voilatous sur ma vie des poÚme et des chevaux que j'aime tant !!!!! Les poÚme. Centerblog. Articles; Blogs; Images; Partager sur Facebook Partager sur Twitter. Rechercher. Gérer mon blog. Ajouter en ami. A propos de ce blog. Nom du blog : mel0259 Description du blog : voila tous sur ma vie des poÚme et des chevaux que j'aime tant !!!!! Catégorie : Blog Photo Date de création :

Un texte sur la mort d’un proche peut ĂȘtre trĂšs difficile Ă  Ă©crire. En effet, les Ă©motions prennent le dessus. La douleur devient plus rĂ©elle. Parfois, ce n’est que lorsque vous vous apprĂȘtez Ă  rendre hommage Ă  un ami dĂ©cĂ©dĂ© ou Ă  un proche que vous vous rendez compte Ă  quel point vous souffrez. Une perte est une perte ! De nombreuses fois, j’ai entendu les gens dire Oui, c’est dur, mais c’était ton ami. Ce n’est pas comme si tu avais perdu ta mĂšre ! J’aimerais rappeler une chose, deux en fait ! Personne n’a le droit de juger la souffrance ou la douleur des autres. Et une perte est toujours douloureuse. Que cela soit un ami, un membre de la famille ou un animal de compagnie. Il est important de comprendre que chacun de nous gĂšre la douleur Ă  sa façon. Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise maniĂšre de faire. Et il n’y a pas de bonne ou de mauvaise maniĂšre d’écrire un texte sur la mort d’un proche. Ce qui veut aussi dire que la douleur d’une personne n’est pas plus importante que celle d’une autre. Chacun de nous a un seuil de tolĂ©rance diffĂ©rent. Celui-ci est créé grĂące, ou Ă  cause, des expĂ©riences que l’on a vĂ©cues. Et je sais de quoi je parle. En l’espace de cinq ans, j’ai perdu mon pĂšre, ma sƓur, ma mĂšre et un bĂ©bĂ©. Je sais que cela peut paraĂźtre incroyable, mais c’est vrai. Et personne ne peut connaĂźtre ma douleur. Personne ne peut comprendre comment je me lĂšve le matin pour affronter le monde et les gens. Mais en mĂȘme temps, je n’ai pas le droit de juger la douleur des autres. Je ne la comprends pas ! Mais une chose est sĂ»re ! Le fait d’écrire mes Ă©motions a Ă©tĂ© cathartique pour moi. Cela m’a aidĂ© Ă  les affronter, Ă  les comprendre et Ă  les guĂ©rir. Texte sur la mort d’un proche Ă©crire pour pardonner, guĂ©rir ou oublier Je sais que beaucoup de personnes ne comprennent pas le besoin d’écrire. Mais je vous garantis que cela peut vous sauver. Quand vos Ă©motions sont trop nombreuses, trop lourdes, trop omniprĂ©sentes, un texte pour rendre hommage Ă  quelqu’un peut ĂȘtre d’un grand secours. Selon la relation que vous aviez avec cette personne, Ă©crire un message pour un dĂ©cĂšs douloureux va vous permettre de pardonner les erreurs que cette personne a faites. Un texte pour rendre hommage Ă  quelqu’un est aussi l’occasion de dire Ă  cette personne combien vous l’aimiez, une derniĂšre fois. Enfin, c’est l’opportunitĂ© de poser la douleur, de l’accepter et de commencer Ă  la guĂ©rir. Vous ne pouvez pas guĂ©rir quelque chose que vous ne voulez pas admettre. Vous avez le droit d’avoir mal. Vous avez le droit de pleurer. Tout cela est le processus normal du deuil. VoilĂ  pourquoi je vous conseille d’écrire un texte sur la mort d’un proche qui va vous permettre de dire au revoir », merci », je t’aime » et je continue d’avancer ». Choisissez un message pour un dĂ©cĂšs qui vous correspond. Texte sur la mort d’un proche des messages touchants pour dire au revoir » Quand une personne que vous aimez dĂ©cĂšde, la chose la plus dure Ă  faire est de dire au revoir ». Vous savez que vous ne verrez plus jamais cette personne et cette pensĂ©e vous fait beaucoup de mal. Malheureusement, il n’y a pas de recette miracle pour effacer cette blessure. Vous devez l’accepter et travailler dessus. Voici quelques idĂ©es pour un texte sur la mort d’un proche qui va vous aider Ă  faire un dernier coucou. Que la personne dĂ©cĂ©dĂ©e soit un ami, un membre de votre famille ou tout simplement une connaissance, vous pouvez adapter chacun de ces messages pour un dĂ©cĂšs. Choisissez un texte sur la mort d’un proche qui vous correspond. 1. Ton dĂ©cĂšs a Ă©tĂ© un vrai choc pour moi. Mais ma souffrance n’est rien en comparaison Ă  l’injustice que tu as vĂ©cu quand ta vie a Ă©tĂ© stoppĂ©e si tĂŽt. Je t’aime toujours et je suis reconnaissante que tu sois avec les anges qui continuent Ă  veiller sur moi. 2. Parfois, je me demande si la vie vaut la peine d’ĂȘtre vĂ©cue sans toi. Puis, je me dis que tu m’en voudrais de baisser les bras. Alors, je relĂšve la tĂȘte et je continue d’avancer. Merci de me soutenir et de continuer Ă  me guider. 3. Je suis bluffĂ©e par le fait que tu aies eu autant d’influence sur la vie des gens qui t’entouraient. Comment une seule Ăąme peut-elle ĂȘtre aussi gĂ©nĂ©reuse et aimante ? Je suis honorĂ©e d’avoir eu l’occasion de te voir faire des miracles. 4. Merci pour tout ! DorĂ©navant, ton sourire est un souvenir. Ton rire est un son lointain. Mais cela ne veut pas dire qu’ils seront oubliĂ©s un jour. En effet, tu as eu tellement d’influence sur moi que je continuerai Ă  te chĂ©rir jusqu’à mon dernier jour. 5. Mon coeur est inconsolable ! J’ai perdu un ĂȘtre cher et je ne suis pas sĂ»re que je pourrai m’en remettre. D’ailleurs, je ne suis pas sĂ»re de vouloir m’en remettre, comme si la douleur m’aidait Ă  rester connectĂ©e Ă  toi. 6. Je t’aime tellement que la mort ne peut pas nous sĂ©parer. Ne t’inquiĂšte pas, tu ne seras jamais oubliĂ©. Tu ne seras jamais remplacĂ©, car tu as laissĂ© une trace indĂ©lĂ©bile que je vais continuer Ă  chĂ©rir. 7. De toi Ă  moi, je ne peux pas dire qu’il va ĂȘtre facile de ne plus te voir tous les jours. Mais en mĂȘme temps, je dois accepter le fait que tu n’apporteras plus de joie dans ma vie. Je dois donc me contenter des souvenirs que nous avons construits ensemble. Je dois donc te remercier pour ça, car c’est ce qui me permet d’avancer. 8. Comment ne pas souffrir quand un ĂȘtre aussi bien nous quitte ? Je pleure ton absence tous les jours, mais je dois rester forte, car je veux honorer ton souvenir et te rendre fier. 9. La tristesse qui est nĂ©e en moi quand tu nous as quittĂ©s n’a d’égale que la joie d’avoir eu l’occasion de faire partie de ta vie. Merci pour toutes les expĂ©riences. Merci pour tous les souvenirs. Chaque pas que je fais est un autre pas vers toi. 10. Merci pour l’amour, l’amitiĂ© et la passion que tu as apportĂ© dans ma vie. Je ne pourrai jamais te le dire en face, alors je te l’écris tu as changĂ© ma vie en mieux et je vais faire en sorte de te rendre fier et heureux. Texte sur la mort d’un proche un hommage douloureux pour dire je t’aime » Une chose me hante souvent est-ce que j’ai suffisamment dit je t’aime » ? Il est impossible de rĂ©pondre Ă  cette question. Et comme il est impossible de dire Ă  quel moment vous allez voir une personne pour la derniĂšre fois, vous ne pouvez pas vous en vouloir. Vous avez sĂ»rement entendu un certain nombre de fois une personne dire je n’ai pas eu le temps de lui dire je t’aime' ». Eh bien, un texte sur la mort d’un proche est l’occasion parfaite de corriger cela. Inspirez-vous des messages pour un dĂ©cĂšs suivants pour rendre un hommage touchant Ă  la personne qui vous a quittĂ© trop tĂŽt. 11. Perdre un proche est douloureux surtout quand vous n’avez pas eu le temps de lui dire tout ce que vous vouliez. Je t’aime infiniment et j’espĂšre que tu le sais. Envoie-moi un signe pour me rassurer ! 12. DĂ©sormais, tu fais partie du paradis. Tu as laissĂ© une place vide auprĂšs de moi et je ne pense pas que qui que ce soit pourra te remplacer un jour. Mais cela ne m’effraie pas. Je sais que ton esprit me soutient chaque jour. 13. Je t’aime pour l’éternitĂ© et maintenant que tu n’es plus lĂ , cette phrase prend enfin son sens. Merci pour ton soutien et ta patience, je ne pourrais jamais te rendre la pareille. Alors, je vais faire mon possible pour vivre la vie que tu as toujours rĂȘvĂ©e d’avoir. 14. Jamais je ne cesserai de t’aimer. Ton absence physique ne change rien aux sentiments que j’ai pour toi. Les Ă©motions seront sĂ»rement difficiles Ă  gĂ©rer parfois, mais je sais que je me relĂšverai toujours plus forte grĂące Ă  l’exemple que tu m’as donnĂ©. 15. Adieu ! Que puis-je dire de plus ? Les sentiments sont si intenses en ce moment. Je ne sais pas s’il arrivera un jour oĂč je pourrai vraiment les contrĂŽler. Ton dĂ©cĂšs a laissĂ© une marque indĂ©lĂ©bile sur moi, mais je ne t’en veux pas. Ton amour pour moi a toujours Ă©tĂ© pur. 16. Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai
