LesAventures de "Alice au Pays des merveilles" ne sont donc qu’un mauvais rêve dans lequel Alice incarne le parfait équilibre. Lewis Carroll aura finalement sauvé la morale de son histoire en prouvant que ce qui n'est pas structuré ne peut aboutir concrètement sans faire place à l'anarchie. Ce chef-d’œuvre de la littérature enfantine a été adapté au cinéma une première fois

Trailers News et dossiers Photos Casting Date de sortie 24/07/2010 Au cinéma 01h48 Titre original Alice in Wonderland Réalisé par Tim Burton Avec Mia Wasikowska , Johnny Depp , Anne Hathaway , Helena Bonham Carter , Crispin Glover , Marton Csokas , Lindsay Duncan , Matt Lucas , Geraldine James , Tim Pigott-Smith , Leo Bill , Frances de la Tour , Michael Sheen , Alan Rickman , Christopher Lee , Stephen Fry , Timothy Spall , I Paul Whitehouse , Barbara Windsor , I Michael Gough , Imelda Staunton , Eleanor Tomlinson , Jemma Powell , Eleanor Gecks , Rebecca Crookshank , Holly Hawkins , Lucy Davenport , Joel Swetow , Jessica Oyelowo , Ethan Cohn , Chris Grabher , Bonnie Parker , Simone Sault , Dale Mercer , Cortney Palm , Harry Taylor Genre Aventures, Fantaisie Nationalité États-Unis Aventures Fantaisie Synopsis Alice au Pays des merveilles Alice, désormais âgée de 19 ans, retourne dans le monde fantastique qu'elle a découvert quand elle était enfant. Elle y retrouve ses amis le Lapin Blanc, Bonnet Blanc et Blanc Bonnet, le Loir, la Chenille, le Chat du Cheshire et, bien entendu, le Chapelier Fou. Alice s'embarque alors dans une aventure extraordinaire où elle accomplira son destin mettre fin au règne de terreur de la Reine Rouge. critique Alice au Pays des merveilles Alice au pays des merveilles critique décolorée Il est fort à parier que les fans de la première heure du duo Depp / Burton ahhhhh Edward aux mains d'argent vont tomber à bras raccourci sur cette septième Critique - Film 22/03/2010 dernières news et dossiers Alice au Pays des merveilles Sweeney Todd sur Netflix quand Tim Burton est-il devenu mauvais ? Quand est-ce que Tim Burton a commencé à déconner ? Avec Sweeney Todd et Les Noces funèbres sur Netflix, la question se repose, encore. Dossier - Film 04/10/2020 Alice au pays des merveilles encore une version, cette fois sur Netflix Netflix prépare une nouvelle adaptation d'Alice au pays des merveilles, avec la star du film Work It dans le rôle-titre. Actualité - Film 07/10/2020 Netflix prépare un crossover entre Alice au pays des Merveilles et Le Magicien d'Oz Si vous trouviez que Netflix faisait n'importe quoi, c'est que vous ne connaissiez pas encore ce crossover entre Alice et Le Magicien d'Oz... Actualité - Film 09/04/2019 Voir toutes les news et dossiers sur Alice au Pays des merveilles dernières bandes-annonces Alice au Pays des merveilles Voir toutes les bandes annonces de Alice au Pays des merveilles dernières photos Alice au Pays des merveilles Voir toutes les photos de Alice au Pays des merveilles

Regarderle film Alice in Wonderland en streaming complet VOSTFR, VF, VO | Tim Burton Durée 1 heure 48 minutes Genres Familial, Fantastique, Aventure Langue Anglais Alice in Wonderland Alice au pays des merveilles Regarder sur Disney+ 5 mars 2010 44K membres

Notedesutilisateurs Bande-annonce Vous avez un rendez-vous très important Synopsis Alice, désormais âgée de 19 ans, retourne dans le monde fantastique qu'elle a découvert quand elle était enfant. Elle y retrouve ses amis le Lapin Blanc, Bonnet Blanc et Blanc Bonnet, le Loir, la Chenille, le Chat du Cheshire et, bien entendu, le Chapelier Fou. Alice s'embarque alors dans une aventure extraordinaire où elle accomplira son destin mettre fin au règne de terreur de la Reine Rouge. Tim Burton Director Lewis Carroll Novel Linda Woolverton Screenplay You need to be logged in to continue. Click here to login or here to sign up. Général s Mettre le curseur dans la barre de recherche p Ouvrir le menu du profil esc Fermer une fenêtre ouverte ? Ouvrir la fenêtre des raccourcis clavier Sur les pages des médias b Retour ou vers le parent si faisable e Afficher la page de modification Sur les pages des saisons des émissions télévisées → Afficher la saison suivante flèche droite ← Afficher la saison précédente flèche gauche Sur les pages des épisodes des émissions télévisées → Afficher l'épisode suivant flèche droite ← Afficher l'épisode précédent flèche gauche Sur toutes les pages des images / photos a Ouvrir la fenêtre d'ajout d'image / photo Sur toutes les pages de modifications t Ouvrir le sélecteur de traduction ctrl+ s Envoyer le formulaire Sur les pages des discussions n Créer une nouvelle discussion w Basculer le statut de suivi p Basculer publique / privée c Basculer fermer / ouvrir a Ouvrir l'activité r Répondre à la discussion l Afficher la dernière réponse ctrl+ enter Envoyer votre message → Page suivante flèche droite ← Page précédente flèche gauche
