ă  celui versĂ© en – 1. L'administration fiscale peut demander au contribuable des justifications sur tous les Ă©lĂ©ments servant de base Ă  la dĂ©termination du montant du crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A ou du crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire prĂ©vu au 3 du E du prĂ©sent II sans que cette demande constitue le dĂ©but d'une procĂ©dure de vĂ©rification de comptabilitĂ© ou d'une procĂ©dure d'examen de situation fiscale demande indique expressĂ©ment au contribuable les points sur lesquels elle porte et lui fixe un dĂ©lai de rĂ©ponse qui ne peut ĂȘtre infĂ©rieur Ă  deux le contribuable a rĂ©pondu de façon insuffisante Ă  la demande de justifications, l'administration fiscale lui adresse une mise en demeure d'avoir Ă  complĂ©ter sa rĂ©ponse dans un dĂ©lai de trente jours, en prĂ©cisant les complĂ©ments de rĂ©ponse qu'elle le contribuable s'est abstenu de rĂ©pondre Ă  la demande de justifications ou de complĂ©ments, l'administration fiscale peut remettre en cause le montant du crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A ou du crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire prĂ©vu au 3 du E selon les procĂ©dures d'imposition d'office prĂ©vues aux articles L. 65 et suivants du livre des procĂ©dures la rĂ©ponse fait apparaĂźtre que le contribuable a procĂ©dĂ© Ă  des opĂ©rations qui ont eu principalement pour objet et pour effet d'augmenter le montant du crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A ou du crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire prĂ©vu au 3 du E, l'administration peut remettre en cause le montant de ces crĂ©dits d'impĂŽt selon les procĂ©dures prĂ©vues aux articles L. 55 Ă  L. 61 du livre des procĂ©dures Pour l'impĂŽt sur le revenu dĂ» au titre de l'annĂ©e 2018, le droit de reprise de l'administration fiscale s'exerce jusqu'Ă  la fin de la quatriĂšme annĂ©e qui suit celle au titre de laquelle l'imposition est Seuls les revenus dĂ©clarĂ©s spontanĂ©ment par le contribuable sont pris en compte dans le calcul du montant du crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au A et du crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire prĂ©vu au 3 du – Les revenus de l'annĂ©e 2018 mentionnĂ©s Ă  l'article 204 C du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, lorsqu'ils sont soumis Ă  la contribution prĂ©vue Ă  l'article L. 136-6 du code de la sĂ©curitĂ© sociale, dans les conditions prĂ©vues au III du mĂȘme article L. 136-6, ouvrent droit Ă  un crĂ©dit d'impĂŽt dans les mĂȘmes conditions que celles prĂ©vues au A du prĂ©sent II, ainsi qu'Ă  un crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire dans les mĂȘmes conditions que celles prĂ©vues au 3 du montant du crĂ©dit d'impĂŽt est calculĂ© en appliquant au montant des revenus dĂ©terminĂ©s dans les conditions prĂ©vues au premier alinĂ©a du 2 de l'article L. 136-6-1 du code de la sĂ©curitĂ© sociale et aux B Ă  F du prĂ©sent II le taux des contributions prĂ©vues, Ă  l'article L. 136-6 du code de la sĂ©curitĂ© sociale et Ă  l'article 15 de l'ordonnance n° 96-50 du 24 janvier 1996 relative au remboursement de la dette sociale et du prĂ©lĂšvement prĂ©vu au 1° du I de l'article 235 ter du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, affĂ©rents Ă  ces mĂȘmes crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au premier alinĂ©a du prĂ©sent M et le crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire accordĂ©s au titre des revenus de l'annĂ©e 2018 s'imputent sur les contributions et prĂ©lĂšvements mentionnĂ©s au deuxiĂšme alinĂ©a et dus, respectivement, au titre des revenus 2018 ou 2019. S'il excĂšde les contributions et prĂ©lĂšvements dus, l'excĂ©dent est L du prĂ©sent II est applicable au crĂ©dit d'impĂŽt prĂ©vu au premier alinĂ©a du prĂ©sent M et au crĂ©dit d'impĂŽt complĂ©mentaire.