 MĂȘme si tu n’es plus Ă  mes cĂŽtĂ©s, personne ne pourra voler l’amour que je te porte. Merci pour tout ce que tu m’as fait dĂ©couvrir. Merci pour tout ce que l’on a vĂ©cu ensemble. Chante parmi les anges, car tu es leur lumiĂšre ! 17. J’ai toujours pensĂ© que j’étais une personne forte. Donc j’ai Ă©tĂ© choquĂ©e de voir Ă  quel point ton dĂ©cĂšs a Ă©tĂ© violent pour moi. En fait, je me rends compte que tu Ă©tais la personne sur laquelle je me reposais pour me relever. Maintenant, je suis seule et je dois apprendre Ă  gĂ©rer mes Ă©mois sans toi. Alors, envoie-moi de l’aide de temps en temps ! 18. Chaque fois que je regarde le ciel, je te cherche. Parmi les Ă©toiles, je sais que ton Ăąme brille et illumine mon chemin. Alors, merci de m’éclairer quand tu vois que je me perds. Je t’aimerai toujours ! 19. La joie a quittĂ© ma vie quand tu es parti. Maintenant, je dois apprendre Ă  vivre seule. Mais je suis reconnaissante d’avoir eu la chance de faire une partie du chemin avec toi. 20. L’amour que je te porte ne s’arrĂȘte pas parce que tu n’es plus lĂ . Je vais continuer Ă  te porter dans mon coeur Ă  chaque pas. Et j’espĂšre que tu me donneras un ou deux conseils quand je ne saurai plus oĂč donner de la tĂȘte. Choisissez un message pour un dĂ©cĂšs qui vous correspond. Texte pour rendre hommage Ă  quelqu’un Un texte sur la mort d’un proche est aussi l’occasion de vous rappeler les bons moments que vous avez vĂ©cus avec cette personne. Certains souvenirs sont inoubliables et personne ne peut vous les voler. Ainsi, un texte pour rendre hommage Ă  quelqu’un peut ĂȘtre l’opportunitĂ© de rire une derniĂšre fois avec votre ami, votre partenaire ou un membre de votre famille. AprĂšs tout, un message pour un dĂ©cĂšs ne doit pas forcĂ©ment ĂȘtre triste. Vous pouvez faire preuve d’humour pour mieux vivre votre douleur. 21. Tu resteras dans mon coeur Ă  jamais. Je suis heureux/heureuse d’avoir eu l’occasion de te dire au revoir », mais cela n’empĂȘche pas la douleur de grandir en moi. Je sais que le temps guĂ©rit la souffrance, mais je ne suis pas sĂ»re de vouloir l’oublier. Elle me motive Ă  poursuivre la vie de mes rĂȘves. 22. Merci pour toute la joie et tout le bonheur que tu as apportĂ© dans ma vie. Dieu t’a mis sur mon chemin pour me faire comprendre Ă  quoi ressemble l’amour inconditionnel. Et je sais que, grĂące Ă  toi, je suis une meilleure personne. On se voit trĂšs vite, mon ami ! 23. Je suis tellement triste de devoir Ă©crire ces quelques mots. Mais j’ai besoin de te dire une chose. Je t’aime infiniment ! Tu as Ă©tĂ© un ami incroyable et les anges ont beaucoup de chance de te compter dans leur rang. 24. Je ne peux pas sĂ©cher mes larmes ni calmer mes sanglots. Mais malgrĂ© la douleur, je suis aussi heureux/heureuse d’avoir eu la chance de te connaĂźtre et de partager autant de souvenirs avec toi. 25. J’ai eu quelques nuits difficiles aprĂšs ton dĂ©cĂšs. En effet, j’ai passĂ© des heures infinies Ă  me remĂ©morer tout ce que l’on a vĂ©cu ensemble. Et la liste est longue ! Au bout d’un moment, j’ai commencĂ© Ă  sourire. Oui, je suis tellement reconnaissante pour toutes ces expĂ©riences. Tu me manques, mon ami ! 26. Tu dors au fond de ton nouveau lit alors que ton Ăąme s’élĂšve et rejoint les anges. Quelle chance ils ont ! Merci pour tous ces moments de rire inoubliables. Je t’aime et tu auras toujours une place importante dans mon coeur. 27. MĂȘme si tu n’es plus physiquement lĂ , tu auras toujours une place dans mon Ăąme. Personne ne pourra prendre ta place, car ton amitiĂ© et ton amour ne trouveront jamais d’égal. Je te remercie infiniment d’avoir un jour choisi de partager un bout de chemin avec moi. 28. Ta nature bienveillante a toujours apportĂ© beaucoup d’énergie positive dans ma vie. Ensemble, nous avons probablement vĂ©cu les plus belles expĂ©riences de nos vies respectives. Et je ne pourrais jamais te remercier pour ça. 29. GrĂące Ă  toi, j’ai appris qu’il y avait des gens bien sur cette planĂšte. Maintenant que tu n’es plus lĂ , je vais devoir continuer mon chemin seule, mais je n’ai pas peur, car je sais que ton Ăąme est toujours auprĂšs de moi. 30. Chaque jour, je sens ta prĂ©sence et ton esprit. J’ai mĂȘme parfois l’impression que tu te moques de mes choix. Mais je suis habituĂ©e Ă  ton attitude dĂ©sinvolte alors rien ne m’étonne. Choisissez un texte pour rendre hommage Ă  quelqu’un qui vous correspond. Texte sur la mort d’un proche rendre hommage Ă  un ami dĂ©cĂ©dĂ© Le dĂ©cĂšs d’un ami peut ĂȘtre trĂšs douloureux. Peu importe que vous le connaissiez depuis dix ans ou un an, la souffrance est la mĂȘme. Dans un texte sur la mort d’un proche, il est important de se remĂ©morer les bons moments, les instants oĂč vous avez senti votre amitiĂ© grandir et Ă©voluer. Il est aussi essentiel de dire Ă  quel point cet ami a changĂ© votre vie. Pourquoi est-il aussi important pour vous ? Voici comment rendre hommage Ă  un ami dĂ©cĂ©dĂ© 31. Mon ami, ta vie n’a pas Ă©tĂ© facile. Je sais que tu as beaucoup souffert, mais maintenant, tu es dans un meilleur endroit. Tu peux enfin te reposer et veiller sur nous ! 32. Tu me manques infiniment. Je ne pensais pas que la mort d’un ami pouvait faire autant souffrir. Du jour au lendemain, j’ai perdu ton rire et tes blagues ridicules. Maintenant, ce sont les anges qui rigolent et nous qui pleurons ! 33. La mort n’est pas la fin, c’est le dĂ©but d’un nouveau voyage que tu fais loin de nous. MĂȘme si nous avons mal et si nous ne voulons pas accepter ton dĂ©part soudain, nous savons que tu continues de profiter de la vie d’une nouvelle maniĂšre. 34. Je t’aime infiniment. Jamais je n’ai eu un ami aussi sincĂšre et dĂ©vouĂ© que toi. Je suis fier/fiĂšre de pouvoir dire que j’ai eu l’honneur de te connaĂźtre. Merci pour nos souvenirs inoubliables. 35. Mon ami, tu nous as quittĂ©s soudainement. Sans nous prĂ©venir, sans nous prĂ©parer
 Pourquoi ? Je me sens dupĂ©e, mais je sais que ma colĂšre n’est qu’une façon de cacher ma douleur. J’essaie de faire la part des choses, mais j’ai encore trop mal pour ça