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Ainsi le film de Tim Burton en 2010 ou la série Once Upon a Time in Wonderland (ABC, 2013-2014) imaginent tous deux une Alice devenue jeune adulte revenant au Pays des merveilles. L’héroïne étant extrêmement populaire au Japon, on la retrouve dans de nombreux mangas. Ceux-ci en décalent l’intrigue pour en accentuer la perversité et la violence
La culture d’hier n’est pas l’ennemie de la culture d’aujourd’hui, mais son serviteur. En repoussant sans cesse la durée de protection des droits d’auteur, le législateur ampute régulièrement la part du domaine public dans le patrimoine littéraire et artistique. Une erreur aussi bien culturelle qu’économique, comme le démontre le succès au cinéma d’Alice au Pays des Merveilles. Lorsque le Statute of Ann a créé en 1710 pour la première fois un privilège en faveur des auteurs, la loi britannique prévoyait une durée d’exploitation exclusive de 14 ans au bénéfice de l’auteur, renouvelable une fois. Depuis, les législateurs de tous pays n’ont eu de cesse de rallonger la durée de protection des droits, et donc de repousser de fait la disponibilité des œuvres dans le domaine public. Actuellement en Europe, les auteurs bénéficient de l’exploitation exclusive de leurs œuvres pendant 70 ans… après leur mort. La belle affaire, qui enrichit les héritiers des auteurs morts à succès lire à ce sujet le dernier livre d’Emmanuel Pierrat et appauvrit mécaniquement les nouveaux auteurs qui cherchent leur place au milieu de rééditions à l’odeur cadavérique. A chaque fois que l’on repousse l’arrivée du domaine public, on prend davantage d’argent aux auteurs vivants pour le distribuer aux auteurs morts. C’est toute la logique du droit d’auteur d’incitation à la création qui est renversée, sans que quiconque ne semble trouver à y redire chez ceux qui légifèrent sur la durée de protection. La dernière œuvre du génial Tim Burton, Alice Au Pays des Merveilles, nous montre pourtant une fois encore l’intérêt culturel, social et économique du domaine public. Paru en 1865, le livre de Lewis Caroll, décédé en 1898, est passé depuis longtemps dans le domaine public. C’est ce qui avait permis à Disney de faire sa célèbre adaptation en 1951, et ce qui a permis au réalisateur Tim Burton de livrer sa propre adaptation soixante ans plus tard, pour le même studio. Or le film cartonne au Box Office, avec plus de 265 millions de dollars de recettes depuis sa sortie. Sans qu’il n’y ait là aucune injustice à l’égard des ayants droit, qui pourtant n’ont pas reçu le moindre centime de droits d’auteur. L’intérêt général du public est supérieur à l’intérêt particulier de l’héritier, et c’est tant mieux. Dans cette approche, la durée d’exploitation exclusive des droits accordée à l’auteur doit rester l’exception, et non devenir la règle. Par ailleurs, et c’est une leçon à en tirer, l’exploitation du domaine public fait vendre le domaine public. Sur Internet, les différentes éditions papier d’Alice Aux Pays des Merveilles s’arrachent, avec une concurrence que seul le domaine public génère dans le milieu littéraire. C’est à qui proposera la meilleure illustration, qui la meilleure préface, qui le meilleur prix, qui la meilleure traduction, qui le meilleur commentaire… Les réééditions du livre de Lewis Caroll se comptent par dizaines, et se vendent grâce à la publicité offerte par le film. Pour les éditeurs, c’est autant d’argent gagné qu’ils pourront réinvestir en partie dans la signature de nouveaux auteurs, sur lesquels ils bénéficieront d’un monopole temporaire. C’est en cela que le droit d’auteur devient une incitation à la création. Mais doit-on vraiment limiter cette concurrence qu’aux auteurs morts il y a plus de 70 ans ? En diminuant radicalement la durée des droits il a été calculé que la durée optimum serait de 14 ans après publication, on éviterait peut-être ces situations détestables où la création se trouve trop longtemps bridée par des intérêts mercantiles mal placés. On vous conseille fortement à ce sujet la lecture de cet article de BibliObs, qui montre comment les ayants droit d’Hergé font risquer la faillite à un éditeur de pastiches des aventures de Tintin, ou comment un auteur utilisant lui aussi l’image du célèbre reporter s’est fait saisir ses biens mobiliers et hypothéquer sa maison.
