Ledécret n° 2017-891 du 6 mai 2017 reprend l'article 914 du code de procédure civile pour renforcer les pouvoirs du Conseiller de la mise en état "seul compétent depuis sa désignation et jusqu'à la clÎture de l'instruction". Cette disposition modifiée reprend la jurisprudence bien établie qui permet au CME de purger le dossier de tout incident procédural afin que l'affaire
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Souslâempire du droit antĂ©rieur, les fins de non-recevoir nâĂ©taient pas visĂ©es par lâancien lâarticle 771, 1° du Code de procĂ©dure civile, devenu lâarticle 789, 1°. On en dĂ©duisait, par voie de consĂ©quence, quâelles Ă©chappaient purement et simplement Ă
Le Code de procédure pénale regroupe les lois relatives au droit de procédure pénale français. Gratuit Retrouvez l'intégralité du Code de procédure pénale ci-dessous Article 117 Entrée en vigueur 2016-11-15 Nonobstant les dispositions prévues à l'article 116, le juge d'instruction peut procéder à un interrogatoire immédiat et à des confrontations si l'urgence résulte soit de l'état d'un témoin en danger de mort, soit de l'existence d'indices sur le point de disparaßtre. Le procÚs-verbal fait mention des causes d'urgence.
Ainsi selon lâarticle 117 du Code de procĂ©dure civile, constituent des irrĂ©gularitĂ©s de fond affectant la validitĂ© de lâacte, le dĂ©faut de capacitĂ© dâester en justice, le dĂ©faut du pouvoir dâune
Le Quotidien du 13 janvier 2015 Avocats/ProcĂ©dure CrĂ©er un lien vers ce contenu [BrĂšves] Refus de modifier l'article 117 du Code de procĂ©dure civile pour sanctionner la mĂ©connaissance du respect du contradictoire dans le cadre des relations avec la partie adverse. Lire en ligne Copier La dĂ©cision implicite de rejet nĂ©e du silence gardĂ© par le Premier ministre sur la demande de modification de l'article 117 du Code de procĂ©dure civile N° Lexbase L1403H4Q, afin que la mĂ©connaissance des dispositions du premier alinĂ©a de l'article du RIN N° Lexbase L4063IP8 soit sanctionnĂ©e comme une irrĂ©gularitĂ© de fond entraĂźnant la nullitĂ© de la procĂ©dure, ne mĂ©connaĂźt pas le principe du contradictoire, les droits de la dĂ©fense et le droit Ă un procĂšs Ă©quitable, tels qu'ils sont garantis, notamment, par l'article 16 de la DDHC N° Lexbase L1363A9D, les articles 6 § 1 N° Lexbase L7558AIR, 8 N° Lexbase L4798AQR et 13 N° Lexbase L4746AQT de la CESDH ainsi que l'article 1er de son premier protocole additionnel N° Lexbase L1625AZ9, et les articles 2, 14 § 1 et 17 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques N° Lexbase L6816BHW, dĂšs lors que ces principes ne sont pas applicables aux relations entre avocats en amont de l'introduction de la procĂ©dure juridictionnelle. Telle est la solution d'un arrĂȘt rendu par le Conseil d'Etat le 19 dĂ©cembre 2014 CE 6° s-s., 19 dĂ©cembre 2014, n° 365476 N° Lexbase A2568M8M. Dans cette affaire, les requĂ©rants demandaient l'annulation pour excĂšs de pouvoir la dĂ©cision implicite de rejet rĂ©sultant du silence gardĂ© par le Premier ministre sur leur demande tendant Ă l'Ă©diction d'un dĂ©cret en Conseil d'Etat, visant d'une part, Ă amender l'article 117 du Code de procĂ©dure civile, et, d'autre part, Ă supprimer la deuxiĂšme phrase de l'article 62-5 du Code de procĂ©dure civile afin de permettre aux parties de soulever l'irrecevabilitĂ© rĂ©sultant du dĂ©faut d'acquittement de la contribution pour l'aide juridique. AprĂšs avoir Ă©dictĂ© la solution sus-Ă©noncĂ©e, le Haut conseil rappelle qu'il ne lui appartient