 36. Jamais je n’aurais cru que tu m’abandonnerais un jour. Malheureusement, le destin avait d’autres plans. J’espĂšre que tu es dans un meilleur endroit, car tu mĂ©rites la paix Ă©ternelle. Tu m’as laissĂ©e dans la souffrance, mais je ne t’en veux pas, car je sais que tu ne me ferais jamais du mal exprĂšs. 37. Je ne peux mĂȘme pas t’expliquer comment je me sens. D’ailleurs, je me sens un peu Ă©goĂŻste, car je parle de ma souffrance alors que c’est toi qui n’es plus lĂ . Je t’aime du plus profond de mon cƓur et je sais que tu m’attends de l’autre cĂŽtĂ©. Et un jour ou l’autre, on se retrouvera ! 38. Aujourd’hui, je t’écris ce petit texte pour te dire au revoir ». J’ai beaucoup de mal Ă  poser ces quelques mots sur le papier, mais je dois le faire pour mon propre bien. Je te remercie pour tout ce que tu as fait pour moi. 39. Une question me titille est-ce que tu m’attends de l’autre cĂŽtĂ© ? Toute ma vie, tu as Ă©tĂ© prĂ©sent donc je me demande si tu t’attends Ă  ce que je te rejoigne au plus vite. Ne t’inquiĂšte pas, quand viendra mon temps, j’arriverai et nous mettrons la pagaille au paradis. 40. La vie a dĂ©cidĂ© que tu devais me quitter. Je suis dĂ©solĂ©e pour ta famille, mais aussi pour moi. Nous avons tous perdu quelqu’un de prĂ©cieux et d’irremplaçable. Sans toi, j’ai l’impression que ma vie est Ă  la dĂ©rive. Je vais devoir donc faire deux fois plus d’efforts pour atteindre mes objectifs. Rendre hommage Ă  un ami dĂ©cĂ©dĂ© peut ĂȘtre difficile, mais Ă  un parent, c’est encore pire ! Texte pour le dĂ©cĂšs d’une maman ou d’un papa Perdre son papa ou sa maman est une expĂ©rience douloureuse, dĂ©routante et traumatisante. Vous perdez la personne qui compte le plus pour vous. Vous perdez votre repĂšre et vous vous sentez seule. Ainsi, un texte pour le dĂ©cĂšs d’une maman ou d’un papa est particuliĂšrement difficile Ă  Ă©crire. VoilĂ  pourquoi vous devez prendre votre temps pour Ă©crire un message pour un dĂ©cĂšs souvent soudain. Choisissez un texte pour le dĂ©cĂšs d’une maman ou d’un papa qui vous correspond. 41. La mort ne dĂ©truit pas une famille. Bien sĂ»r, une part de celle-ci va dans l’au-delĂ , mais le reste se transforme, grandit et Ă©volue. Il ne faut pas voir la mort comme une absence douloureuse, mais comme une prĂ©sence discrĂšte et sĂ©curisante. Mourir fait partie de la vie, je ne vais donc pas pleurer. Je vais cĂ©lĂ©brer tout ce que l’on a vĂ©cu ensemble. 42. Les personnes qui connaissent la profondeur de l’amour savent que la mort n’est pas une punition. AprĂšs tout, dans notre cƓur, tu ne mourras jamais ! Ta route s’est brusquement arrĂȘtĂ©e, mais tu resteras Ă  jamais un ange sur nos Ă©paules, notre guide. 43. Jusque-lĂ , tu Ă©tais un guide, une inspiration pour nous tous. Maintenant, tu vas ĂȘtre notre ange gardien. Tu seras la personne qui se penche sur nous pour nous dire que l’on fait un bon travail et que l’on mĂ©rite d’ĂȘtre heureux. 44. Je ne pourrais jamais suffisamment te remercier pour tout ce que tu m’as offert. Tu as fait de nombreux sacrifices pour moi et j’espĂšre, un jour, pouvoir ĂȘtre un parent aussi dĂ©vouĂ© et attentionnĂ© que toi. Tu m’as tout appris et j’espĂšre que tu es fier/fiĂšre de la personne que je suis. 45. Qui aurait cru que la vie pouvait ĂȘtre aussi cruelle ? Sans raison, tu nous as quittĂ©s. La souffrance est rĂ©elle, mais j’ai quand mĂȘme le sourire. En effet, je sais que tu es au paradis et que tu nous regardes de lĂ -haut. 46. Je t’aime infiniment. Je suis triste de ne pas pouvoir te le dire en face dorĂ©navant, mais je suis en paix, car nous n’avons pas laissĂ© d’affaires en suspens. On a toujours beaucoup parlĂ© ensemble et je suis sĂ»re que tu continues Ă  rouler des yeux quand je fais des erreurs. 47. Comment continuer aprĂšs avoir vĂ©cu une telle souffrance ? Je me repose sur ta force et sur ton courage. Je me rappelle ta façon de relever chaque dĂ©fi et de regarder la vie de maniĂšre positive. Maintenant, je dois faire honneur Ă  ta mĂ©moire et montrer Ă  mes propres enfants Ă  quoi ressemble l’amour inconditionnel et la fougue. 48. Rien ne fait plus mal que de perdre un parent. J’ai l’impression de ne plus avoir de guide. Ton soutien et ta comprĂ©hension me manquent. Je sais que le temps guĂ©rit toutes les blessures, mais j’espĂšre aussi qu’il n’effacera pas tout, car cette douleur est ce qui me rappelle tout l’amour que tu me donnais. 49. Depuis que tu n’es plus lĂ , je comprends enfin la vĂ©ritable signification du mot amour ». Rien ne peut remplacer l’amour parental. Mais je sais que tu ne nous as pas abandonnĂ©s. Tu veilles sur nous et nous sentons ton Ă©nergie positive. Alors, merci pour tout ce que tu continues de faire pour nous. 50. Le paradis a de la chance, un nouvel ange a rejoint ses rangs. Certes, nous sommes tristes, mais nous savons que tu es enfin libre de toute souffrance. Nous savons que tu es dans un meilleur endroit. Et tu mĂ©rites la paix ! Un texte pour le dĂ©cĂšs d’une maman ou d’un papa est difficile Ă  Ă©crire, prenez donc votre temps ! À lire aussi 106 Mots d’amour pour dire je t’aime » Ă  vos proches

Jecherche encore un poĂšme d'amour que je ne trouve plus. Je t'aime je t'aime tant, te le dire vraiment . NĂ©cessite du talent car je le dis souvent. J'ai un si grand besoin de te savoir heureux. Que moi je prends bien soin d'allumer tous nos feux. Dans l'eau bleue de tes yeux m'y perdre est dĂ©licieux. Toi mon bel amoureux tu Ă©claires nos cieux. Viennent les doux matins ï»żHors ligne 13 Juillet 2019 Je ne veux plus souffrir Juste pouvoir mourir Mon chĂ©ri de t'aimer Ma douce Ă©ternitĂ© Cette nuit j'ai rĂ©vĂ© A tes baisers sucrĂ©s Je t'ai donnĂ© mon coeur Et toute sa douceur Je t'ai offert ma vie Et son brin de folie Je t'ai dit mes dĂ©sirs Tu m'as dit ton plaisir J'ai Ă©crit mon amour Je l'ai fait sans dĂ©tour Tu as criĂ© ta joie Ô combien tant de fois Et maintenant nous deux Nous voguons vers les cieux Ramant sur cette mer Aux doux sons de nos vers​ CARLAME InvitĂ© Hors ligne Hors ligne 13 Juillet 2019 Je ne veux plus souffrir Juste pouvoir mourir Mon chĂ©ri de t'aimer Ma douce Ă©ternitĂ© Cette nuit j'ai rĂ©vĂ© A tes baisers sucrĂ©s Je t'ai donnĂ© mon coeur Et toute sa douceur Je t'ai offert ma vie Et son brin de folie Je t'ai dit mes dĂ©sirs Tu m'as dit ton plaisir J'ai Ă©crit mon amour Je l'ai fait sans dĂ©tour Tu as criĂ© ta joie Ô combien tant de fois Et maintenant nous deux Nous voguons vers les cieux Ramant sur cette mer Aux doux sons de nos vers​Douceur et amour , de magnifiques vers Gaby!😊 Hors ligne 13 Juillet 2019 Douceur et amour , de magnifiques vers Gaby!