Dumbo un film de Tim Burton | Synopsis : Holt Farrier, une ancienne gloire du cirque, voit sa vie complètement chamboulée au retour de la guerre. Max Medici, propriétaire d'un chapiteau en
USA 1951 Titre original Alice in Wonderland Réalisateur Hamilton Luske, Wilfred Jackson, Clyde Geronomi Scénario D’après l’oeuvre de Lewis Carroll Acteurs CKathryn Beaumont, Bill Thompson, Sterling Holloway Production Walt Disney Pictures Durée 1h15 Genre Animation Date de sortie 1951 Réalisation [rating Scénario [rating Acteurs [rating Musique [rating Globale [rating Alice au Pays des Merveilles est le 17ème long métrage d’animation des studios Disney sorti en 1951. Adapté du roman de Lewis Carroll, Alice est l’un des films les plus critiqués des studios Disney, ayant connu un échec lors de sa sortie et engendré une perte sèche estimée à 1 million de dollars. Walt Disney lui-même a avoué ne pas aimer le dessin animé. Synopsis Alors qu’elle travaille à ses leçons, Alice se laisse entrainer par le sommeil et tombe dans une profonde rêverie. Poursuivant un lapin très en retard elle accède au pays des merveilles où une suite d’aventures rocambolesques et insolites l’attendent. Tantôt rapetissée, tantôt gigantesque, Alice oscile au gré de ses rencontres entre la quête du merveilleux et l’expérience cauchemardesque. Allociné Il y a une grosse différence entre regarder Alice au Pays des Merveilles en tant qu’enfant et en tant qu’adulte. Normal me direz-vous, toutes les œuvres sont perçues différemment selon l’âge du spectateur. Mais ce film plus particulièrement peut paraître choquant de nos jours pour le public adulte, tant le coté psychédélique et déjanté de Lewis Carrol a bien été retranscrit dans ce film à l’origine destiné aux enfants… Il faut bien avouer que le roman de Lewis Carroll nous embarque dans une œuvre absurde dans laquelle le réel est peu présent au profit de la folie qui tient une place plus qu’importante. Les scénaristes des studios Disney ont probablement retranscrit le roman trop fidèlement, ce qui lui confère une atmosphère presque dérangeante qui a probablement participé à son échec. Mais l’univers de Lewis Carroll est profond et embarquant. Alice a cependant connu une seconde vie durant les années 60, grâce au public universitaire de l’époque, plus célèbre sous le nom de hippies ». La consommation de drogue importante de cette génération a probablement contribué au phénomène. Le public trouvait dans le coté psychédélique du film une manière parfaite de triper au rythme des dessins fous, des personnages déjantés tels que le lièvre et le chapelier fou, et des musiques qui font planer. Le problème d’Alice au pays des merveilles n’était donc pas qu’il déplaise aux enfants, mais plutôt que les adultes le trouvent trop dérangé. En effet, un enfants qui regarde Alice n’y remarquera rien de mauvais et s’amusera devant les aventures loufoques de la jeune fille à la poursuite du lapin. Mais pour des parents à la recherche de bienséance, Alice peut effectivement déranger. Les dessins et mélodies de cette aventure sont superbes. Les images sont soignées et même 50 après toujours aussi belles. Le film est bien plus moderne que La Belle au bois dormant pourtant sorti 6 ans après. Les chansons sont entraînantes et restent facilement en mémoire. Le film passe très vite sans que l’on ne s’ennuie une minute. Les studios Disney iront jusqu’à l’adaptation film réalisé par Tim Burton en 2010. voir Alice au Pays des Merveilles 2010 Les personnages sont tous dotés de personnalités folles et sont depuis devenus cultes, à l’instar du chapelier fou, du lapin toujours en retard, de la chenille fumant un narghilé ou encore de la belle Alice. Mais derrière cette histoire nous avons bien droit à une morale la jeune Alice qui rêve d’un monde sans règles se rend rapidement compte de l’impossibilité de vivre dans un monde où chacun fait ce qu’il veut. Résumé Alice au Pays des Merveilles est une œuvre incroyable, bien plus proche de l’univers hippie des années 60 que du monde des enfants. Il n’en reste pas moins un film superbe, aux images envoûtantes, aux chansons magnifiques et à l’univers psychédélique. [youtube] Regarder Alice au Pays des Merveilles en streaming sur Megavideo Connaissantsur le bout des doigts, comme tout Anglais qui se respecte, l’univers de Lewis Carroll, il s’est infiltré, par deux fois, dans le terrier d’Alice au pays des merveilles. En 1999, il en donne une