AprÚsLa médecine au temps des Pharaons, Bruno Halioua nous fait découvrir un nouveau pan de la pratique médicale dans l'Antiquité : la médecine au temps des
Je m'abonne pour 1€ le premier mois Benyamin Netanyahou alors Premier ministre d’IsraĂ«l, Reuven Rivlin alors prĂ©sident et le chef d’état-major Aviv Kohavi dĂ©corant une agente des services de renseignement qui a participĂ© Ă  la rĂ©cupĂ©ration de documents sur le programme nuclĂ©aire iranien, lors d’une cĂ©rĂ©monie, Ă  JĂ©rusalem, le 2 juillet 2019. HAIM TZACH/ISRAEL’S GOVERNMENT PRESS OFFICE Femmes fatales ou physiques passe-partout, originaires d’Europe ou du Moyen-Orient, mĂšres de familles ou cĂ©libataires endurcies, ingĂ©nieures en informatique ou profils de tueuses »  Elles ont vouĂ© leur vie Ă  la sĂ©curitĂ© d’IsraĂ«l. L’historien Michel Bar-Zohar leur a consacrĂ© une enquĂȘte passionnante. Temps de lecture 7 min Vous ne pouvez pas savoir l’importance Ă  nos yeux de votre travail au Caire. » Janvier 1948, Yolande Harmor vient de dĂ©rouler sur le bureau du futur Premier ministre d’IsraĂ«l, David Ben Gourion, les cartes dĂ©robĂ©es aux Egyptiens sur les projets d’invasion de l’Etat hĂ©breu dont la crĂ©ation vient d’ĂȘtre fixĂ©e au 14 mai. Cette belle femme Ă  la grĂące lĂ©gendaire qui avait repris son indĂ©pendance aprĂšs un mariage arrangĂ© avec un riche homme d’affaires juif d’Alexandrie fut l’une des premiĂšres espionnes au service d’IsraĂ«l. A la tĂȘte d’un rĂ©seau qu’elle monta de toutes piĂšces, elle prit des risques insensĂ©s, fut arrĂȘtĂ©e, emprisonnĂ©e et sauvĂ©e de justesse. Aujourd’hui, le rĂ©cit extraordinaire de sa vie est l’un de ceux mis en lumiĂšre par Michel Bar-Zohar et Nissim Mishal dans les Amazones du Mossad », qui vient de paraĂźtre aux Editions AUSSI Services secrets israĂ©liens plongĂ©e dans les dossiers noirs du Mossad Au dĂ©but, les femmes recrutĂ©es au Mossad faisaient le cafĂ©, tapaient les rapports
 mais grĂące Ă  ces hĂ©roĂŻnes qui ont forcĂ© la main du renseignement israĂ©lien et montrĂ© leur courage et leur abnĂ©gation, elles ont aujourd’hui conquis la place qu’elles mĂ©ritent au sein de l’Institut pour les renseignements et les affaires spĂ©ciales [le nom complet de l’agence, NDLR] », raconte Michel Bar-Zohar. AttablĂ© dans un cafĂ© parisien, l’ancien journaliste, diplomate et dĂ©putĂ© travailliste, qui travailla avec le ministre de la DĂ©fense Moshe Dayan Ă  la fin des annĂ©es 1 Cet article est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s. Pour lire la suite, profitez de nos offres dĂšs 1€ Je teste sans engagement En choisissant ce parcours d’abonnement promotionnel, vous acceptez le dĂ©pĂŽt d’un cookie d’analyse par Google. Paiement sĂ©curisĂ© Sans engagement AccĂšs au service client
FIGAROVOXTRIBUNE - Face aux résistances arabes, Donald Trump n'honorera pas immédiatement sa promesse de campagne visant à déplacer l'ambassade américaine en Israël de Tel Aviv à Jérusalem.