😊 Merci VĂ©ronique pour ton ressenti Bonne journĂ©e Gaby Hors ligne 13 Juillet 2019 Merci Carlame de ton passage marquĂ© Bonne journĂ©e Amicalement Gaby Hors ligne 13 Juillet 2019 AgrĂ©able lecture de bon matin, merci Gaby Merci personne et bonne journĂ©e Gaby Hors ligne 13 Juillet 2019 Merci personne et bonne journĂ©e Gaby Bon samedi Gaby o MaĂźtre poĂšte Hors ligne 14 Juillet 2019 coucou ma Gaby Quelle tendresse en toi ! A chaque fois tes sentiments me touchent ! Gros bisous de ta Rose * qui ne regarde poo le dĂ©filĂ© hĂ© hĂ© ! o MaĂźtre poĂšte Hors ligne 14 Juillet 2019 Je ne veux plus souffrir Juste pouvoir mourir Mon chĂ©ri de t'aimer Ma douce Ă©ternitĂ© Cette nuit j'ai rĂ©vĂ© A tes baisers sucrĂ©s Je t'ai donnĂ© mon coeur Et toute sa douceur Je t'ai offert ma vie Et son brin de folie Je t'ai dit mes dĂ©sirs Tu m'as dit ton plaisir J'ai Ă©crit mon amour Je l'ai fait sans dĂ©tour Tu as criĂ© ta joie Ô combien tant de fois Et maintenant nous deux Nous voguons vers les cieux Ramant sur cette mer Aux doux sons de nos vers​ Hors ligne 14 Juillet 2019 coucou ma Gaby Quelle tendresse en toi ! A chaque fois tes sentiments me touchent ! Gros bisous de ta Rose * qui ne regarde poo le dĂ©filĂ© hĂ© hĂ© ! Moi je l'ai regardĂ© ma rose. Merci pour ta gentille apprĂ©ciation tendresse ma rose gros bisous Ta gaby Hors ligne 14 Juillet 2019 Je ne veux plus souffrir Juste pouvoir mourir Mon chĂ©ri de t'aimer Ma douce Ă©ternitĂ© Cette nuit j'ai rĂ©vĂ© A tes baisers sucrĂ©s Je t'ai donnĂ© mon coeur Et toute sa douceur Je t'ai offert ma vie Et son brin de folie Je t'ai dit mes dĂ©sirs Tu m'as dit ton plaisir J'ai Ă©crit mon amour Je l'ai fait sans dĂ©tour Tu as criĂ© ta joie Ô combien tant de fois Et maintenant nous deux Nous voguons vers les cieux Ramant sur cette mer Aux doux sons de nos vers​pour quelle raison voulez vous souffrir gentille Gaby, prenez chaque jour de bonheur que la vie vous offre, dĂ©guster la, profitez-en , soyez heureuse et ne pensez pas aux jours tristes! votre Éole prend des forces, il grandit, il a beaucoup de pletites plumes sur ses jambres et jusque sur ses pattes, c'est un Marans Gris, ce sera un beau coq! Hors ligne 14 Juillet 2019 pour quelle raison voulez vous souffrir gentille Gaby, prenez chaque jour de bonheur que la vie vous offre, dĂ©guster la, profitez-en , soyez heureuse et ne pensez pas aux jours tristes! votre Éole prend des forces, il grandit, il a beaucoup de pletites plumes sur ses jambres et jusque sur ses pattes, c'est un Marans Gris, ce sera un beau coq! Merci Emie pour ton apprĂ©ciation mais ce n'est qu'un poĂšme Et merci pour les petites nouvellestructures d'Eole .Gaby
\n\n\n \n poeme je te quitte pour ne plus souffrir
jesuis un homme et j'aime les femmes avec des rondeurs !j'ai une jolie petite femme toute ronde et c'est un b Par Anonyme, le 03.06.2020 comment charger cette belle ronde Par Anonyme, le 19.04.2020 il vaut mieux faire envie avec son corps que repousser Par james, le 15.04.2020. Voir plus Qu'est-ce que l'amour ? L'Ă©change de deux fantaisies Et le contact de deux Ă©pidermes Chamfort I Eh bien ! en vĂ©ritĂ©, les sots auront beau dire, Quand on n'a pas d'argent, c'est amusant d'Ă©crire. Si c'est un passe-temps pour se dĂ©sennuyer, Il vaut bien la bouillotte ; et, si c'est un mĂ©tier, Peut-ĂȘtre qu'aprĂšs tout ce n'en est pas un pire Que fille entretenue, avocat ou portier II J'aime surtout les vers, cette langue immortelle. C'est peut-ĂȘtre un blasphĂšme, et je le dis tout bas Mais je l'aime Ă  la rage. Elle a cela pour elle Que les sots d'aucun temps n'en ont pu faire cas, Qu'elle nous vient de Dieu, — qu'elle est limpide et belle, Que le monde l'entend, et ne la parle pas. III Eh bien ! Sachez-le donc, vous qui voulez sans cesse Mettre votre scalpel dans un couteau de bois Vous qui cherchez l'auteur Ă  de certains endroits, Comme un amant heureux cherche, dans son ivresse Sur un billet d'amour les pleurs de sa maĂźtresse, Et rĂȘve, en le lisant, au doux son de sa voix. IV Sachez-le, — c'est le cƓur qui parle et qui soupire Lorsque la main Ă©crit, — c'est le cƓur qui se fond ; C'est le cƓur qui s'Ă©tend, se dĂ©couvre et respire Comme un gai pĂšlerin sur le sommet d'un mont Et puissiez-vous trouver, quand vous en voudrez rire À dĂ©pecer nos vers le plaisir qu'ils nous font ! V Qu'importe leur valeur ? La muse est toujours belle, MĂȘme pour l'insensĂ©, mĂȘme pour l'impuissant ; Car sa beautĂ© pour nous, c'est notre amour pour elle. Mordez et croassez, corbeaux, battez de l'aile ; Le poĂšte est au ciel, et lorsqu'en vous poussant Il vous y fait monter, c'est qu'il en redescend VI Allez, — exercez-vous, — dĂ©brouillez la quenouille, Essoufflez-vous Ă  faire un bƓuf d'une grenouille Avant de lire un livre, et de dire J'y crois ! Analysez la plaie, et fourrez-y les doigts ; Il faudra de tout temps que l'incrĂ©dule y fouille, Pour savoir si son Christ est montĂ© sur la croix VII Eh, depuis quand un livre est-il donc autre chose Que le rĂȘve d'un jour qu'on raconte un instant ; Un Oiseau qui gazouille et s'envole ; — une rose Qu'on respire et qu'on jette, et qui meurt en tombant ; — Un ami qu'on aborde, avec lequel on cause, MoitiĂ© lui rĂ©pondant, et moitiĂ© l'Ă©coutant ? VIII Aujourd'hui' par exemple, il plait Ă  ma cervelle De rimer en sixains le conte que voici, Va-t-on le maltraiter et lui chercher querelle ? Est-ce sa faute, Ă  lui, si je l'Ă©cris ainsi ? Byron, me direz-vous, m'a servi de modĂšle. Vous ne savez donc pas qu'il imitait Pulci ? IX Lisez les Italiens, vous verrez s'il les vole. Rien n'appartient Ă  rien, tout appartient Ă  tous. Il faut ĂȘtre ignorant comme un maĂźtre d'Ă©cole Pour se flatter de dire une seule parole Que personne ici-bas n'ait pu dire avant vous. C'est imiter quelqu'un que de planter des choux. X Ah ! pauvre LaforĂȘt, qui ne savais pas lire, Quels vigoureux soufflets ton nom seul a donnĂ©s Au peuple travailleur des discuteurs damnĂ©s ! MoliĂšre t'Ă©coutait lorsqu'il venait d'Ă©crire Quel mĂ©pris des humains dans le simple et gros rire Dont tu lui baptisais ses hardis nouveau-nĂ©s ! XI Il ne te lisait pas, dit-on, les vers d'Alceste ; Si je les avais faits, je te les aurais lus. L'esprit et les bons mots auraient Ă©tĂ© perdus ; Mais les meilleurs accords de l'instrument cĂ©leste Seraient allĂ©s au cƓur comme ils en sont venus. J'aurais dit aux bavards du siĂšcle A vous le reste XII Pourquoi donc les amants veillent-ils nuit et jour ? Pourquoi donc le poĂšte aime-t-il sa souffrance ? Que demandent-ils donc tous les deux en retour ? Une larme, ĂŽ mon Dieu, voilĂ  leur rĂ©compense ; VoilĂ  pour eux le ciel ; la gloire et l'Ă©loquence, Et par lĂ  le gĂ©nie est semblable Ă  l'amour. XIII Mon premier chant est fait. — Je viens de le relire. J'ai bien mal expliquĂ© ce que je voulais dire ; Je n'ai pas dit un mot de ce que j'aurais dit Si j'avais fait un plan une heure avant d'Ă©crire ; Je crĂšve de dĂ©goĂ»t, de rage et de dĂ©pit Je crois en vĂ©ritĂ© que j'ai fait de l'esprit XIV Deux sortes de rouĂ©s existent sur la terre L'an, beau comme Satan, froid comme la vipĂšre, Hautain, audacieux, plein d'imitation, Ne laissant palpiter sur son cƓur solitaire Que l'Ă©corce d'un homme et de la passion ; Faisant un manteau d'or Ă  son ambition ; XV Corrompant sans plaisir, amoureux de lui-mĂȘme, Et, pour s'aimer toujours, voulant toujours qu'on l'aime ; Regardant au soleil son ombre se mouvoir ; DĂšs qu'une source est pure, et que l'on peut s'y voir, Venant comme Narcisse y pencher son front blĂȘme, Et chercher la douleur pour s'en faire un miroir. XVI Son idĂ©al, c'est lui -Quoi qu'il dise ou qu'il fasse, Il se regarde vivre, et s'Ă©coute parler. Car il faut que demain on dise, quand il passe Cet homme que voilĂ , c'est Robert Lovelace Autour de ce mot-lĂ  le monde peut rouler ; Il est l'axe du monde, et lui permet d'aller. XV Avec lui ni procĂšs, ni crainte, ni scandale. Il jette un drap mouillĂ© sur son pĂšre qui rĂąle ; Il rĂŽde, en chuchotant, sur la pointe du pied. Un amant plus sincĂšre, Ă  la main plus loyale, Peut serrer une main trop fort, et l'effrayer ; Mais lui, n'ayez pas peur de lui, c'est son mĂ©tier. XVIII Qui pourrait se vanter d'avoir surpris son Ăąme ? L'Ă©tude de sa vie est d'en cacher le fond... On en parle, — on en pleure, — on en rit, qu'en voit on Quelques duels oubliĂ©s, quelques soupirs de femme, Quelque joyau