version au plus près de l’œuvre originale, allant même jusqu’à reproduire les fameuses illustrations de John Tenniel. Signée Tim Burton, l'adaptation en live action du grand classique Disney "Dumbo" sortira en mars 2019. CINÉMA- L'éléphanteau aux grandes oreilles revient voler sur nos écrans. Ce jeudi 15 novembre, les studios Disney ont partagé une nouvelle bande-annonce de leur film "Dumbo", annoncé pour mars 2019. La réalisation, signée Tim Burton -vraisemblablement toujours aussi fasciné par les marginaux- est l'adaptation en live action du dessin-animé de 1941. Si le célèbre réalisateur a déjà travaillé avec Disney sur l'adaptation d'"Alice au Pays des Merveilles" 2010, il a ici la lourde tâche de dépoussiérer un classique de l'animation, qui a laissé un souvenir particulier aux spectateurs en raison des nombreuses scènes déchirantes et particulièrement tristes pour des enfants. Le film suit Holt Farrier Colin Farrell, ex-artiste de cirque en charge de l'éléphanteau aux oreilles démesurées- ainsi que ses deux enfants Nico Parker et Finley Hobbins. Lorsque la petite famille réalise que l'animal sait voler, le vil entrepreneur Vandevere Michael Keaton y voit l'opportunité idéale de redresser le cirque en faillite de Max Medici Danny Devito. Mais c'est sans compter sur la détermination des enfants et de la trapéziste Colette Marchant Eva Green, bien décidés à protéger leur petit protégé. Le cirque de Dumbo s'installera dès le 27 mars 2019 au cinéma. Dans cette valse d'adaptation des grands classiques Disney suivront "Aladdin", "Le Roi Lion" et "Mulan" À voir aussi sur Le HuffPost LIRE AUSSI Disney dévoile une première bande annonce du “Dumbo” de Tim Burton Que nous réserve Disney +, le service de streaming de Disney? LaVille de Chenôve et la MJC mettent en place lundi une séance cinématographique en plein air avec la projection du film de Tim Burton Alice au pays des Merveilles. Cette séance se tiendra à Alice Alice Kingsleigh est une jeune femme de 19 ans qui s’interroge sur son avenir. D’un caractère indépendant, elle se sent piégée dans le monde étriqué qui est celui des femmes de l’aristocratie londonienne de l’époque victorienne. Les rêves d’Alice sont bien diférents des attentes de ceux qui l’entourent. Elle va rencontrer sa vraie destinée à Underland, un endroit qu’elle avait déjà visité lorsqu’elle était enfant et qu’elle avait appelé Wonderland, le Pays des Merveilles. Elle ne se souvient ni d’Underland, ni de ses habitants, ce qui ne l’empêche pas de retrouver ses amis, dont Absolem la Chenille, Chess, le Chat, Tweedledee et Tweedledum, et bien sûr le Chapelier croit être en train de rêver, il est impossible qu’elle grandisse et rapetisse ainsi tout le temps... Mais quand elle se retrouve face à des créatures qui n’ont rien d’amical et qu’on lui demande de défendre ce pays extraordinaire, elle n’est pas sûre d’être à la hauteur... Le personnage d'Alice est joué par Mia Wasikowska© Disney A voir également Alice au Pays des Merveilles le filmColoriage Alice au Pays des MerveillesLe Chapelier Fou Non seulement le Chapelier Fou ne dissimule pas ses sentiments, mais on peut lire facilement son humeur changeante sur son visage et dans sa attendait impatiemment le retour d’Alice et il est sans doute son meilleur ami, car il a foi en elle envers et contre tout. Il est courageux, et fera tout pour protéger la jeune ille, jusqu’à risquer sa propre autrefois le chapelier de la Reine Blanche et il exerçait son métier avec ierté, mais il soufre d’une intoxication au mercure - un redoutable effet secondaire du procédé de fabrication des chapeaux - et il n’est plus tout à fait lui-même... Le personnage du ChapelierFou est joué par Johnny Depp explique “J’ai toujours vu le Chapelier comme un personnage tragique. Il est, sous bien des aspects, une victime. Le mercure l’a empoisonné, c’est certain, mais cette version de l’histoire lui donne aussi un passé dramatique qui pèse lourdement sur le personnage.”© Disney A voir également Alice au Pays des Merveilles le filmColoriage Alice au Pays des MerveillesLa Reine RougeIracebeth est la tyrannique souveraine d’Underland. Ce personnage est la rencontre de la Reine de Coeur d’“Alice au Pays des Merveilles” et de la Reine Rouge de “De l’autre côté du miroir”. Avec son énorme tête, son tempérament colérique et sa manie de faire couper la tête à tout le monde, elle fait régner la terreur sur ses sujets. Sa jeune soeur, la Reine Blanche, espère remonter sur le trône et reprendre la couronne qu’Iracebeth lui a volée autrefois.