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BuyL'Egypte au temps de Moïse: L'invasion des étrangers nomades : Keftiou, Hébreux, Philistins, etc. - L'Exode - Le retour en scÚne des pharaons égyptiens (French Edition):
1 L'errance des permiers hĂ©breux o Abraham originaire de la ville d'UR en ChaldĂ©e reçoit le message d'emmener sa tribu vers la pays de Canaan terre promise par Dieu ; c'est le patriarche chef d'une tribu chez les premiers hĂ©breux 2 L'arrivĂ©e des hĂ©breux en Egypte et l'Exode - Le peuple hĂ©breux se rĂ©fugie en Egypte oĂč il est bien accueilli au dĂ©part. Mais ensuite, ils deviennent un peuple soumis, ils sont appelĂ©s israĂ©lites et les Egyptiens vont tout faire pour limiter leur croissance MoĂŻse entreprend de le faire sortir d'Egypte pour retourner en terre promise, vers 1200. - Le peuple hĂ©breux traverse la Mer Rouge puis fait une longue traversĂ©e du dĂ©sert de SinaĂŻ c'est l'Exode dĂ©part d'une population en dehors d'un territoire 3 Le temps des juges Pour ĂȘtre plus forts , les 12 tribus du peuple hĂ©breux s'unissent sous la direction de personnes sages les juges 4 Le royaume Vers 1040 avant JC, le roi SaĂŒl devient le roi du royaume d'IsraĂ«l. A sa mort, David 1010 – 970 AV JC lui succĂšde et fait de JĂ©rusalem la capital du Royaume. Salomon, son fils lui succĂšde en 970 AV JC et fait construire le temple de JĂ©rusalem. 5 Le temps des malheurs A la mort de Salomon en 930 AV JC, les 12 tribus se divisent en deux groupes au nord le royaume d'IsraĂ«l 10 tribus et au sud le royaume de Juda 2 tribus. Il se font envahir par leurs voisins. Les HĂ©breux aussi appelĂ©s les juifs sont emportĂ©s vers d'autres pays. Certains reviennent en IsraĂ«l, d'autres restent loin de leur pays et forme la Diaspora d'un mot grecque qui signifie dispersion, dĂ©signe la communautĂ© juive installĂ©e prĂšs de Canaan. Les meilleurs professeurs d'Histoire disponibles5 27 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !4,9 21 avis 1er cours offert !4,9 13 avis 1er cours offert !4,9 26 avis 1er cours offert !4,9 15 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !5 9 avis 1er cours offert !5 27 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !4,9 21 avis 1er cours offert !4,9 13 avis 1er cours offert !4,9 26 avis 1er cours offert !4,9 15 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !5 9 avis 1er cours offert !C'est partiII – La religion des HĂ©breux 1 Peuple monothĂ©iste, peuple de l'Alliance MonothĂ©iste = qui croit en un seul dieu – vient de mono = seul et Theo = Dieu Abraham a passĂ© une alliance avec Dieu qui a promis de protĂ©ger son peuple et de lui donner une terre en Ă©change- en Ă©change le peuple promet Ă  Dieu de lui rester fidĂšle. 2 Les pratiques religieuses - Pour respecter l'Alliance et honorer Dieu, les hommes doivent observer les rĂšgles strictes exposĂ©es dans la Torah premiĂšre partie de la Bible, les cinq premiers livres que nous appelons Pentateuque, rĂšgles qui concernent le culte, le moral et les aspects de la vie quotidienne. - Il y a d'abord les Commandements donnĂ©s Ă  MoĂŻse gravĂ©s sur les tables de la Loi et conservĂ©s dans l'arche d'Alliance ; il y en a 10. - Pour le culte, les HĂ©breux respectent un jour par semaine le repos et c'est aussi une journĂ©e consacrĂ©e Ă  la priĂšre c'est le Shabbat. 3 Le temple de JĂ©rusalem Ce temple a Ă©tĂ© dĂ©truit en 587 AV JC, reconstruit puis Ă  nouveau dĂ©truit vers 100 av JC. Un troisiĂšme temple est reconstruit par le roi HĂ©rode le Grand en 20 AV JC , puis rasĂ© par les Romains en 70. CONCLUSION Le judaĂŻsme est toujours pratiquĂ© par les descendants des HĂ©breux. Le temple de JĂ©rusalem n'a jamais Ă©tĂ© reconstruit son emplacement reste un lieu de culte et de priĂšre Le Mur des lamentations », vestige d'un des murs du temple. Aujourd'hui les prĂȘtres juifs, les Rabbins, organisent le culte dans des Sinagogues. Le symbole de la religion des HĂ©breux est Ă  6 branches, qui ornaient le bouclier de David l'Etoile de David.