pas, hors examen d'un mĂ©moire distinct soulevant une question prioritaire de constitutionnalitĂ©, de se prononcer sur la conformitĂ© des dispositions relatives au rĂ©gime disciplinaire de l'avocat Ă la Constitution ni de saisir la Cour de justice de l'Union europĂ©enne d'une question prĂ©judicielle cf. lâOuvrage "La profession d'avocat" N° Lexbase E6815ETL. © Reproduction interdite, sauf autorisation Ă©crite prĂ©alable newsid445371 Utilisation des cookies sur Lexbase Notre site utilise des cookies Ă des fins statistiques, communicatives et commerciales. Vous pouvez paramĂ©trer chaque cookie de façon individuelle, accepter l'ensemble des cookies ou n'accepter que les cookies fonctionnels. En savoir plus Parcours utilisateur Lexbase, via la solution Salesforce, utilisĂ©e uniquement pour des besoins internes, peut ĂȘtre amenĂ© Ă suivre une partie du parcours utilisateur afin dâamĂ©liorer lâexpĂ©rience utilisateur et lâĂ©ventuelle relation commerciale. Il sâagit dâinformation uniquement dĂ©diĂ©e Ă lâusage de Lexbase et elles ne sont communiquĂ©es Ă aucun tiers, autre que Salesforce qui sâest engagĂ©e Ă ne pas utiliser lesdites donnĂ©es. DonnĂ©es analytiques Nous attachons la plus grande importance au confort d'utilisation de notre site. Des informations essentielles fournies par Google Tag Manager comme le temps de lecture d'une revue, la facilitĂ© d'accĂšs aux textes de loi ou encore la robustesse de nos readers nous permettent d'amĂ©liorer quotidiennement votre expĂ©rience utilisateur. Ces donnĂ©es sont exclusivement Ă usage interne.
Article118. Les exceptions de nullitĂ© fondĂ©es sur l'inobservation des rĂšgles de fond relatives aux actes de procĂ©dure peuvent ĂȘtre proposĂ©es en tout Ă©tat de cause, Ă moins qu'il en soit disposĂ© autrement et sauf la possibilitĂ© pour le juge de condamner Ă des dommages-intĂ©rĂȘts ceux qui se seraient abstenus, dans une intention
Article 117 Nonobstant les dispositions prévues à l'article 116, le juge d'instruction peut procéder à un interrogatoire immédiat et à des confrontations si l'urgence résulte soit de l'état d'un témoin en danger de mort, soit de l'existence d'indices sur le point de disparaßtre, ou encore dans le cas prévu à l'article 72. Le procÚs-verbal fait mention des causes d'urgence. Article précédent Article 116-1 Article suivant Article 118 DerniÚre mise à jour 4/02/2012
Pourla dĂ©signation dâune personne pour agir en son nom et sous son autoritĂ© conformĂ©ment Ă lâarticle 117 du Code de procĂ©dure civile (chapitre C-25.01), lâhuissier a droit uniquement Ă des honoraires de 25 $. Les honoraires de signification et de dĂ©placement que la personne dĂ©signĂ©e peut rĂ©clamer ne peuvent excĂ©der ceux auxquels lâhuissier aurait lui-mĂȘme droit en vertu du
Le dĂ©cret n° 2017-891 du 6 mai 2017 reprend l'article 914 du code de procĂ©dure civile pour renforcer les pouvoirs du Conseiller de la mise en Ă©tat "seul compĂ©tent depuis sa dĂ©signation et jusqu'Ă la clĂŽture de l'instruction".Cette disposition modifiĂ©e reprend la jurisprudence bien Ă©tablie qui permet au CME de purger le dossier de tout incident procĂ©dural afin que l'affaire parvienne devant la formation de jugement en Ă©tat d'ĂȘtre jugĂ©e sur le fond. L'ordonnance rendue aura autoritĂ© de la chose La purge de tout incident procĂ©dural par le conseiller de la mise en Ă©tatA- Un moyen de dĂ©fense1- Les fins de non recevoir ou exception de procĂ©dure ?Les fins de non recevoir touche au droit d'agir en justice et atteint l'action elle-mĂȘme Article 