>Le personnage de La Reine Rouge est joué par Helena Bonham Carter© Disney A voir également Alice au Pays des Merveilles le filmColoriage Alice au Pays des MerveillesLa Reine BlancheMirana, la reine Blanche est la jeune soeur de la Reine Rouge. Son apparence douce et lumineuse cache aussi certains aspects plus Alice revient à Underland, la Reine Blanche la prend sous son aile et lui offre sa protection, mais ses motivations profondes ne sont pas complètement altruistes... Le personnage de la Reine Blanche est joué par Anne Hathaway explique “Après tout, elle et la Reine Rouge ont certains gènes en commun ! Mirana est très attirée par sa propre part d’ombre, mais elle a trop peur de s’y aventurer et fait en sorte que tout paraisse léger et joyeux. Elle craint constamment de perdre le contrôle d’elle-même.”© Disney A voir également Alice au Pays des Merveilles le filmColoriage Alice au Pays des MerveillesLe Chat du Cheshire Ce chat tigré tiré à quatre épingles a le pouvoir d’apparaître et de disparaître à volonté. D’un calme à toute épreuve et d’une sensualité nonchalante, il arbore un sourire séducteur qui masque sa lâcheté. C’est d’abord la tête désincarnée de ce matou qui apparaît à Alice dans le bois de Tulgey, après qu’elle a été attaquée par le vicieux Bandersnatch. Le Chat propose de purifier les blessures de son bras en les léchant. Alice refuse, mais lui permet de la conduire jusqu’au thé donné par le Chapelier. Celui-ci reproche au Chat d’avoir fui le jour où la Reine Rouge a pris le pouvoir à utilisant ses talents et le très convoité chapeau du Chapelier, Chessur finira par trouver le moyen de se racheter...© Disney A voir également Alice au Pays des Merveilles le filmColoriage Alice au Pays des MerveillesTweedledee et TweedledumCes deux frères jumeaux rondelets ne sont jamais d’accord, et leur drôle de façon de parler n’a de sens que pour arrive à Underland, elle leur demande de la guider. Innocents, enfantins et charmants, ils veulent bien faire mais leur aide n’est pas très eicace parce qu’ils parlent un langage bizarre et incompréhensible où se mélangent rythmes et devinettes. Les personnages de Tweedledee et Tweedledum sont tous les deux joués par Matt Lucas. Matt Lucas, le comédien britannique qui les incarne tous les deux, explique “Je me suis dit que les Tweedles n’avaient jamais rencontré d’humain avant Alice. Ils sont très curieux à son sujet. À leurs yeux, c’est Alice qui est un être bizarre, tout le reste est normal. Le Pays des Merveilles est leur normalité. Une chenille qui parle, c’est normal. Une jeune fille, c’est tout à fait inhabituel !”© Disney A voir également Alice au Pays des Merveilles le filmColoriage Alice au Pays des MerveillesLe LoirMallymkun, la souris portant une culotte de cheval, est prompte à se battre à l’épée. Elle refuse de croire que le Lapin Blanc a ramené la véritable Alice, celle qui pourrait rendre à Underland sa splendeur d’ est ravie de piquer la pauvre Alice à la cheville avec une épingle à chapeau lorsque la jeune fille croit être en train de rêver. Mais cette dure à cuire va prouver son courage lorsqu’Alice est menacée par le terrible Bandersnatch. La loyauté de Mallymkun envers le Chapelier est sans égale, et elle est prête à afronter la mort pour rester à ses côtés.© Disney A voir également Alice au Pays des Merveilles le filmColoriage Alice au Pays des MerveillesLe LièvreC’est chez le Lièvre de Mars qu’ont lieu les thés donnés par le Chapelier Fou. Paranoïaque, angoissé et légèrement dérangé, il se tord constamment les pattes et les oreilles et il a tendance à lancer sur tout le monde des théières et d’autres objets !Il aime faire la cuisine et il est l’un des rares habitants d’Underland à avoir échappé aux grifes de la Reine Rouge.© Disney A voir également Alice au Pays des Merveilles le filmColoriage Alice au Pays des MerveillesLa chenilleAbsolem la Chenille sait tout. C’est le gardien absolu de l’Oraculum, un très ancien document qui dépeint tous les événements majeurs passés, présents ou à venir de l’histoire d’Underland. Mac Twisp, Le Lapin Blanc, Tweedledee et Tweedledum emmènent Alice voir Absolem pour qu’il puisse se prononcer est-elle oui ou non la véritable Alice, celle qui est déjà venue à Underland lorsqu’elle était enfant, et dont le destin est de les aider ?Alice et ses compagnons trouvent la Chenille bleue confortablement installée sur un champignon, au coeur d’une forêt de champignons, environnée par un nuage de fumée. Absolem pousse Alice à mieux comprendre qui elle est vraiment en l’obligeant à affronter cette question difficile “Qui es-tu ?”