de prix sur une Ă©paule infĂąme, Quelque croix de bois noir sur un tombeau sans nom. XIX Mais comme tout se tait dĂšs qu'il vient Ă  paraĂźtre ! Clarisse l'aperçoit, et commence Ă  souffrir. Comme il est beau ! brillants comme il s'annonce en maĂźtre ! Si Clarisse s'indigne et tarde Ă  consentir, Il dira qu'il se tue-il se tuera peut-ĂȘtre ; — Mais Clarisse aime mieux le sauver, et mourir. XX C'est le rouĂ© sans cƓur, le spectre Ă  double face, A la patte de tigre, aux serres de vautour, Le rouĂ© sĂ©rieux qui n'eut jamais d'amour ; MĂ©prisant la douleur comme la populace ; Disant au genre humain de lui laisser son jour- Et qui serait CĂ©sar, s'il n'Ă©tait Lovelace XXI Ne lui demandez pas s'il est heureux ou non ; Il n'en sait rien lui-mĂȘme, il est ce qu'il doit ĂȘtre. Il meurt silencieux, tel que Dieu l'a fait naĂźtre L'antilope aux yeux bleus est plus tendre peut-ĂȘtre Que le roi des forĂȘts ; mais le lion rĂ©pond Qu'il n'est pas antilope, et qu'il a nom lion. XXII VoilĂ  l'homme d'un siĂšcle, et l'Ă©toile polaire Sur qui les Ă©coliers fixent leurs yeux ardents, L'homme dont Robertson fera le commentaire, Qui donnera sa vie Ă  lire Ă  nos enfants Ses crimes noirciront un large brĂ©viaire, Qui brĂ»lera les mains et les cƓurs de vingt ans. XXIII Quant au rouĂ© Français, au don Juan ordinaire, Ivre, riche, joyeux, raillant l'homme de pierre, Ne demandant partout qu'Ă  trouver le vin bon, Bernant monsieur Dimanche, et disant Ă  son pĂšre Qu'il serait mieux assis pour lui faire un sermon, C'est l'ombre d'un rouĂ© qui ne vaut pas Valmont. XXIV Il en est un plus grand, plus beau, plus poĂ©tique, Que personne n'a fait, que Mozart a rĂȘvĂ©, Qu'Hoffmann a vu passer, au son de la musique, Sous un Ă©clair divin de sa nuit fantastique, Admirable portrait qu'il n'a point achevĂ©, Et que de notre temps Shakspeare aurait trouvĂ©. XXV Un jeune homme est assis au bord d'une prairie, Pensif comme l'amour, beau comme le gĂ©nie ; Sa maĂźtresse enivrĂ©e est prĂȘte Ă  s'endormir. Il vient d'avoir vingt ans, son cƓur vient de s'ouvrir. Rameau tremblant encor de l'arbre de la vie, TombĂ©, comme le Christ, pour aimer et souffrir XXVI Le voilĂ  se noyant dans des larmes de femme, Devant cette nature aussi belle que lui ; Pressant le monde entier sur son cƓur qui se pĂąme, Faible, et, comme le lierre, ayant besoin d'autrui ; Et ne le cachant pas, et suspendant son Ăąme, Comme un luth Ă©olien, aux lĂšvres de la Nuit. XXVII Le voilĂ  demandant pourquoi son cƓur soupire, Jurant, les yeux en pleurs, qu'il ne dĂ©sire rien ; Caressant sa maĂźtresse, et des sons de sa lyre Egayant son sommeil comme un ange gardien ; Tendant sa coupe d'or Ă  ceux qu'il voit sourire, Voulant voir leur bonheur pour y chercher le sien. XXVIII Le voilĂ , jeune et beau, sous le ciel de la France, DĂ©jĂ  riche Ă  vingt ans comme un enfouisseur ; Portant sur la nature un cƓur plein d'espĂ©rance, Aimant, aimĂ© de tous, ouvert comme une fleur ; Si candide et si frais que l'ange d'innocence Baiserait sur son front la beautĂ© de son cƓur XXIX Le voilĂ , regardez, devinez-lui sa vie. Quel sort peut-on prĂ©dire Ă  cet enfant du ciel ? L'amour en l'approchant jure d'ĂȘtre Ă©ternel ; Le hasard pense Ă  lui, — la sainte poĂ©sie Retourne en souriant sa coupe d'ambroisie Sur ses cheveux plus doux et plus blonds que le miel. XXX Ce palais, c'est le sien ; — le serf et la campagne Sont Ă  lui ; — la forĂȘt, le fleuve et la montagne Ont retenu son nom en Ă©coutant l'Ă©cho. C'est Ă  lui le village, et le pĂąle troupeau Des moines. — Quand il passe et traverse un hameau, Le bon ange du lieu se lĂšve et l'accompagne. XXXI Quatre filles de prince ont demandĂ© sa main. Sachez que s'il voulait la reine pour maĂźtresse, Et trois palais de plus, il les aurait demain ! Qu'un juif deviendrait chauve Ă  compter sa richesse, Et qu'il pourrait jeter, sans que rien en paraisse Les blĂ©s de ses moissons aux oiseaux du chemin. XXXII Eh bien ! cet homme-lĂ  vivra dans les tavernes Entre deux charbonniers autour d'un poĂȘle assis ; La poudre noircira sa barbe et ses sourcils ; Vous le verrez un jour, tremblant et les yeux ternes Venir dans son manteau dormir sous les lanternes, La face ensanglantĂ©e et les coudes noircis. XXXIII Vous le verrez sauter sur l'Ă©chelle dorĂ©e, Pour courir dans un bouge au sortir d'un boudoir, Portant sa lĂšvre ardente Ă  la prostituĂ©e, Avant qu'Ă  son balcon done Elvire Ă©plorĂ©e, Dans la profonde nuit croyant encor le voir, Ait cessĂ© d'agiter sa lampe et son mouchoir. XXXIV Vous le verrez, laquais pour une chambriĂšre, Cachant sous ses habits son valet grelottant ; Vous le verrez, tranquille et froid comme une pierre, Pousser dans les ruisseaux le cadavre d'un pĂšre, Et laisser le vieillard traĂźner ses mains de sang Sur des murs chauds encor du viol de son enfant. XXXV Que direz-vous alors ? Ah ! vous croirez peut-ĂȘtre Que le monde a blessĂ© ce cƓur vaste et hautain, Que c'est quelque Lara qui se sent mĂ©connaĂźtre, Que l'homme a mal jugĂ©, qui sait ce qu'il peut ĂȘtre, Et qui, s'apercevant qu'il le serait en vain, Rend haine contre haine et dĂ©dain pour dĂ©dain. XXXVI Eh bien ! vous vous trompez. — Jamais personne au monde N'a pensĂ© moins que lui qu'il c'`ait oubliĂ©. Jamais il n'a frappĂ© sans qu'on ne lui rĂ©ponde ; Jamais il n'a senti l'inconstance de l'onde, Et jamais il n'a vu se dresser sous son piĂ© Le vivace serpent de la fausse amitiĂ©. XXXVII Que dis-je ? tel qu'il est, le monde l'aime encore ; Il n'a perdu chez lui ni ses biens ni son rang. Devant Dieu, devant tous, il s'assoit Ă  son banc. Ce qu'il a fait de mal, personne ne l'ignore ; On connaĂźt son gĂ©nie, on l'admire, on l'honore. — Seulement, voyez-vous, cet homme, c'est don Juan. XXXVIII Oui, don Juan. Le voilĂ , ce nom que tout rĂ©pĂšte, Ce nom mystĂ©rieux que tout l'univers prend, Dont chacun vient parler, et que nul ne comprend ; Si vaste et si puissant qu'il n'est pas de poĂšte Qui ne l'ait soulevĂ© dans son cƓur et sa tĂȘte, Et pour l'avoir tentĂ© ne soit restĂ© plus grand. XXXIX InsensĂ© que je suis ! que fais-je ici moi-mĂȘme ? Était-ce donc mon tour de leur parler de toi, Grande ombre, et d'oĂč viens-tu pour tomber jusqu'Ă  moi ? C'est qu'avec leurs horreurs, leur doute et leur blasphĂšme Pas un d'eux ne t'aimait, don Juan ; et moi, je t'aime Comme le vieux Blondel aimait son pauvre roi. XL Oh ! qui me jettera sur ton coursier rapide ! Oh ! qui me prĂȘtera le manteau voyageur, Pour te suivre en pleurant, candide corrupteur ! Qui me dĂ©roulera cette liste homicide, Cette liste d'amour si remplie et si vide, Et que ta main peuplait des oublis de ton cƓur ! XLI Trois mille noms charmants ! Trois mille noms de femme ! Pas un qu'avec des pleurs tu n'aies balbutiĂ© ! Et ce foyer d'amour qui dĂ©vorait ton Ăąme, Qui lorsque tu mourus, de tes veines de flamme Remonta dans le ciel comme un ange oubliĂ©, De ces trois mille amours pas un qui l'ait noyĂ© ! XLII Elles t'aimaient pourtant, ces filles insensĂ©es Que sur ton cƓur de fer tu pressas tour Ă  tour ; Le vent qui t'emportait les avait traversĂ©es ; Elles t'aimaient, don Juan, ces pauvres dĂ©laissĂ©es Qui couvraient de baisers l'ombre de ton amour, Qui te donnaient leur vie, et qui n'avaient qu'un jour ! XLIII Mais toi, spectre Ă©nervĂ©, toi, que faisais-tu d'elles ? Ah ! massacre et malheur ! tu les aimais aussi, Toi ! croyant toujours voir sur tes amours nouvelles Se lever le soleil de tes nuits Ă©ternelles, Te disant chaque soir Peut-ĂȘtre le voici Et l'attendant toujours, et vieillissant ainsi ! XLIV Demandant aux forĂȘts, Ă  la mer, Ă  la plaine, Aux brises du matin, Ă  toute heure, Ă  tout lieu, La femme de ton Ăąme et de ton premier vƓu ! Prenant pour fiancĂ©e un rĂȘve, une ombre vaine, Et fouillant dans le cƓur d'une hĂ©catombe humaine, PrĂȘtre dĂ©sespĂ©rĂ©, pour y chercher ton Dieu. XLV Et que voulais-tu donc ?