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It looks like you're offline. Au temps des Hébreux- 40 av. - 70 ap. by Peter Connolly 0 Ratings 0 Want to read 0 Currently reading 0 Have read Overview View 1 Edition Details Reviews Lists Related Books Previews available in French This edition doesn't have a description yet. Can you add one? Book Details Edition Notes Translation of Living in the time of Jesus of Nazareth. Includes index. Series La Vie privée des hommes Classifications Library of Congress DS122 .C6614 1984 The Physical Object Pagination 67 p. Number of pages 67 ID Numbers Open Library OL2654147M ISBN 10 2010101375 LCCN 85237300 No community reviews have been submitted for this work. November 3, 2020 Edited by MARC Bot import existing book May 15, 2020 Edited by CoverBot Added new cover November 15, 2019 Edited by dcapillae merge authors November 15, 2019 Edited by dcapillae merge authors April 1, 2008 Created by an anonymous user Imported from Scriblio MARC record.

Dansl'année 6 kan, le 11 muluc du mois de zac, il se produisit de terribles séismes qui se poursuivirent jusqu'au 13 chuen. Le pays des collines de terre - la terre de Mu - fut sacrifié. Deux fois soulevé, il disparut pendant la nuit aprÚs avoir

Établis en Canaan grĂące Ă  MoĂŻse, les HĂ©breux ont rĂ©ussi, Ă  la fin du II e millĂ©naire, Ă  rĂ©aliser la promesse que, selon la Bible, Dieu avait faite Ă  Abraham. Commence alors une nouvelle histoire pour ces HĂ©breux devenus sĂ©dentaires. Que font-ils dans leur pays et quelles menaces pĂšsent sur eux ?I. Les premiers rois ou l'Ăąge d'or des HĂ©breux XIe-Xe siĂšcles av. leur entrĂ©e en Canaan, les HĂ©breux vivent encore un temps en plusieurs tribus divisĂ©es. Mais les peuples voisins sont menaçants. Les tribus doivent s'unir et pour cela choisir un premier roi, SaĂŒl, auquel succĂšdent David, puis Bible a laissĂ© de cette Ă©poque le tableau brillant d'un Ăąge d' SaĂŒl, le premier roi des HĂ©breux‱ SaĂŒl, dit la Bible, est un jeune HĂ©breu de haute taille qui sait se battre et commander les soldats. C'est lui que choisit le prophĂšte Samuel comme le premier roi des HĂ©breux. Samuel verse un petit flacon d'huile sur la tĂȘte du jeune homme et lui dit c'est toi qui jugeras le peuple de Dieu et le dĂ©livreras des peuples d'alentour ». Cette cĂ©rĂ©monie s'appelle l'onction. Le successeur de SaĂŒl, David, est oint lui aussi et, Ă  leur suite, de nombreux rois ont fait de David‱ Vers 1000 av. David succĂšde Ă  SaĂŒl. Jeune berger, il se fait remarquer, raconte la Bible, lors d'une guerre des HĂ©breux contre les Philistins. Ces derniers sont d'autant plus redoutables qu'ils possĂšdent des armes en fer, alors que celles des HĂ©breux sont encore en bronze. Un guerrier philistin de trĂšs grande taille, Goliath, vient dĂ©fier les HĂ©breux. David se propose pour l'affronter. GrĂące Ă  sa fronde, il atteint d'une pierre la tĂȘte de Goliath et le blesse Ă  mort.