© Disney A voir également Alice au Pays des Merveilles le filmColoriage Alice au Pays des MerveillesLe Lapin BlancMcTwisp est toujours en retard, toujours pressé, toujours en train de courir. Chargé de retrouver Alice et de la ramener à Underland pour qu’elle puisse accomplir sa destinée, il se montre à la garden-party pour attirer la jeune ille et la faire tomber dans le terrier qui mène à Underland. Michael Sheen, voix originale du Lapin Blanc déclare “Le Lapin Blanc est un personnage chaleureux, mais qui peut aussi se montrer tatillon et strict avec Alice. Il a du ressort, une énergie toute de nervosité, et il a toujours l’impression d’être en retard. Le temps est très important pour lui, mais il sait aussi se montrer courageux quand il le faut.”© DisneyA voir également Alice au Pays des Merveilles le film Coloriage Alice au Pays des Merveilles

Aliceau pays des merveilles (2010) Plongez dans l’univers fantastique du célèbre conte, Alice au pays des merveilles, revisité par le génial réalisateur

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Cefilm est la suite d’Alice au pays des merveilles (2010), l’adaptation à succès du célèbre roman de Lewis Carroll par Tim Burton. Découvrez infos, images, bande annonce et extrait de ce long métrage diffusé sur W9 le jeudi 5 décembre 2019.
18 avril 2010 7 18 /04 /avril /2010 2012 Il y a quelques jours, en compagnie d’amies et de mon fiston, nous sommes allés voir le dernier Tim Burton. J’avoue que je suis adepte de ses films qu’ils soient d’animation ou non. C’est un univers particulier loin des sentiers habituels, sombres et mystérieux, à l’humour légèrement noir. Une ambiance. Je ne sais pas exactement d’où lui est venu l’inspiration ; j’avais entendu parler De l’autre côté du miroir mais comme je ne l’ai pas lu, je ne saurais dire. Evidemment, nous y retrouvons les personnages connus du livre d’origine, les situations absurdes et insensées, les transformations de l’environnement et de la jeune fille au hasard des circonstances. Alice est devenue une jeune fille de 19 ans. Son père est décédé et sa mère espère la marier à un lord pour assurer son avenir ; cependant, ce lord est affreusement guindé, froid, pédant, laid. Alice est perdue. Elle s’échappe de la grande cérémonie de demande en mariage en suivant le lapin blanc. Après sa chute entre les racines d’un arbre, elle arrive dans le pays des merveilles où une Alice est attendue pour le sauver de la tyrannie de la reine rouge. Bien que niant être cette sauveuse, elle est entrainée dans l’aventure et retrouve avec d’étranges sensations des personnages qu’elle reconnait dont en particulier le chapelier fou. Entre les histoires racontées par son père dans son enfance et cette aventure, elle divague. Finalement, elle remplit sa mission après de nombreuses péripéties et retourne dans le monde réel pour refuser le mariage et devenir l’associé de feu son père qui aurait dû être son beau-père. Si je raconte la fin, c’est parce que j’ai trouvé rocambolesque cette appropriation moderne d’une histoire de l’époque victorienne. La jeune fille qui bouleverse les plans de vie qui lui étaient destinés pour devenir une sorte d’aventurière, c’est un thème très contemporain. Qui aurait osé imaginer pareille revirement du temps de Lewis Carroll ? Le livre d’origine est donc une base sur laquelle une aventure aux valeurs actuelles se développe. En outre, les jeux de mots si particuliers de l’original n’apparaissent nullement dans les dialogues ou les situations de ce film. Autant le dire alors, c’est une interprétation visuelle d’Alice par Tim Burton. Variation délicieuse néanmoins puisque j’aime ces ambiances, variation donc pour les adeptes de cette esthétique. Dans les arbres, les décors, certains personnages grotesques, j’ai vu Les noces funèbres et L’étrange Noël de Monsieur Jack. Dans le personnage du chevalier noir au service de la reine rouge, j’ai vu Sleepy Hollow ; dans les personnages cocasses, Charlie et la Chocolaterie. Dans le plan d’entrée sur la scène de bataille, Beetlejuice. Dans l’univers de la reine blanche, des échos d’Edward aux mains d’argent. En bref, un synopsis de la filmographie