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articlel122-1 : modifiĂ© par ordonnance n°2009-866 du 15 juillet 2009 - art. 16 il est interdit de refuser Ă  un consommateur la vente d'un produit ou la prestation d'un service, sauf motif Les soldes constituent un moment fort de la consommation. Ils permettent aux commerçants d’écouler rapidement leurs stocks et aux consommateurs de bĂ©nĂ©ficier de rĂ©ductions de prix souvent intĂ©ressantes puisque la revente Ă  perte est autorisĂ©e pendant ces opĂ©rations commerciales. Les soldes d'hiver et d'Ă©tĂ© durent quatre semaines et leurs dates sont fixĂ©es au niveau national. Il existe toutefois des dates dĂ©rogatoires pour certains dĂ©partements. DĂ©finition et caractĂ©ristiques Les soldes sont des ventes rĂ©glementĂ©es. Ils prĂ©sentent les caractĂ©ristiques suivantes ils sont accompagnĂ©s ou prĂ©cĂ©dĂ©s de publicitĂ© ; ils concourent Ă  l'Ă©coulement accĂ©lĂ©rĂ© de marchandises en stock dont des exemplaires ont Ă©tĂ© proposĂ©s Ă  la vente et payĂ©s depuis au moins un mois Ă  la date de dĂ©but de la pĂ©riode de soldes considĂ©rĂ©e ; ils comportent une annonce de rĂ©duction de prix qui peut aller jusqu'Ă  une revente Ă  perte dans la limite du stock Ă  Ă©couler ; ils sont pratiquĂ©s pendant des pĂ©riodes fixes de quatre semaines soldes d'Ă©tĂ© et d'hiver. Hormis pour les ventes Ă  distance, des dates diffĂ©rentes sont prĂ©vues dans certains dĂ©partements pour tenir compte d’une forte saisonnalitĂ© des ventes ou d’opĂ©rations commerciales menĂ©es dans des rĂ©gions frontaliĂšres. En dehors des pĂ©riodes lĂ©gales de soldes, les commerçants peuvent organiser des opĂ©rations commerciales pour dĂ©stocker, en annonçant des rĂ©ductions, sous rĂ©serve qu’ils n’utilisent pas le mot soldes » et qu’ils respectent la lĂ©gislation sur l’interdiction de revente Ă  perte. Bon Ă  savoir Les annonces de rĂ©duction de prix pratiquĂ©es pendant les soldes ne doivent pas constituer une pratique commerciale dĂ©loyale au sens de l’article L. 121-1 du Code de la consommation. Les commerçants sont tenus d'appliquer toute disposition relative Ă  l'Ă©change ou au remboursement dont il fait la publicitĂ©, soit sous forme d'affichage dans le magasin, soit mentionnĂ©e sur les tickets de caisse ou sur d'autres supports. Les soldes ne pouvant porter que sur des marchandises proposĂ©es Ă  la vente et payĂ©es depuis au moins un mois, les commerçants ne peuvent pas se rĂ©approvisionner pendant ces opĂ©rations commerciales contrairement aux promotions. La distinction entre les articles soldĂ©s et non soldĂ©s doit clairement apparaĂźtre aux yeux des consommateurs dans le point de vente. Les limitations de garanties sur les soldes sont illĂ©gales. Un article soldĂ© bĂ©nĂ©ficie des mĂȘmes garanties en matiĂšre de dĂ©fauts de fabrication non apparents ou de service aprĂšs-vente que tout autre article. En cas de vice cachĂ©, le vendeur est tenu de remplacer l'article ou de le rembourser. S'il n'y a pas de vice cachĂ©, le commerçant n'est pas tenu juridiquement de procĂ©der Ă  l’échange ou au remboursement, mais il peut le faire Ă  titre purement commercial. Dates des soldes d’étĂ© 2022 Les dates des soldes sont fixĂ©es par l’arrĂȘtĂ© du 27 mai 2019 fixant les dates et heures de dĂ©but des soldes ainsi que leur durĂ©e en application de l’article L. 310-3 du code de commerce, modifiĂ© par l’arrĂȘtĂ© du 10 octobre 2019 les soldes d'hiver dĂ©butent le deuxiĂšme mercredi du mois de janvier Ă  8 heures du matin ; cette date est avancĂ©e au premier mercredi du mois de janvier lorsque le deuxiĂšme mercredi intervient aprĂšs le 12 du mois ; les soldes d'Ă©tĂ© dĂ©butent le dernier mercredi du mois de juin Ă  8 heures du matin ; cette date est avancĂ©e Ă  l'avant-dernier mercredi du mois de juin lorsque le dernier mercredi intervient aprĂšs le 28 du mois. Ces dates s'appliquent aux ventes Ă  distance, notamment celles rĂ©alisĂ©es par internet, quel que soit le lieu du siĂšge de l'entreprise. Par dĂ©rogation, hormis pour les ventes Ă  distance, des dates diffĂ©rentes sont appliquĂ©es dans certaines zones. Les soldes d’étĂ© 2022 se dĂ©rouleront du mercredi 22 juin au mardi 19 juillet inclus. Par dĂ©rogation, hormis