32 Est irrecevable toute prĂ©tention Ă©mise par ou contre une personne dĂ©pourvue du droit d' 122 Constitue une fin de non-recevoir tout moyen qui tend Ă faire dĂ©clarer l'adversaire irrecevable en sa demande, sans examen au fond, pour dĂ©faut de droit d'agir, tel le dĂ©faut de qualitĂ©, le dĂ©faut d'intĂ©rĂȘt, la prescription, le dĂ©lai prĂ©fix, la chose distinguer de la nullitĂ© qui affecte la validitĂ© de la procĂ©dure pour inobservation des formes art 114 ou pour l'une des irrĂ©gularitĂ©s visĂ©es Ă l'article 117 du code de procĂ©dure civile Le dĂ©faut de capacitĂ© d'ester en justiceLe dĂ©faut de pouvoir d'une partie ou d'une personne figurant au procĂšs comme reprĂ©sentant soit d'une personne morale, soit d'une personne atteinte d'une incapacitĂ© d'exerciceLe dĂ©faut de capacitĂ© ou de pouvoir d'une personne assurant la reprĂ©sentation d'une partie en Ă l'exception de procĂ©dure, l'article 73 dispose Constitue une exception de procĂ©dure tout moyen qui tend soit Ă faire dĂ©clarer la procĂ©dure irrĂ©guliĂšre ou Ă©teinte, soit Ă en suspendre le 74 prĂ©cise que Les exceptions doivent, Ă peine d'irrecevabilitĂ©, ĂȘtre soulevĂ©es simultanĂ©ment et avant toute dĂ©fense au fond ou fin de non-recevoir. Il en est ainsi alors mĂȘme que les rĂšgles invoquĂ©es au soutien de l'exception seraient d'ordre que l'article 123 prĂ©voit que Les fins de non-recevoir peuvent ĂȘtre proposĂ©es en tout Ă©tat de cause, sauf la possibilitĂ© pour le juge de condamner Ă des dommages-intĂ©rĂȘts ceux qui se seraient abstenus, dans une intention dilatoire, de les soulever plus tĂŽt Cass 2civ. 2Ăšme du 14 Novembre 2013 n°12-25835."Les juges doivent relever d'office les fins de non-recevoir d'ordre public lorsqu'elles rĂ©sultent de l'absence d'ouverture d'une voie de pas susceptible d'appel le jugement qui statue sur une demande, quel que soit le fondement allĂ©guĂ©, tendant Ă l'allocation d'une somme d'argent dont le montant est infĂ©rieur au taux du dernier dĂšs lors ĂȘtre dĂ©clarĂ© irrecevable l'appel formĂ© contre un jugement prud'homal faisant droit, par application du principe d'Ă©galitĂ© de traitement, Ă une demande de rappel de salaires infĂ©rieure Ă euros" Cass soc 15 janvier 2014 n°12-25404 12-25405 12-25408 12-25409. Par ailleurs, l'exception de procĂ©dure soulevĂ©e dans des conclusions au fond, et nullement dans des conclusions saisissant le conseiller de la mise en Ă©tat qui a seul compĂ©tence pour en statuer est-elle recevable ? illustration juge de la mise en Ă©tatDans un arrĂȘt du 12 mai 2016 n° n° 14-28086, la deuxiĂšme chambre civile de la Cour de cassation confirme une dĂ©cision de la cour d'appel qui avait retenu que l'exception d'incompĂ©tence Ă©tait irrecevable. En l'espĂšce, lors de la procĂ©dure de premiĂšre instance, M. X⊠avait dĂ©posĂ©, avant les conclusions aux fins dâincident saisissant explicitement le juge de la mise en Ă©tat de lâexception dâincompĂ©tence, des conclusions qui formulaient Ă la fois cette exception de procĂ©dure et des demandes au L'irrecevabilitĂ© et la caducitĂ© de l'appel1- CaducitĂ©L'article 914 modifiĂ© du code de procĂ©dure pĂ©nale prĂ©voit que Les parties soumettent au conseiller de la mise en Ă©tat, qui est seul compĂ©tent depuis sa dĂ©signation et jusqu'Ă la clĂŽture de l'instruction, leurs conclusions, spĂ©cialement adressĂ©es Ă ce magistrat, tendant Ă prononcer la caducitĂ© de l' cas Article 908 "A peine de caducitĂ© de la dĂ©claration d'appel, relevĂ©e d'office, l'appelant dispose d'un dĂ©lai de trois mois Ă compter de la