‱ Devenu roi, David prend la dĂ©cision d'installer son palais dans une ville qui n'appartient Ă  aucune tribu hĂ©braĂŻque pour qu'elle soit acceptĂ©e Ă  la fois par les tribus du Nord et par celles du Sud. JĂ©rusalem devient donc la capitale du royaume de David. Il y fait porter l'Arche d'alliance JĂ©rusalem devient aussi centre religieux. David est, enfin, un conquĂ©rant qui agrandit le territoire des HĂ©breux et laisse un puissant royaume Ă  son successeur, Salomon‱ La Bible prĂ©sente Salomon comme un roi juste deux femmes viennent un jour lui demander justice, chacune prĂ©tendant ĂȘtre la mĂšre d'un mĂȘme bĂ©bĂ©. Le roi ordonne alors que l'on coupe en deux l'enfant. L'une des femmes renonce immĂ©diatement Ă  l'enfant ; c'est la vraie mĂšre, juge Salomon, puisque la vie de son enfant lui importe plus que tout.‱ Salomon est aussi un roi bĂątisseur il fait construire un magnifique palais et, Ă  cĂŽtĂ©, le Temple qui abrite l'Arche. Salomon est donc souvent associĂ© Ă  la rĂ©ussite. Pourtant, Ă  bien lire la Bible, on remarque que ses constructions ont coĂ»tĂ© trĂšs cher. Il impose Ă  son peuple des journĂ©es de travail obligatoires. Il semble, de plus, avoir dĂ©savantagĂ© les habitants du Nord du royaume, en cĂ©dant certaines de leurs villes aux PhĂ©niciens, en Ă©change de bois pour le palais et le Temple. Cela explique en partie la division des HĂ©breux Ă  la mort du roi, vers 930 av. Le temps des difficultĂ©s fin du IXe siĂšcle-VIe siĂšcle av. La division du royaume des HĂ©breux‱ Le fils de Salomon n'est acceptĂ© que par les HĂ©breux de JĂ©rusalem et de la tribu de Juda, au Sud. C'est pourquoi son royaume est appelĂ© royaume de Juda. Les HĂ©breux des tribus du Nord choisissent un autre roi et, plus tard, une autre capitale, Samarie. Ils forment le royaume d'IsraĂ«l.‱ Depuis longtemps, HĂ©breux du Nord et du Sud prĂ©sentent bien des diffĂ©rences ils parlent des langues distinctes et ont des versions diffĂ©rentes de la Bible. De plus, les HĂ©breux d'IsraĂ«l vivent au contact d'un autre peuple, les CananĂ©ens, auxquels ils empruntent certaines habitudes et mĂȘme le culte d'un dieu, La disparition du royaume d'IsraĂ«l‱ DivisĂ©s, les HĂ©breux sont Ă  prĂ©sent affaiblis. Le royaume d'IsraĂ«l est agitĂ© par des disputes d'ordre politique et religieux certains rois encouragent en effet d'autres religions que celle de MoĂŻse, et le monothĂ©isme est parfois nĂ©gligĂ©. Le royaume d'IsraĂ«l disparaĂźt en 722 av. quand les Assyriens prennent Samarie et emmĂšnent les prisonniers sur les rives de l' L'exil Ă  Babylone‱ Dans le royaume de Juda, certains rois abandonnent Ă©galement la religion de la Bible. Pour Ă©viter une invasion des Assyriens, ils leur versent des tributs. Mais les Assyriens sont eux-mĂȘmes vaincus par les Babyloniens qui prennent JĂ©rusalem Ă  deux reprises, en 597 et en 587 av. Ils brĂ»lent le palais et le Temple de Salomon, emmenant les prisonniers hĂ©breux Ă  Babylone.‱ Commence alors l'exil. En rĂ©alitĂ©, seul un petit nombre d'HĂ©breux ont quittĂ© le pays, mais tous souffrent de la disparition du Temple et de leurs rois. La Bible tĂ©moigne de la tristesse de cette pĂ©riode Comment chanter un chant de Dieu en une terre Ă©trangĂšre ? Si je t'oublie, JĂ©rusalem, Que disparaisse ma main droite ! Que la langue me colle au palais, si je ne pense pas Ă  toi