de Tim Burton. Avec la 3D, c’est un léger plus pour donner de la profondeur au décor, je ne pense pas cependant que ce soit indispensable ; tout est si chargé et opulent qu’il y a suffisamment à regarder sur divers plans, en divers visionnages normalement. La conclusion est somme toute traditionnelle avec cette Alice renversant les règles de la vie réelle grâce à la force que lui donne son imagination développée dans le pays de merveilles. L’esthétisme est travaillé gracieusement, Tim Burton s’éclate, se lâche grâce aux possibilités d’étrangeté offertes par l’œuvre originale et la technique actuelle du cinéma. Les personnages en particulier sont richement caractérisés et méritent d’être vus et revus. Dommage que ces décors opulents, ces costumes recherchés et enlevés, ces personnages atypiques, cet immense travail d’orfèvre servent une narration stéréotypée. Je ne suis pas certaine que ce film me marquera parce qu’il y manque un soupçon d’originalité... est- ce là le contrôle de Disney ? Tant pis, j’aurais préféré plus d’audace sur le fond et pas uniquement sur la forme. Published by fée des agrumes - dans Culturée TimBurton. Naissance : 26 août 1958 Age : 52 ans Nationalité: américaine Profession : réalisateur, scénariste, producteur Succès : Edward aux mains d’argent, Alice aux Pays des Merveilles, Batman Récompenses : Lion
Alice au Pays des Merveilles, un récit qui a inspiré tant d’œuvres, notamment au cinéma. Si pour beaucoup l’adaptation du texte de Lewis Carroll est d’abord [celle de Walt Disney] dans les années 1950, ce ne fut ni la première, ni la dernière comme en a malheureusement témoigné la version de Tim Burton sortie en début d’année. Bien des années avant cette remise au goût du jour, Norman McLeod sortait sa vision son Alice au Pays des Merveilles est sorti en 1933 et c’était déjà à l’époque une version très moderne, avec multiples effets spéciaux. Ces derniers ont aujourd’hui un charme désuet, mais le film vaut surtout par l’influence qu’il a pu avoir sur l’imaginaire collectif entourant Alice. Alice au Pays des Merveilles version 1933 mêle en fait les deux récits de Lewis Carroll. Si la postérité retient surtout le premier opus et notamment son titre, le Britannique avait aussi écrit une suite nommée De l’autre côté du miroir. McLeod choisit de commencer son film avec ce dernier Alice, 12 ans et quatre mois, s’ennuie ferme alors qu’on l’interdit de sortir sous la neige. Rester auprès du feu avec sa surveillante pour coudre ne l’enchante guère et elle tourne en rond, littéralement. Profitant du départ de la surveillance adulte, elle monte sur la cheminée et pousse le miroir tout en imaginant la maison de l’autre côté, une maison qui serait identique à la sienne, mais inversée. Là voilà qui passe de l’autre côté du miroir et découvre un monde effectivement inversé, où les portes s’ouvrent du bas vers le haut et où on peut regarder une photo de l’arrière. C’est aussi un monde étrange où les horloges parlent et disent n’importe quoi et où les pièces d’un échiquier sont vivantes. Alors que l’histoire semblait donc clairement s’orienter du côté du miroir, l’histoire traditionnelle d’Alice reprend vite ses droits. La jeune fille suit un lapin dans le jardin, tombe dans le trou et se retrouve dans la fameuse pièce avec la petite porte. Dès lors, tous les évènements bien connus sont exploités par le film, le chapelier fou et son thé permanent, la reine rouge qui veut décapiter tout le monde et joue au cricket avec des Flamands roses, la chenille qui fume un narguilé, le mystérieux chat fantôme, etc. Il est assez fascinant de constater que l’histoire d’Alice se répète sans vrais ajouts d’une adaptation à l’autre. Certes, l’histoire est toujours la même, celle de Carroll. Mais enfin, le récit fantastique était suffisamment riche pour permettre des adaptations différentes et on s’aperçoit vite qu’elles sont toutes très proches. Le cru 1933 de Alice au Pays des Merveilles donne un peu l’impression de voir les fondements d’un mythe qui sera ensuite décliné, mais jamais vraiment renouvelé[^1]. La scène de la chute dans le trou et de la petite pièce reprendre ainsi à s’y méprendre à leurs équivalents chez Disney ou même chez Burton. À tel point que l’on peut avoir le sentiment d’assister à une énième redite un brin lassante, ce qui n’est pas juste si l’on pense à la chronologie. L’inspiration est forte, au point qu’une séquence entière a été simplement