dĂ©claration d'appel pour remettre ses conclusions au greffe".La jurisprudence a prĂ©cisĂ© que "la caducitĂ© de la dĂ©claration d'appel faute de notification par l'appelant de ses conclusions Ă l'intimĂ© dans le dĂ©lai imparti par l'article 911 du Code de procĂ©dure civile ne peut ĂȘtre encourue, en raison d'une irrĂ©gularitĂ© de forme affectant cette notification" Cass. 2civ du 16 oct. 2014 n° .Article 902 "Le greffier adresse aussitĂŽt Ă chacun des intimĂ©s, par lettre simple, un exemplaire de la dĂ©claration avec l'indication de l'obligation de constituer cas de retour au greffe de la lettre de notification ou lorsque l'intimĂ© n'a pas constituĂ© avocat dans un dĂ©lai d'un mois Ă compter de l'envoi de la lettre de notification, le greffier en avise l'avocat de l'appelant afin que celui-ci procĂšde par voie de signification de la dĂ©claration d' peine de caducitĂ© de la dĂ©claration d'appel relevĂ©e d'office, la signification doit ĂȘtre effectuĂ©e dans le mois de l'avis adressĂ© par le greffe ; cependant, si, entre-temps, l'intimĂ© a constituĂ© avocat avant la signification de la dĂ©claration d'appel, il est procĂ©dĂ© par voie de notification Ă son peine de nullitĂ©, l'acte de signification indique Ă l'intimĂ© que, faute pour lui de constituer avocat dans un dĂ©lai de quinze jours Ă compter de celle-ci, il s'expose Ă ce qu'un arrĂȘt soit rendu contre lui sur les seuls Ă©lĂ©ments fournis par son adversaire et que, faute de conclure dans le dĂ©lai mentionnĂ© Ă l'article 909, il s'expose Ă ce que ses Ă©critures soient dĂ©clarĂ©es d'office irrecevables".Le conseiller de la mise en Ă©tat a le pouvoir de relever d'office la caducitĂ© de la dĂ©claration d'appel en cas de non-respect des prescriptions de l'article 902 du Code de procĂ©dure civile Cass 2civ. du 26 juin 2014 n° 906 et 911Les conclusions sont notifiĂ©es et les piĂšces communiquĂ©es simultanĂ©ment de leur remise au greffe par l'avocat de chacune des parties Ă celui de l'autre partie ; en cas de pluralitĂ© de demandeurs ou de dĂ©fendeurs, elles doivent l'ĂȘtre Ă tous les avocats question s'est posĂ©e de savoir si l'incident de caducitĂ© de la dĂ©claration d'appel Ă©tait une fin de non recevoir ou une exception de procĂ©dure ? voir 914 al 2 du code de procĂ©dure civileLa caducitĂ© est considĂ©rĂ©e comme un incident d'instance mettant fin Ă 385 "L'instance s'Ă©teint Ă titre principal par l'effet de la pĂ©remption, du dĂ©sistement d'instance ou de la caducitĂ© de la ces cas, la constatation de l'extinction de l'instance et du dessaisissement de la juridiction ne met pas obstacle Ă l'introduction d'une nouvelle instance, si l'action n'est pas Ă©teinte par ailleurs Pour l'arrĂȘt du 7 avril 2016 n° 15-14154, il est prĂ©cisĂ© que "Mais attendu qu'ayant constatĂ© que le dĂ©lai d'appel n'Ă©tait pas expirĂ©, la cour d'appel a Ă bon droit dĂ©cidĂ© que le second appel formĂ© par M. X..., peu important qu'il ait Ă©tĂ© interjetĂ© alors que la caducitĂ© de la premiĂšre dĂ©claration d'appel n'avait pas Ă©tĂ© prononcĂ©e, Ă©tait recevable".Toutefois "La premiĂšre dĂ©claration d'appel formĂ©e par l'appelant Ă©tant rĂ©guliĂšre et ayant emportĂ© inscription immĂ©diate de l'affaire au rĂŽle, celui-ci est en consĂ©quence tenu de conclure dans le dĂ©lai de trois mois Ă compter de cette dĂ©claration sous peine de caducitĂ© de cette derniĂšre, la seconde dĂ©claration d'appel, formĂ©e ultĂ©rieurement, identique Ă la premiĂšre comme Ă©tant dirigĂ©e Ă l'encontre du mĂȘme jugement et dĂ©signant le mĂȘme intimĂ©, Ă©tant