 ».‱ Les historiens constatent que cet exil est un moment dĂ©cisif pour l'histoire des HĂ©breux au contact des Babyloniens et d'autres peuples en exil, ils amĂ©liorent leur connaissance des Ă©toiles et changent de calendrier. Ils vont aussi enrichir leur tradition littĂ©raire et ajouter des passages Ă  la Bible. En l'absence de Temple, ils adoptent un lieu de rĂ©union pour honorer leur dieu, la synagogue. Enfin, les HĂ©breux reçoivent alors un nouveau nom Juifs, qui vient de leur dernier royaume, le royaume de Les Juifs au sein des grands empires mĂ©diterranĂ©ens fin du VIe siĂšcle-Ier siĂšcle av. Le retour au pays sous l'empereur perse Cyrus‱ Les Perses, les GrĂ©co-MacĂ©doniens et les Romains ont successivement rĂ©gnĂ© sur la MĂ©diterranĂ©e orientale. Sous leur pouvoir, les Juifs ont eu la possibilitĂ© de dĂ©velopper leur culture.‱ L'empereur perse Cyrus, qui s'empare de Babylone en 539 av. autorise les Juifs, comme les autres peuples exilĂ©s, Ă  retourner dans leur pays. Ainsi, les descendants des HĂ©breux reconstruisent le Temple puis les murailles de JĂ©rusalem. Tous les matins, le prĂȘtre Esdras rassemble les habitants sur une place de la ville pour leur lire la Bible. Les Juifs retrouvent Ă  la fois leur capitale, leur Temple et leur dieu. Leur vie religieuse est riche et de nombreux textes sont ajoutĂ©s Ă  la L'influence de la culture grecque‱ AprĂšs deux siĂšcles d'existence, l'Empire perse est dĂ©truit par Alexandre le Grand. L'empire d'Alexandre est bientĂŽt divisĂ© en royaumes un en Égypte et un autre centrĂ© sur Babylone. Les Juifs dĂ©pendent de l'un, puis de l'autre. Ils dĂ©couvrent alors la culture grecque et s'hellĂ©nisent. C'est ainsi que soixante-douze sages traduisent la Bible en grec Ă  Alexandrie d'Égypte. L'ouvrage est surnommĂ© Bible des Septante ». L'archĂ©ologie montre Ă©galement que les Juifs les plus riches ont adoptĂ© des dĂ©corations grecques pour leurs demeures ou pour leurs La seconde destruction de JĂ©rusalem et la diaspora‱ Au IIe siĂšcle av. les royaumes hellĂ©nistiques se sont affaiblis tandis que l'emprise de Rome se renforce. Les Juifs tirent parti de cette situation pour rejeter les rois hellĂ©nistiques et retrouver un petit royaume indĂ©pendant, la JudĂ©e, dans l'ombre de leur grand alliĂ©, Rome. Celle-ci rĂ©ussit progressivement Ă  l'absorber.‱ Durant les premiĂšres dĂ©cennies de notre Ăšre, les Juifs attendent le retour d'un sauveur ou Messie, hĂ©ritier du roi David. Finalement, entre 66 et 70, ils entrent en guerre contre Rome. Vaincus, ils voient Ă  nouveau JĂ©rusalem dĂ©truite. Le peuple juif se disperse Ă  nouveau, dans tout l'Empire romain, cette fois c'est la diaspora.
Etude en 2004, de la vie, de la personnalité et du rÚgne du roi David. Rappels historiques. Notions sur les Hébreux (évocation de leurs combats contre les Philistins). Signification de la royauté pour ce peuple de l'Antiquité. Comment la succession du roi fut assurée. Cf. aussi p.39. Biographie, cartes, jeux, lexique.