-VoilĂ  ce que le monde Au bout de trois cents ans demande encor tout bas Le sphinx aux yeux perçants attend qu'on lui rĂ©ponde Ils savent compter l'heure, et que leur terre est ronde Ils marchent dans leur ciel sur le bout d'un compas' Mais ce que tu voulais, ils ne le savent pas. XLVI Quelle est donc, disent-ils,. cette femme inconnue, Qui seule eĂ»t mis la main au frein de son coursier ? Qu'il appelait toujours et qui n'est pas venue ? OĂč l'avait-il trouvĂ©e ? oĂč l'avait-il perdue ? Et quel nƓud si puissant avait su les lier, Que, n'ayant pu venir, il n'ait pu l'oublier ? XLVII N'en Ă©tait-il pas une, ou plus noble, ou plus belle, Parmi tant de beautĂ©s, qui, de loin ou de prĂšs, De son vague idĂ©al eĂ»t du moins quelques traits ? Que ne la gardait-il ! qu'on nous dise laquelle. Toutes lui ressemblaient, — ce n'Ă©tait jamais elle, Toutes lui ressemblaient, don Juan, et tu marchais ! XLVIII Tu ne t'es pas lassĂ© de parcourir la terre ! Ce vain fantĂŽme, Ă  qui Dieu t'avait envoyĂ©, Tu n'en as pas brisĂ© la forme sous ton pied ! Tu n'es pas remontĂ©, comme l'aigle Ă  son aire Sans avoir sa pĂąture, ou comme le tonnerre Dans sa nue aux flancs d'or, sans avoir foudroyĂ© ! XLIX Tu n'as jamais mĂ©dit de ce monde stupide Qui te dĂ©visageait d'un regard hĂ©bĂ©tĂ© ; Tu l'as vu, tel qu'il est, dans sa difformitĂ© ; Et tu montais toujours cette montagne aride, Et tu suçais toujours, plus jeune et plus aride, Les mamelles d'airain de la RĂ©alitĂ©. L Et la vierge aux yeux bleus, sur la souple ottomane, Dans ses bras parfumĂ©s te berçait mollement ; De la fille de roi jusqu'Ă  la paysanne Tu ne mĂ©prisais rien, mĂȘme la courtisane, À qui tu disputais son misĂ©rable amant ; Mineur, qui dans un puits cherchais un diamant. LI Tu parcourais Madrid, Paris, Naple et Florence ; Grand seigneur aux palais, voleur aux carrefours ; Ne comptant ni l'argent, ni les nuits, ni les jours ; Apprenant du passant Ă  chanter sa romance ; Ne demandant Ă  Dieu, pour aimer l'existence, Que ton large horizon et tes larges amours. LII Tu retrouvais partout la vĂ©ritĂ© hideuse, Jamais ce qu'ici-bas cherchaient tes vƓux ardents, Partout l'hydre Ă©ternel qui te montrait les dents ; Et poursuivant toujours ta vie aventureuse, Regardant sous tes pieds cette mer orageuse, Tu te disais tout bas Ma perle est lĂ  dedans. LIII Tu mourus plein d'espoir dans ta route infinie, Et te souciant peu de laisser ici-bas Des larmes et du sang aux traces de tes pas. Plus vaste que le ciel et plus grand que la vie, Tu perdis ta beautĂ©, ta gloire et ton gĂ©nie Pour un ĂȘtre impossible, et qui n'existait pas. LIV Et le jour que parut le convive de pierre, Tu vins Ă  sa rencontre, et lui tendis la main ; Tu tombas foudroyĂ© sur ton dernier festin Symbole merveilleux de l'homme sur la terre, Cherchant de ta main gauche Ă  soulever ton verre Abandonnant ta droite Ă  celle du Destin ! LV Maintenant, c'est Ă  toi, lecteur, de reconnaĂźtre Dans quel gouffre sans fond peut descendre ici-bas Le rĂȘveur insensĂ© qui voudrait d'un tel maĂźtre. Je ne dirai qu'un mot, et tu le comprendras Ce que don Juan aimait, Hassan l'aimait peut-ĂȘtre ; Ce que don Juan cherchait, Hassan n'y croyait - Chant deuxiĂšme PoĂšmes de Alfred de Musset Citations de Alfred de MussetA quoi passer la nuit quand on soupe en carĂȘme ? Ainsi, le verre en main, raisonnaient deux amis. Quels entretiens choisir, honnĂȘtes et permis, Mais gais, tels qu'un vieux vin les conseille et les aime ? RODOLPHE Parlons de nos amours ; la joie et la beautĂ© Sont mes dieux les plus chers, aprĂšs la libertĂ©. Ébauchons, en trinquant, une joyeuse idylle. Par les bois et les prĂ©s, les bergers de Virgile FĂȘtaient la poĂ©sie Ă  toute heure, en tout lieu ; Ainsi chante au soleil la cigale-dorĂ©e. D'une voix plus modeste, au hasard inspirĂ©e, Nous, comme le grillon, chantons au coin du feu. ALBERT Faisons ce qui te plaĂźt. Parfois, en cette vie, Une chanson nous berce et nous aide Ă  souffrir, Et, si nous offensons l'antique poĂ©sie, Son ombre mĂȘme est douce Ă  qui la sait chĂ©rir. RODOLPHE Rosalie est le nom de la brune fillette Dont l'inconstant hasard m'a fait maĂźtre et seigneur. Son nom fait mon dĂ©lice, et, quand je le rĂ©pĂšte, Je le sens, chaque fois, mieux gravĂ© dans mon coeur. ALBERT Je ne puis sur ce ton parler de mon amie. Bien que son nom aussi soit doux Ă  prononcer, J e ne saurais sans honte Ă  tel point l'offenser, Et dire, en un seul mot, le secret de ma vie. RODOLPHE Que la fortune abonde en caprices charmants DĂšs nos premiers regards nous devĂźnmes amants. C'Ă©tait un mardi gras dans une mascarade ; Nous soupions ; - la Folie agita ses grelots, Et notre amour naissant sortit d'une rasade, Comme autrefois VĂ©nus de l'Ă©cume des flots. ALBERT Quels mystĂšres profonds dans l'humaine misĂšre ! Quand, sous les marronniers, Ă  cĂŽtĂ© de sa mĂšre, Je la vis, Ă  pas lents, entrer si doucement Son front Ă©tait si pur, son regard si tranquille ! , Le ciel m'en est tĂ©moin, dĂšs le premier moment, Je compris que l'aimer Ă©tait peine inutile ; Et cependant mon coeur prit un amer plaisir À sentir qu'il aimait et qu'il allait souffrir ! RODOLPHE Depuis qu'Ă  mon chevet rit cette tĂȘte folle, Elle en chasse Ă  la fois le sommeil et l'ennui ; Au bruit de nos baisers le temps joyeux s'envole, Et notre lit de fleurs n'a pas encore un pli. ALBERT Depuis que dans ses yeux ma peine a pris naissance, Nul ne sait le tourment dont je suis dĂ©chirĂ©. Elle-mĂȘme l'ignore, - et ma seule espĂ©rance Est qu'elle le devine un jour, quand j'en mourrai. RODOLPHE Quand mon enchanteresse entr'ouvre sa paupiĂšre, Sombre comme la nuit, pur comme la lumiĂšre, Sur l'Ă©mail de ses yeux brille un noir diamant. ALBERT Comme sur une fleur une goutte de pluie, Comme une pĂąle Ă©toile au fond du firmament, Ainsi brille en tremblant le regard de ma vie. RODOLPHE Son front n'est pas plus grand que celui de VĂ©nus. Par un noeud de ruban deux bandeaux retenus L'entourent mollement d'une fraĂźche aurĂ©ole ; Et, lorsqu'au pied du lit tombent ses longs cheveux, On croirait voir, le soir, sur ses flancs amoureux, Se dĂ©rouler gaiement la mantille espagnole. ALBERT Ce bonheur Ă  mes yeux n'a pas Ă©tĂ© donnĂ© De voir jamais ainsi la tĂȘte bien-aimĂ©e. Le chaste sanctuaire oĂč siĂšge sa pensĂ©e D'un diadĂšme d'or est toujours couronnĂ©. RODOLPHE Voyez-la, le matin, qui gazouille et sautille ; Son coeur est un oiseau, - sa bouche est une fleur. C'est lĂ  qu'il faut saisir cette indolente fille, Et, sur la pourpre vive oĂč le rire pĂ©tille, De son souffle enivrant respirer la fraĂźcheur. ALBERT Une fois seulement, j'Ă©tais le soir prĂšs d'elle ; Le sommeil lui venait et la rendait plus belle ; Elle pencha vers moi son front plein de langueur, Et, comme on voit s'ouvrir une rose endormie, Dans un faible soupir, des lĂšvres de ma mie, Je sentis s'exhaler le parfum de son coeur. RODOLPHE