pour les ventes Ă  distance, des dates diffĂ©rentes sont appliquĂ©es dans certaines zones Les soldes d'Ă©tĂ© 2022 DĂ©partements ou zones Date des soldes d’étĂ© 2022 Alpes-Maritimes Du 6 juillet au 2 aoĂ»t inclus Corse-du-Sud Du 13 juillet au 9 aoĂ»t inclus Haute-Corse Du 13 juillet au 9 aoĂ»t inclus Meurthe-et-Moselle Date nationale Meuse Date nationale Moselle Date nationale Vosges Date nationale PyrĂ©nĂ©es-Orientales Du 6 juillet au 2 aoĂ»t inclus Guadeloupe Du samedi 24 septembre au vendredi 21 octobre inclus Martinique Du jeudi 6 octobre au mercredi 2 novembre inclus Guyane Date nationale Mayotte Date nationale La RĂ©union Du samedi 3 septembre au vendredi 30 septembre inclus CollectivitĂ© d’Outre-mer de Saint-BarthĂ©lemy Du samedi 8 octobre au vendredi 4 novembre inclus CollectivitĂ© d’Outre-mer de Saint-Martin Du samedi 8 octobre au vendredi 4 novembre inclus CollectivitĂ© d’Outre-mer de Saint-Pierre et Miquelon Du mercredi 20 juillet au mardi 16 aoĂ»t inclus Les Ă©lĂ©ments ci-dessus sont donnĂ©s Ă  titre d'information. Ils ne sont pas forcĂ©ment exhaustifs et ne sauraient se substituer aux textes officiels. Vous avez rencontrĂ© un problĂšme en tant que consommateur ? Signalez-le sur le site de la DGCCRF
Refontedu Code de la consommation : publication de l’ordonnance de recodification Le nouveau Code de la consommation entrera en vigueur le 1 er juillet 2016. L’ordonnance de recodification, qui vient d’ĂȘtre publiĂ©e, vise Ă  simplifier et amĂ©liorer la cohĂ©rence juridique des dispositions lĂ©gales, au bĂ©nĂ©fice des utilisateurs. Le droit de la consommation, depuis les premiĂšres
En lisant le titre de cet article, vous vous ĂȘtes peut-ĂȘtre dit que j'Ă©tais pris d'une passion soudaine pour le droit de la consommation. C'est en partie la raison de cette article, l'autre partie Ă©tant que le litige avec l'agence de voyage sur internet que j'ai eu a fait des petits et je suis maintenant face Ă  un autre litige. Je vous copie le courriel que j'ai envoyĂ© Ă  la sociĂ©tĂ© en question, vous verrez, tout est dedans. " Vous n'ĂȘtes pas sans savoir que sur votre site internet, l'encart publicitaire qui propose le logement que j'ai rĂ©servĂ© mentionne la formule suivante Alpes du Nord – Deux alpes ». Faisait explicitement rĂ©fĂ©rence Ă  la station de ski Les Deux-Alpes ». Or, l'appartement en situation n'est pas situĂ© ni au sein, ni Ă  proximitĂ© immĂ©diate de ladite station de ski. Cela constitue une infraction Ă  l'article L121-1 du code de la consommation dont je reproduit une partie ci dessous. " pratique commerciale est trompeuse si elle est commise dans l'une des circonstances suivantes 1° Lorsqu'elle crĂ©e une confusion avec un autre bien ou service, une marque, un nom commercial, ou un autre signe distinctif d'un concurrent ; 2° Lorsqu'elle repose sur des allĂ©gations, indications ou prĂ©sentations fausses ou de nature Ă  induire en erreur et portant sur l'un ou plusieurs des Ă©lĂ©ments suivants a L'existence, la disponibilitĂ© ou la nature du bien ou du service ; " Or, une l'infraction Ă  cette article constitue un dĂ©lit qui expose les dirigeants de votre sociĂ©tĂ© Ă  des amendes et Ă  des peines de prison . Les juridictions pĂ©nales ont fait de nombreuses fois application de cette rĂšgle et ont facilitĂ© son utilisation Ă  tel point que la Cour de cassation dans un arrĂȘt de la chambre criminelle dans un arrĂȘt du 8 dĂ©cembre 1987 a estimĂ© que Le seul fait de l'existence d'une publicitĂ© trompeuse suffit pour que l'infraction soit constituĂ©e indĂ©pendamment de toute intention prĂ©cise chez l'agent ». Les condamnations des voyagistes au titre des pratiques commerciales de ce type sont nombreuses. Je ne vous citerai ici que trois exemples 6 mois de prison avec sursis et euros d'amende. Club med Tribunal correctionnel de Paris, septembre 2007, 15 000 euros d'amende. Promovacances Mars 2007 15000 euros d'amende pour la sociĂ©tĂ© et 5000 euros pour son PDG. Nous sommes d'ores et dĂ©jĂ  entrĂ© en contact avec la DGCRF la Direction GĂ©nerale de la Concurrence et de la Repression des Fraudes ainsi qu'avec l'association UFC – Que choisir qui nous ont assurĂ© de la parfaite faisabilitĂ© de