En bref 
 Pour les plus pressĂ©s, nous avons repris ci-dessous les Ă©vĂ©nements-clĂ©s de l’histoire des Belges et de leur patrie. Toutefois, si Ă  l’occasion de ce tour d’horizon, votre intĂ©rĂȘt devait se porter sur l’un ou l’autre Ă©vĂ©nement particulier de cette Ă©popĂ©e, nous vous invitons Ă  approfondir le sujet en cliquant sur le lien ad hoc mentionnĂ© dans la colonne Pour plus d’infos, consultez les pages ». Et, tant qu'Ă  faire, pourquoi ne pas en profiter pour jeter un coup d'oeil Ă  la frise "Les grandes sĂ©quences de l'histoire des Belges" qui vous offre un vaste balayage sur plus de ans d'histoire ... Gaulois et Romains DatesEvĂšnementsPour plus d'infos, consultez les pages -57 DĂ©but de la conquĂȘte de la Gaule Belgique. Bataille de la Sabis et dĂ©faite des Nerviens. Les Aduatiques se rendent. Les Eburons, les Morins et les MĂ©napiens se soumettent. Nos ancĂȘtres, les Gaulois La conquĂȘte de la Gaule Un homme ambitieux Jules CĂ©sar La romanisation Les invasions barbares -52 Coalition gauloise sous le commandement de VercingĂ©torix. Victoire Ă  Gergovie mais dĂ©faite Ă  AlĂ©sia -51 DerniĂšre rĂ©bellion gauloise conduite par Ambiorix. Extermination de la tribu des Eburons -44 Jules CĂ©sar meurt assassinĂ© -27 DĂ©but du rĂšgne d'Auguste 162-167 PremiĂšres invasions des tribus germaniques 406 DĂ©but des grandes invasions barbares Vandales, SuĂšves, Alains, 
 Les MĂ©rovingiens DatesEvĂšnementsPour plus d'infos, consultez les pages 451 Les Francs occupent progressivement la Belgique actuelle et le Nord de la France Les invasions barbares Les Francs La dynastie mĂ©rovingienne Le rĂšgne de Clovis Les rois fainĂ©ants et leurs maires du palais 457 Mort de MĂ©rovĂ©e, fondateur de la dynastie des MĂ©rovingiens 481 Clovis est Ă©levĂ© sur le pavois et devient roi des Francs 496 BaptĂȘme de Clovis et de de ses guerriers 27-11-511 Mort de Clovis et partage de son royaume 570-613 RivalitĂ© entre les reines FrĂ©dĂ©gonde et Brunehaut. Guerre civile 639 DĂ©but de l’ùre des rois fainĂ©ants Les Carolingiens DatesEvĂšnementsPour plus d'infos, consultez les pages 680 PĂ©pin de Herstal devient maire du palais d'Austrasie Les Carolingiens Les invasions normandes 717 Charles Martel devient maire du palais 732 Victoire de Charles Martel Ă  Poitiers contre les Arabes 737 A la mort de Thierry IV, roi mĂ©rovingien, Charles Martel dĂ©cide de ne pas choisir un nouveau roi. Il prend le pouvoir et rĂšgne illĂ©galement jusqu'Ă  sa mort en 741. 741 Carloman et PĂ©pin le Bref succĂšdent Ă  Charles Martel. Ils installent sur le trĂŽne ChildĂ©ric III, dernier roi mĂ©rovingien 751 PĂ©pin convoque Ă  Soissons l'assemblĂ©e des Francs et se fait Ă©lire roi. Le dernier roi mĂ©rovingien est destituĂ©. 