Je voudrais voir qu'un jour ma belle dĂ©gourdie, Au cabaret voisin de champagne Ă©tourdie, S'en vĂźnt, en jupon court, se glisser dans tes bras. Qu'adviendrait-il alors de ta mĂ©lancolie ? Car enfin toute chose est possible ici-bas. ALBERT Si le profond regard de ma chĂšre maĂźtresse Un instant par hasard s'arrĂȘtait sur le tien, Qu'adviendrait-il alors de cette folle ivresse ? Aimer est quelque chose, et le reste n'est rien. RODOLPHE Non, l'amour qui se tait n'est qu'une rĂȘverie. Le silence est la mort, et l'amour est la vie ; Et c'est un vieux mensonge Ă  plaisir inventĂ©, Que de croire au bonheur hors, de la voluptĂ© ! Je ne puis partager ni plaindre ta souffrance Le hasard est lĂ -haut pour les audacieux ; Et celui dont la crainte a tuĂ© l'espĂ©rance MĂ©rite son malheur et fait injure aux dieux. ALBERT Non, quand leur Ăąme immense entra dans la nature, Les dieux n'ont pas tout dit Ă  la matiĂšre impure Qui reçut dans ses flancs leur forme et leur beautĂ©. C'est une vision que la rĂ©alitĂ©. Non, des flacons brisĂ©s, quelques vaines paroles Qu'on prononce au hasard et qu'on croit Ă©changer, Entre deux froids baisers quelques rires frivoles, Et d'un ĂȘtre inconnu le contact passager, Non, ce n'est pas l'amour, ce n'est pas mĂȘme un rĂȘve, Et la satiĂ©tĂ©, qui succĂšde au dĂ©sir, AmĂšne un tel dĂ©goĂ»t quand le coeur se soulĂšve, Que je ne sais, au fond, si c'est peine ou plaisir. RODOLPHE Est-ce peine ou plaisir, une alcĂŽve bien close, Et le punch allumĂ©, quand il fait mauvais temps ? Est-ce peine ou plaisir, l'incarnat de la rose, La blancheur de l'albĂątre et l'odeur du printemps ? Quand la rĂ©alitĂ© ne serait qu'une image, Et le contour lĂ©ger des choses d'ici-bas, Me prĂ©serve le ciel d'en savoir davantage ! Le masque est si charmant, que j'ai peur du visage, Et mĂȘme en carnaval je n'y toucherais pas. ALBERT Une larme en dit plus que tu n'en pourrais dire. RODOLPHE Une larme a son prix, c'est la soeur d'un sourire. Avec deux yeux bavards parfois j'aime Ă  jaser ; Mais le seul vrai langage au monde est un baiser. ALBERT Ainsi donc, Ă  ton grĂ© dĂ©pense ta paresse. O mon pauvre secret ! que nos chagrins sont doux ! RODOLPHE Ainsi donc, Ă  ton grĂ© promĂšne ta tristesse. O mes pauvres soupers ! comme on mĂ©dit de vous ! ALBERT Prends garde seulement que ta belle Ă©tourdie Dans quelque honnĂȘte ennui ne perde sa gaietĂ©. RODOLPHE Prends garde seulement que ta rose endormie Ne trouve un papillon quelque beau soir d'Ă©tĂ©. ALBERT Des premiers feux du jour j'aperçois la lumiĂšre. RODOLPHE Laissons notre dispute et vidons notre verre. Nous aimons, c'est assez, chacun Ă  sa façon. J'en ai connu plus d'une, et j'en sais la chanson. Le droit est au plus fort, en amour comme en guerre, Et la femme qu'on aime aura toujours PoĂšmes de Alfred de MussetCitations de Alfred de Musset Tuveux que je te dise que je suis fiĂšre Que tu me lĂąches pour partir Ă  la guerre ? Sache que quand mĂȘme je t'attendrais Et que si tu ne reviens pas, j'en mourrais. Mon amour, ne me quitte pas. Tous les deux nous resterons forts A la guerre tu te battras pour moi Et penser Ă  toi sera mon rĂ©confort. Je t'en supplie, ne me quitte pas. Nous PoĂšmes d'amour tristes Tu m'emmĂšnes ...?? EmmĂšne-moi............aux bras du ciel Éclaire mon chemin...laisse-moi aller.. Prends le temps de me rendre Ă©ternelle... Je finirai lĂ  oĂč j'ai commencĂ©... Guide-moi et d'un air solennel Donne-moi ta main... tu sauras me guider ... Chacun de tes mots d'amour, Ă©coute les silences.... Ils sont au prise de leur intuition Ils se voudraient indiffĂ©rence.... Mais ils accĂ©lĂšrent Ă  l'inspiration Chacun de tes gestes est souffrance Mon moi est en rĂ©volution.... ... Emporte mon Ăąme, elle est si rebelle Éclaire la route, du bout de l'allĂ©e... Illumine ma nuit du bout du ciel.... Ce voyage, du monde des fous Ă  lier.. Ni demain,ni la semaine ancienne ou rĂ©elle Ne finira dans la rĂ©alitĂ© ... PoĂšmes d'amour tristes Pourras-tu me rĂ©pondre ??? Que me dirais-tu mon ami , si demain, oui, j'arrivais ? Que me dirais-tu si jamais on se parlait pour de vrai Quelle serait notre rĂ©action devant la trop vraie rĂ©alitĂ© ? Que serait ce premier geste pouvant nous amadouer ? ... Tu es loin, si loin ! Tellement trop loin, de mon pays Est-ce que tu Ă©couterais de mon coeur tous les cris ? J'aimerais tant que nous prenions alors un bon cafĂ© Que tu me donnes la main; que tu saches me guider... ... Ami, je me suis perdue dans la traitrise des liens Les gens sont tellement de vrais parfaits comĂ©diens Il y a en moi, une blessure profonde en la confiance Est-ce que je peux encore oser prendre une chance ? ... Allons lentement, le visage au vent, yeux assĂ©chĂ©s Voyons ce que la vie, ou le temps nous a prĂ©servĂ© Il me semble te connaĂźtre sans mots je sais ta vie Toi tu sais dĂ©jĂ  ces mots par lesquels on communie ... ... Veux-tu, dis-moi en toute sincĂ©ritĂ©, s'il te serait bon Que je commence Ă  nous dĂ©crire le bĂątir d'un pont Quand il serait terminĂ© nous franchirions cet au-delĂ  La distance effacĂ©e, nous cheminerions pas Ă  pas ... ... À bientĂŽt mon ami !!! PoĂšmes d'amour tristes Regarde en toi !!! . Et Dieu te parle de tes blessures . Tu sais, il y a des choses dans la vie Qui ne naissent que dans l'eau, les larmes et le sang . Ainsi naissent, une perle, un enfant, un couple, une famille .... ..... ... Verlaine n'a-t-il point criĂ© " Ô mon Dieu , vous m'avez blessĂ© d'amour. Et la blessure est encore vibrante . " Ô mon Dieu,vous m'avez blessĂ© d'amour . Et la blessure est encore lĂ  qui tonne." ... . ... *****Et Dieu de te rĂ©pondre . Regarde ta propre blessure elle est lĂ  en toi ! Accueille-la . ChĂ©ris-la . N'aies pas peur. Partage ta faiblesse, ainsi tu partageras ton amour, Ce qu'il y a de plus secret en toi, De plus mystĂ©rieux et aussi de plus beau . Ta blessure doit s'ouvrir Pour laisser place Ă  la tendresse Comme les nuages se dissipent Pour laisser percer le soleil . La blessure, en effet, Creuse un lit, un creux, un espace intĂ©rieur OĂč peut circuler la vie, le bonheur, l'Esprit . . . . Ta blessure, se fera amour . . . PoĂšmes d'amour tristes DIS - MOI SERAS - TU LÀ ? .......... Dis-moi, dis est -ce que tu saurais me tendre la main ? Aide-moi, je t'en prie, j'ai perdu mes tendres repĂšres J'ai priĂ© ... et je pleure personne n'entend ma priĂšre Viens m'aider, je crains qu'il y ait une fin Ă  ce chemin. J'ai froid! J'ai tellement peur d'ĂȘtre dĂ©jĂ  morte demain J'ai Ă  traverser sans me noyer, cette trop large riviĂšre Je t'en prie,il faudrait me dire tout ce que je dois faire S'il- te- plaĂźt guide-moi ! Mon ami,Ă©claircit mon destin ... Comme une reine qui attend le chant, de son baladin Je cherche des yeux une lueur de ma joie qui espĂšre Il me faut chasser au loin tous mes souvenirs amers Mais ma mĂ©moire se joue de moi, et, revient sans fin Elle combat rires et joies par de monstrueux chagrins Dis-moi, est-ce que ma vie te trouvera. sans mystĂšre ? Redis-moi tous ces mots, qui effaceront cette misĂšre Souviens-toi je sera lĂ  aux premiĂšres lueurs du matin ... ... Je ne sais pas comment je me prĂ©senterai si soudain J'ai trop nagĂ©, et que fatiguĂ©e je ne sais pas que faire ... Et puis, je me dĂ©bĂąts, dans ces flots qui dĂ©sespĂšrent Saurais-tu m'aider et m'Ă©clairer, tous mes lendemains ? Écris-moi les mots que j'attends sur papier parchemin J'irai les lire, un doux soir, sous de beaux reverbĂšres Bien entendu, je me croirai encore revenue en arriĂšre ... Mais dis-moi en premier sauras-tu me tendre ta main? PoĂšmes d'amour tristes Oui, un nouveau jour se lĂšve Un soleil neuf Ă©claire notre rĂȘve. LĂšve toi de ce banc de solitaire Viens te rĂ©chauffer contre mon cƓur. ...... Écoute ma voix dĂ©clamer les vers D'un poĂšte dont le jardin en fleurs Attend depuis la nuit des temps Que tu viennes partager son printemps. ...... Fini de construire notre pont Je suis dĂ©jĂ  debout sur le ponton Et vais de ce pas m'y engager Pour te rejoindre sur la rive opposĂ©e. ....... J'ai oubliĂ© mes peines, sĂ©chĂ© mes pleurs Je te rejoint enfin sans peur Mais Ă©coute mon silence qui te conte Les secrets de notre entente. ..... Plus de larmes, de douleurs, plus de cris Nous sommes ensemble aujourd'hui Suivons le chemin qui mĂšne Ă  notre union Ce ne peut ĂȘtre autre que ce pont. ..... Il prend de plus en plus forme Chaque jour qui nous rĂ©unis Et peu Ă  peu nous transforme En une seule et unique vie. PoĂšmes d'amour tristes Le pont...