sans effet" Cass 2civ du 21 janvier 2016 n° 14-18631.2- Les motifs d'irrecevabilitĂ©Article 914 Les parties soumettent au conseiller de la mise en Ă©tat, qui est seul compĂ©tent depuis sa dĂ©signation et jusqu'Ă la clĂŽture de l'instruction, leurs conclusions, spĂ©cialement adressĂ©es Ă ce magistrat, tendant Ă dĂ©clarer l'appel irrecevable et trancher Ă cette occasion toute question ayant trait Ă la recevabilitĂ© de l'appel ; les moyens tendant Ă l'irrecevabilitĂ© de l'appel doivent ĂȘtre invoquĂ©s simultanĂ©ment Ă peine d'irrecevabilitĂ© de ceux qui ne l'auraient pas les conclusions irrecevables en application des articles 909 et 910 dĂ©lai de trois mois nouveau Ă compter de la notification des conclusions de l'appelant pour l' les actes de procĂ©dure irrecevables en application de l'article 930-1 "A peine d'irrecevabilitĂ© relevĂ©e d'office, les actes de procĂ©dure sont remis Ă la juridiction par voie Ă©lectronique"."Mais attendu qu'ayant relevĂ© que l'examen de la seule piĂšce produite par Mme Y..., soit une page imprimĂ©e extraite du RPVA le 23 mai 2012, rĂ©vĂ©lait que la dĂ©claration d'appel Ă l'encontre du jugement du 1er mars 2012 avait Ă©tĂ© dĂ»ment prĂ©parĂ©e par son avocat mais ne comportait aucune trace de son envoi au greffe, lequel ne l'avait en tout Ă©tat de cause pas reçue, c'est Ă bon droit que la cour d'appel, qui a exactement retenu que les diligences de l'article 930-1 du code de procĂ©dure civile devaient ĂȘtre effectuĂ©es dans le dĂ©lai requis, a, rĂ©pondant aux conclusions dont elle Ă©tait saisie, statuĂ© comme elle l'a fait" Cass 2civ. du 13 nov. 2014 n° 13-25035L'irrecevabilitĂ© est une fin de non recevoir qui tend Ă faire obstacle Ă l'action de l'adversaire sans que le juge ait Ă statuer sur les prĂ©tentions. Les autres incidents mettant fin Ă l'action pĂ©remption, dĂ©sistement, acquiescement.... II- L'autoritĂ© de la chose jugĂ©e au principalA- IrrecevabilitĂ© de la caducitĂ© ou de l'irrecevabilitĂ© aprĂšs la clĂŽture de l'instruction1- Devant la cour d'appelLe dĂ©cret introduit un alinĂ©a 2 Ă l'article 914 du code de procĂ©dure civile Les parties ne sont plus recevables Ă invoquer devant la cour d'appel la caducitĂ© ou l'irrecevabilitĂ© aprĂšs la clĂŽture de l'instruction, Ă moins que leur cause ne survienne ou ne soit rĂ©vĂ©lĂ©e postĂ©rieurement. NĂ©anmoins, sans prĂ©judice du dernier alinĂ©a du prĂ©sent article, la cour d'appel peut, d'office, relever la fin de non-recevoir tirĂ©e de l'irrecevabilitĂ© de l'appel ou la caducitĂ© de Conforme Ă la jurisprudenceIl reprend la jurisprudence de l'arrĂȘt prĂ©citĂ© du 12 mai 2016 n° n° 14-28086 confirmĂ© par un arrĂȘt du 11 mai 2017 Cass 2civ 11 mai 2017 n° 15-27467 "Attendu que, pour dĂ©clarer caduque la dĂ©claration d'appel, l'arrĂȘt constate que M. Y... sollicite, dans ses conclusions rĂ©capitulatives prises le 15 septembre 2014, le prononcĂ© de la caducitĂ© de la dĂ©claration d'appel, puis, statuant "sur les demandes in limine litis de M. Y...", retient que Mme X... lui a signifiĂ© le 6 juin 2014 les conclusions qu'elle avait remises au greffe le 4 avril 2014 ;Qu'en statuant ainsi, en accueillant un incident que les parties ne pouvaient pas soulever devant elle, la cause de la caducitĂ© Ă©tant survenue ou rĂ©vĂ©lĂ©e antĂ©rieurement au dessaisissement du conseiller de la mise en Ă©tat, la cour d'appel, qui ne pouvait retenir la caducitĂ© qu'en la relevant d'office, a violĂ© le texte susvisĂ©"B- Insusceptible de recours indĂ©pendamment de l'arrĂȘt au fond1- Pour une stabilitĂ© juridiqueLe