754 Naissance de la royautĂ© de droit divin PĂ©pin le Bref est sacrĂ© par le pape Etienne II 768 Mort de PĂ©pin le Bref. Partage du royaume entre ses fils Charles, dit Charlemagne, et Carloman 771 Mort de Carloman. Charlemagne rĂ©unifie le royaume 778 ExpĂ©dition en Espagne contre les Sarrasins. Au retour, l'arriĂšre-garde est attaquĂ©e Ă  Roncevaux 25-12-800 Le pape LĂ©on III sacre Charlemagne empereur romain d'occident 814 Mort de Charlemagne. Son fils Louis le Pieux le DĂ©bonnaire lui succĂšde 820 DĂ©but des invasions normandes Vikings AoĂ»t 843 TraitĂ© de Verdun et partage de l'empire de Charlemagne entre ses 3 petits-fils Lothaire, Charles le Chauve Louis le Germanique La fĂ©odalitĂ© DatesEvĂšnementsPour plus d'infos, consultez les pages 972 Nomination de Notger comme Ă©vĂȘque de LiĂšge Naissance des principautĂ©s belges L'essor des villes au Moyen-Age Les Croisades La fĂ©odalitĂ© La Guerre de Cent Ans en quelques lignes Le ComtĂ© de Flandre du 9e au 14e siĂšcle Le ComtĂ© de Hainaut du 9e au 14e siĂšcle Le ComtĂ© de Louvain et le DuchĂ© de Brabant du 9e au 14e siĂšcle La PrincipautĂ© de LiĂšge du 9e au 14e siĂšcle Les autres principautĂ©s belges au Moyen Age 1095 Le pape Urbain II prĂȘche la Croisade Ă  Clermont 1096 DĂ©part de la PremiĂšre Croisade 1099 Prise de JĂ©rusalem. Naissance des Etats latins d'Orient 18-5-1302 MĂątines brugeoises 11-7-1302 Bataille des Eperons d'Or 1337-1453 Guerre de Cent Ans 1345 Assassinat de Jacques Van Artevelde Ă  Gand 1356 Joyeuse EntrĂ©e du Brabant Jeanne de Brabant et Wenceslas de Luxembourg concĂšdent d'importants privilĂšges aux Brabançons L’Etat bourguignon DatesEvĂšnementsPour plus d'infos, consultez les pages 19-6-1369 Mariage de Marguerite de Maele, hĂ©ritiĂšre du comtĂ© de Flandre, avec Philippe le Hardi, duc de Bourgogne L’Etat bourguignon Le comtĂ© de Flandre du 9e au 14e siĂšcle 27-4-1404 Mort de Philippe le Hardi et avĂšnement de Jean sans Peur 10-9-1419 Jean sans Peur est assassinĂ© par les partisans du futur roi de France Charles VII AvĂšnement de Philippe le Bon 1425 Fondation de l'UniversitĂ© de Louvain 1430 Fondation de l'Ordre de la Toison d'Or par Philippe le Bon 1454 Gutenberg invente l'imprimerie 15-6-1467 Mort de Philippe le Bon et avĂšnement de Charles le TĂ©mĂ©raire 1468 Echec des 600 Franchimontois. Sac de LiĂšge par Charles le TĂ©mĂ©raire 5-1-1477 Mort de Charles le TĂ©mĂ©raire sous les murs de Nancy. Sa fille, Marie de Bourgogne lui succĂšde 19-8-1477 Mariage de Marie de Bourgogne et de Maximilien d'Autriche 27-3-1482 Mort accidentelle de Marie de Bourgogne. Maximilien d'Autriche assure la rĂ©gence. Les premiers Habsbourg DatesEvĂšnementsPour plus d'infos, consultez les pages 1494 Emancipation et avĂšnement de Philippe le Beau Les premiers Habsbourg Charles Quint et son empire RĂ©forme et Contre RĂ©forme 25-9-1506 Mort de Philippe le Beau et dĂ©but de la rĂ©gence de Marguerite d'Autriche 15-1-1515 Charles Quint devient souverain des Pays-Bas 1516 Organisation d'un service international de poste. L'octroi est accordĂ©, sous forme de monopole Ă  la famille Tour et Tassis 1517 Erasme fonde le CollĂšge des Trois Langues Ă  Louvain. Cette institution, en approfondissant l'Ă©tude du grec, du latin et de l'hĂ©breu, permet d'entreprendre une interprĂ©tation plus sĂ»re des Ecritures. 