la dĂ©marche. Nous n'avons pour le moment pas saisi le procureur de la RĂ©publique, prĂ©fĂ©rant dans un premier une dĂ©marche Ă  l'amiable. A titre personnel, nous demandons qu'un logement au sein de la station Les Deux-Alpes » soit fourni comme nous l'attendions et si ce n'est pas possible, nous demandons la rĂ©siliation sans frais A titre collectif, nous demandons la suppression de la mention litigieuse afin que d'autres clients ne soient pas abusĂ©s comme nous l'avons Ă©tĂ©. En l'absence de rĂ©ponse de votre part et en cas de rĂ©ponse nĂ©gative, nous enverrons dans un premier temps un courrier recommandĂ© et dans un deuxiĂšme temps, nous saisirons le procureur de la RĂ©publique du dossier que nous avons d'ores et dĂ©jĂ  prĂ©parĂ©. En nous constituant partie civile, il nous sera alors possible d'obtenir rĂ©paration. Cordialement, Monsieur et Madame Apprenti-juriste" ArticleL121-1 du Code de la consommation - I.-Une pratique commerciale est trompeuse si elle est commise dans l'une des circonstances suivantes : 1° Lorsqu'elle crĂ©e une confusion avec un autre bien ou service, une marque, un nom commercial, ou un autre signe distinctif d'un concurrent ; 2° Lorsqu'elle repose sur des

Code de la consommationChronoLégi Article L121-1 - Code de la consommation »Version à la date format JJ/MM/AAAAou duVersion en vigueur depuis le 01 juillet 2016 Naviguer dans le sommaire du code Les pratiques commerciales déloyales sont interdites. Une pratique commerciale est déloyale lorsqu'elle est contraire aux exigences de la diligence professionnelle et qu'elle altÚre ou est susceptible d'altérer de maniÚre substantielle le comportement économique du consommateur normalement informé et raisonnablement attentif et avisé, à l'égard d'un bien ou d'un service. Le caractÚre déloyal d'une pratique commerciale visant une catégorie particuliÚre de consommateurs ou un groupe de consommateurs vulnérables en raison d'une infirmité mentale ou physique, de leur ùge ou de leur crédulité s'apprécie au regard de la capacité moyenne de discernement de la catégorie ou du groupe. Constituent, en particulier, des pratiques commerciales déloyales les pratiques commerciales trompeuses définies aux articles L. 121-2 à L. 121-4 et les pratiques commerciales agressives définies aux articles L. 121-6 et L. en haut de la page

EntĂ©moigne d’ailleurs un autre arrĂȘt de la premiĂšre chambre civile ayant censurĂ© un jugement qui avait dĂ©cidĂ© que le contrat d’insertion publicitaire conclu Ă  la suite d’un
Code de la consommationRechercher dans le texte...Rechercher dans cet articleRechercher dans tout le codeRĂ©initialiserChronoLĂ©gi Article L121-19 - Code de la consommation »Version Ă  la date format JJ/MM/AAAAou duVersion en vigueur depuis le 01 juillet 2016Code de la consommationPartie lĂ©gislative nouvelle Articles liminaire Ă  L823-2 Article liminaire Livre Ier INFORMATION DES CONSOMMATEURS ET PRATIQUES COMMERCIALES Articles L111-1 Ă  L141-2Titre II PRATIQUES COMMERCIALES Articles L120-1 Ă  L122-25Chapitre Ier Pratiques commerciales interdites Articles L121-1 Ă  L121-24Section 8 Ventes ou prestations de service avec primes Article L121-19 Article L121-19 Naviguer dans le sommaire du code Version en vigueur depuis le 01 juillet 2016CrĂ©ation Ordonnance n°2016-301 du 14 mars 2016 - interdite toute vente ou offre de vente de produits ou de biens ou toute prestation ou offre de prestation de services faite aux consommateurs et donnant droit, Ă  titre gratuit, immĂ©diatement ou Ă  terme, Ă  une prime consistant en produits, biens ou services dĂšs lors que la pratique en cause revĂȘt un caractĂšre dĂ©loyal au sens de l'article L. 121-1. Les dispositions du prĂ©sent article s'appliquent Ă  toutes les activitĂ©s de production, de distribution et de services, y compris celles qui sont le fait de personnes publiques, notamment dans le cadre de conventions de dĂ©lĂ©gation de service public. Les rĂšgles relatives aux ventes avec primes applicables aux produits et services proposĂ©s pour la gestion d'un compte de dĂ©pĂŽt sont fixĂ©es au 2 du I de l'article L. 312-1-2 du code monĂ©taire et financier.
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