dupliquée dans le film d’animation de Walt Disney le film de McLeod contient une séquence animée pour raconter l’histoire cruelle des huitres et la séquence est identique, la couleur exceptée, à ce que fera Walt Disney une vingtaine d’années plus tard. Une manière de signaler l’inspiration principale pour les studios d’animation ? Comme chez Walt Disney, le message de Lewis Carroll est édulcoré par le Alice au Pays des Merveilles de McLeod. Le texte original s’adressait aux enfants pour proposer un message bien éloigné du puritanisme anglican, offrant à ceux qui savaient lire entre les lignes une célébration de la drogue en bonne et due forme. Rien de tel ici les substances avalées par Alice sont toujours inoffensives même quand il s’agit d’un champignon, tandis que la fumée de la chenille, par exemple, n’a aucune utilité concrète. De manière générale, le film propose un traitement premier degré assez surprenant pour nos yeux modernes habitués aux films à plusieurs niveaux. Aucun second degré perceptible ici, on suit une petite fille modèle dans ce pays merveilleux et on le découvre avec ses yeux et ses yeux seulement. Alice s’émerveille souvent, s’étonne de temps en temps, a parfois peur… mais cela ne va jamais bien loin. Encore enfant, elle accepte largement ce qu’elle voit et tout le côté roman initiatique a totalement disparu quand le film se termine, Alice se réveille et c’est comme s’il ne s’était rien passé. Ce premier degré est constant et donne lieu à quelques dialogues totalement absurdes et parfois involontairement comiques. On regarde l’ensemble d’un air amusé, incapables de prendre au sérieux cet univers, comme s’il ne s’agissait que d’une parodie. Le film est cependant plus noir que le dessin animé qui a suivi par exemple, et met plus l’accent sur l’absurdité des situations on a ainsi une séquence d’anthologie avec une tortue à tête de vache qui n’arrête pas de pleurer et qui est plutôt impressionnante. Beaucoup plus, d’ailleurs, que la reine rouge habituellement grande méchante des adaptations d’Alice au Pays des Merveilles, mais traitée ici sur le mode de la bouffonnerie et de la farce. Sorti dans les années 1930, Alice au Pays des Merveilles est également techniquement amusant aujourd’hui. Pourtant, le film n’est pas totalement ridicule, loin de là. Le tournage a été fait sans doute entièrement en studio, avec de nombreux décors et toiles peintes créés pour le film, ainsi que de nombreux déguisements ou marionnettes. Tous les personnages fantastiques sont interprétés par de véritables acteurs, ce qui leur donne un côté théâtral assez plaisant. À comparer cette version à l’ancienne et la très moderne et mauvaise version de Tim Burton sortie récemment et qui faisait étalage d’une puissance technique sans borne et sans intérêt, on se dit que les effets spéciaux à outrance ne sont pas forcément une bénédiction pour le cinéma. Alors certes, le flou pour signifier les changements de taille d’Alice, c’est un peu léger, mais peu importe et cet Alice au Pays des Merveilles a clairement un charme. Cela dit, au jeu des comparaisons, on se dit aussi que la meilleure version reste peut-être, finalement, celle de Walt Disney. Peut-être est-ce le souvenir de l’enfance qui ressort, mais je trouve qu’une histoire comme celle d’Alice bénéficie bien des libertés offertes par l’animation. Tim Burton a cependant bien prouvé qu’une liberté technique totale ne suffit pas à faire une bonne adaptation de Alice au Pays des Merveilles. À choisir, je préfère encore le charme désuet de la 1933 qui a en plus le bon goût de ne pas durer trop longtemps et qui ne souffle d’aucune baisse de rythme, les différents éléments s’enchaînant à toute allure. L’adaptation de Alice au Pays des Merveilles par Norman McLeod est un document intéressant par son statut de film fondateur. Sa vision du récit de Lewis Carroll est celle qui s’est imposée depuis et que l’on retrouve autant dans le dessin animé de Walt Disney des années 1950 que dans la version Tim Burton de 2010. Bénéficiant d’une technique au charme désuet, le film se révèle très premier degré quant à sa vision de cet univers fantastique marqué entre les lignes par la drogue. Intéressant pour les amateurs d’Alice au Pays des Merveilles… Le film sortira en DVD en septembre, dans une version restaurée, mais qui présente malgré tout de nombreux signes de son grand âge.
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