~~~ *** Je travaille toujours Ă  bĂątir notre pont ... Ces 2 mondes qui aujourd'hui nous sĂ©parent ... Un jour,aprĂšs-demain, se rĂ©uniront .... J'arriverai un autre jour Ă  cette gare.... Ainsi le veut, toutes les chansons .. Ainsi , le chante l'amour qui se prĂ©pare Je suis avec toi ... Ă  l'unisson .... Regarde bien, regarde, je pars ... *** Si entre nous le chemin est grand ... C'est presque rien qui nous relie ... Nos deux mondes sont si diffĂ©rents ... Attends-moi ... j'ai bien compris ... Ce que nos yeux ne voient pas vraiment Mon coeur le sait ... mon coeur le sent d'ici Mais j'oublie si souvent, trop souvent .... N'oublie pas moi, je t'ai promis ..... *** Je tisse un pont invisible et long ... Pour aimer et venir vers toi ... Je suis sur la route, je fonce au front Je n'aime toujours que toi ... Parfois je fais quelques bonds ... Je cours, je cours vers toi .... Je te vois, tu es lĂ  dans mon horizon ... Accueille-moi ... contre toi ... garde-moi .... *** Au loin ... j'entends Ă  peine .... Tous ces gens ... tous ces Ă©trangers ... Un jour .... parmi nos centaines ... Nous arriverons ... pour nous rencontrer ... Ce sang circulant dans mes veines Ne veut venir que pour t'Aimer .... Un jour, une nuit, chose certaine ... J'arriverai .... je saurai t'aimer ..... ......... On dirait que je regarde un nouveau jour, se lever Je crains qu'il ne se lĂšve pour rien, une autre fois En fait, j'ignore en mon ĂȘtre ce qui pourrait arriver Vraiment je me sens perdue dans un sous- bois ..... J'ai froid ! Je viens de trouver un banc de solitaire Je vais aller m'y reposer! Je n'entends pas ta voix .... Il est lĂ  Ă  l'abri! Le pont pour y aller juste la pierre Le silence ! MĂȘme l'Ă©cho ne te ramĂšne pas Ă  moi ..... Es-tu Ă  pleurer et sur ton coeur et sur tes peines ? Je me sens abandonnĂ©e !Trop seule aujourd'hui .. Conte-moi tout bas les secrets qui sont en scĂšne Dis-moi tes larmes! Dis-moi tes douleurs,tes cris .. ..... Aide-moi Ă  bĂątir ce chemin menant Ă  notre union Je ne veux pas me retrouver sur un sens unique ... Il te faut ĂȘtre lĂ  pour m'aider Ă  bĂątir tous ces ponts Toi et moi....nos vies pourraient ĂȘtre si magiques ..... Viens ! Ose-le ce pas ! Allons de l'avant tu veux? Je t'offre tout de moi ! MĂȘme mes dĂ©sirs obscurs Fais un pas, un tout petit pas ! Tu seras heureux .. . Avance un peu ! Mon pont peut vaincre tes murs .... Ne pleure pas voici le vrai message des cieux ***** Ne pleure pas sur ce que tu as perdu, .......................................... lutte pour ce que tu as. Ne pleure pas sur celui qui est mort, ................................ lutte pour ce qui est nĂ© en toi. Ne pleure pas sur qui t’a abandonnĂ©, ...............................lutte pour celui qui est avec toi. Ne pleure pas sur celui qui te hait, .......................................lutte pour celui qui t’aime. Ne pleure pas sur ton passĂ©, ............................................lutte pour ton prĂ©sent. Ne pleure pas sur ta souffrance, ...........................................lutte pour ton bonheur. Ne pleure pas pour ce que demain sera ...............................lutte pour ta confiance et ta foi. Avec toutes les choses que nous vivons, ...........................................nous apprenons que .......... TOUT PROBLÈME A SA SOLUTION........... ..... Il te faut simplement aller de l’avant !!! »».. Gitane... dis-moi ma folie ...crie Gitane... comment va ma vie...?? Gitane... como mi vida es asi ... ? Que dois-je faire de cette vie ....? Chante pour moi, une rapsodie Invente toutes ces notes qui supplient Gitane... guide-moi dans ma folie Il est lĂ  ... je t'en supplie !!! Danse avec moi ,Gitane chĂ©rie Les tambourins... font tant de bruits... Je veux assouir mes envies ... Les violons transpercent ma nuit ... Gitane garde-moi.... tu es toujours ma Vie Berce-moi.... de tout mon ennui... Tue en moi, mes chants meurtris... J'ai trop mal de LUI ... Gitane, hurle-moi qui je suis Hurle-le lui .... moi, c'est fini Je ne parle plus je fuis ... Viens danser je veux l'oubli ....
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ኀኖп Đ·Î”ŐŁĐ°ÎŸá‹‘á…áŠŸŐ©Đ€ Đ·Ï…ĐČŐ§ ÎčŃˆĐŸáŒŽŃƒĐ»Đ„áŒĐ» Ń‡ŃŃˆĐŸÏ€Đ” шаኣο
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lenvie de ne plus souffrir, d'oublier ne serait-ce que quelques secondes, les problĂšmes qui te donne envie d'en finir, de revivre dans un autre monde. les regrets, les souvenirs, la douleur,le dĂ©sespoir, la peur des problĂšmes Ă  venir, l'envie d'une nouvelle histoire. tu souris, tu t'amuses, pour que personne ne remarque ta tristesse, ton cƓur petit a petit s'use, au point d'Ă©mettre des
Phonétique(Cliquez pour la liste complÚte): cacahouÚte cacahouÚtes cacahuÚte cacahuÚtes cacaotée cacaotées cacaotés cacatoÚs cacatois cagote cagotes cagots cahota cahotai cahotais cahotait cahotas cahotùt cahotùtes cahote cahotée cahotées cahotes cahotés cahots cahute cahutes caquùtes caqueta caquetai caquetais caquetait caquetas caquetùt caquetùtes
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Đ’ÎžĐŽÎ±áŒ©áŒŒ ጀŐČαфД΄կОւ՞ба Ï…Đ·ŃƒŐźá’ÎŸá‹žÖ Ń…Ő­Ń„ĐŸŃŃƒŃ‚Đ°Ő”áˆŁáŒŠŐČ áˆ€ĐŸÏŃƒŐŁÎ±Ï†ÎžŃ‚ хоĐčŐš
Tusais que je suis triste sans toi, Je suis malade quand je ne te vois pas, Je pleure quand on ne se parle pas. Mon bĂ©bĂ© ne m'abandonne jamais, Tu vois combien je souffre sans toi. Je peux perdre tout ce que j'ai, Mais je ne veux plus jamais perdre quelqu'un comme toi dans ma vie, Tu es la raison pour laquelle je ris, Jene croyais pas trouver lĂ  Des raisons de souffrir encor! -Un jardin, son humble dĂ©cor, - (Lequel de nous deux a donc tort?) Mais ton oeil ressemble aux lilas! Tu sais, je n'anticipais pas, Je ne m'Ă©tais pas dit, vraiment, Moi qui te combats prudemment, Qu'Ă  chaque instant, Ă  chaque pas, Je heurterais mon coeur qui songe À quelque chose Jene veux pas souffrir du doute, Ni que tu m'Ă©pargnes, ni mĂȘme Que, concevant combien je t'aime, Tu m'accompagnes sur ma route. Quels efforts pourraient comprimer Ton ennui - PoĂšmes . PoĂ©sie française. Liens; A Propos ; PoĂ©sie; Rechercher un poĂšme; PoĂšmes; PoĂštes; Nouveaux poĂšmes; PoĂšme - Je ne veux pas souffrir du doute, Ni que tu m'Ă©pargnes, ni mĂȘme Que, p2tlf8.
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  • poeme je te quitte pour ne plus souffrir