dernier alinĂ©a de l'article 914 du code de procĂ©dure civile prĂ©vient que Les ordonnances du conseiller de la mise en Ă©tat statuant sur la fin de non-recevoir tirĂ©e de l'irrecevabilitĂ© de l'appel, sur la caducitĂ© de celui-ci ou sur l'irrecevabilitĂ© des conclusions et des actes de procĂ©dure en application des articles 909, 910, et 930-1 ont autoritĂ© de la chose jugĂ©e au 916 Les ordonnances du conseiller de la mise en Ă©tat ne sont susceptibles d'aucun recours indĂ©pendamment de l'arrĂȘt sur le 1355 du code civilL'autoritĂ© de la chose jugĂ©e n'a lieu qu'Ă l'Ă©gard de ce qui a fait l'objet du jugement. Il faut que la chose demandĂ©e soit la mĂȘme ; que la demande soit fondĂ©e sur la mĂȘme cause ; que la demande soit entre les mĂȘmes parties, et formĂ©e par elles et contre elles en la mĂȘme TempĂ©rance le dĂ©fĂ©rĂ© par requĂȘteArticle 916 al 2 Toutefois, elles peuvent ĂȘtre dĂ©fĂ©rĂ©es par requĂȘte Ă la cour dans les quinze jours de leur date lorsqu'elles ont pour effet de mettre fin Ă l'instance, lorsqu'elles constatent son extinction ou lorsqu'elles ont trait Ă des mesures provisoires en matiĂšre de divorce ou de sĂ©paration de peuvent ĂȘtre dĂ©fĂ©rĂ©es dans les mĂȘmes conditions lorsqu'elles statuent sur une exception de procĂ©dure, sur un incident mettant fin Ă l'instance, sur la fin de non-recevoir tirĂ©e de l'irrecevabilitĂ© de l'appel ou la caducitĂ© de celui-ci ou sur l'irrecevabilitĂ© des conclusions et des actes de procĂ©dure en application des articles 909, 910, et requĂȘte, remise au greffe de la chambre Ă laquelle l'affaire est distribuĂ©e, contient, outre les mentions prescrites par l'article 58 et Ă peine d'irrecevabilitĂ©, l'indication de la dĂ©cision dĂ©fĂ©rĂ©e ainsi qu'un exposĂ© des moyens en fait et en ordonnances du prĂ©sident de la chambre saisie ou du magistrat dĂ©signĂ© par le premier prĂ©sident, statuant sur la caducitĂ© ou l'irrecevabilitĂ© en application des articles 905-1 et 905-2, peuvent Ă©galement ĂȘtre dĂ©fĂ©rĂ©es Ă la cour dans les conditions des alinĂ©as prĂ©cĂ©dents.
AUNOM DU PEUPLE FRANCAIS LA COUR DE CASSATION, DEUXIEME CHAMBRE CIVILE, a rendu l'arrĂȘt suivant : Sur le premier moyen : Vu l'article 32 du nouveau Code de procĂ©dure civile, ensemble l'article 117 du mĂȘme Code ;
Le ministĂšre public est spĂ©cialement chargĂ© de veiller aux intĂ©rĂȘts des prĂ©sumĂ©s absents ; il est entendu sur toutes les demandes les concernant ; il peut requĂ©rir d'office l'application ou la modification des mesures prĂ©vues au prĂ©sent titre.
LeCode de procédure civile établit les principes de la justice civile et régit, avec le Code civil et en harmonie avec la Charte des droits et libertés de la personne (chapitre C-12) et les
Versionen vigueur depuis le 01 janvier 1976 Les exceptions de nullitĂ© fondĂ©es sur l'inobservation des rĂšgles de fond relatives aux actes de procĂ©dure doivent ĂȘtre accueillies sans que celui qui
Ladécision implicite de rejet née du silence gardé par le Premier ministre sur la demande de modification de l'article 117 du Code de procédure civile (N° Lexbase : L1403H4Q), afin que la méconnaissance des dispositions du premier alinéa de l'article 5.4 du RIN (N° Lexbase : L4063IP8) soit sanctionnée comme une irrégularité de fond entraßnant la nullité de la
UGpI. daa5vdzols.pages.dev/345daa5vdzols.pages.dev/383daa5vdzols.pages.dev/136daa5vdzols.pages.dev/398daa5vdzols.pages.dev/108daa5vdzols.pages.dev/463daa5vdzols.pages.dev/55daa5vdzols.pages.dev/470
article 117 du code de procédure civile