1518 La RĂ©forme est introduite Ă  Anvers sous la forme du luthĂ©ranisme 1519 Charles Quint acquiert des domaines en Autriche et est sacrĂ© empereur 1520 Publication du premier placard de Charles Quint ; condamnation Ă  mort des rĂ©formĂ©s 1543 Le calvinisme arrive aux Pays-Bas 1545-1563 Concile de Trente 1549 L'imprimeur Christophe Plantin s'installe Ă  Anvers 25-10-1555 Abdication de Charles Quint La pĂ©riode espagnole DatesEvĂšnementsPour plus d'infos, consultez les pages 1556 Philippe II rĂšgne sur les Pays-Bas espagnols Le rĂšgne de Philippe II RĂ©forme et Contre RĂ©forme Les archiducs Albert et Isabelle La fin de la pĂ©riode espagnole 25-9-1558 Mort de Charles Quint 1559 Philippe II quitte les Pays-Bas pour l'Espagne. Il nomme sa demi-sƓur, Marguerite de Parme, gouvernante. 1564 DĂ©mission de Granvelle 5-4-1566 Banquet des "Gueux" Ă  Bruxelles 1566 FlambĂ©e iconoclaste des protestants dĂ©butant Ă  Steenvoorde 1567 Envoi du duc d'Albe aux Pays-Bas 5-6-1568 DĂ©capitation d'Egmont et de Hornes 1569 PlanisphĂšre de Mercator Ă  l'usage de la navigation 4-11-1576 Furie espagnole pillage d'Anvers par les troupes espagnoles 1581 FarnĂšse devient gouverneur des Pays-Bas jusqu'en 1592 1584 Assassinat de Guillaume le Taciturne 1598-1621 RĂšgne des Archiducs Albert et Isabelle 1609-1621 TrĂȘve de Douze Ans 30-1-1648 TraitĂ© de MĂŒnster qui ferme l'Escaut aux Belges et qui reconnait l'indĂ©pendance des Provinces-Unies 1695 Bombardement de Bruxelles par les troupes de Louis XIV la Grand-Place est complĂštement dĂ©truite 1705-1711 Guerre en Belgique. Victoire de Marlborough sur les Français La pĂ©riode autrichienne DatesEvĂšnementsPour plus d'infos, consultez les pages 6-3-1714 TraitĂ© de Rastadt. Cession des Pays-Bas aux Habsbourg d'Autriche Le rĂ©gime autrichien La principautĂ© de LiĂšge aux 16e et 17e siĂšcles La rĂ©volution brabançonne La rĂ©volution liĂ©geoise Le mouvement philosophique du 18e siĂšcle Le despotisme Ă©clairĂ© 15-11-1715 TraitĂ© de la BarriĂšre fermeture de l'Escaut 1719 ExĂ©cution d'Anneessens 1722 CrĂ©ation de la Compagnie d'Ostende 20-10-1740 Mort de l'empereur Charles VI. DĂ©but du rĂšgne de l'impĂ©ratrice Marie-ThĂ©rĂšse 15-3-1744 Charles de Lorraine devient gouverneur des Pays-Bas autrichiens 1746-1748 Occupation de la Belgique par Louis XV 1780 Joseph II succĂšde Ă  Marie-ThĂ©rĂšse 18-8-1789 RĂ©volution liĂ©geoise 24-10-1789 RĂ©volution brabançonne 11-1-1790 Proclamation de la RĂ©publique des Etats Belgiques Unis 20-2-1790 Mort de Joseph II auquel succĂšde son frĂšre LĂ©opold II La pĂ©riode française DatesEvĂšnementsPour plus d'infos, consultez les pages 1792 Victoire de l'armĂ©e rĂ©volutionnaire Ă  Jemappes et premiĂšre occupation française La rĂ©volution française L'annexion française L'empire napolĂ©onien 1793 DĂ©faite de l'armĂ©e rĂ©volutionnaire Ă  Neerwinden et restauration autrichienne 1794 Victoire de l'armĂ©e rĂ©volutionnaire Ă  Fleurus 1-10-1795 Annexion de la Belgique, de la principautĂ© de LiĂšge, de Stavelot, de Logne, de Malmedy et du duchĂ© de Bouillon Ă  la RĂ©publique française 1798 Introduction de la conscription et "Guerre des Paysans" 1798 LiĂ©vin Bauwens introduit en Belgique les machines anglaises Ă  filer le coton 9-11-1799 Coup d'Etat de Bonaparte et Ă©tablissement du Consulat 18-6-1815 DĂ©faite de NapolĂ©on Ă  Waterloo La pĂ©riode hollandaise DatesEvĂšnementsPour plus d'infos, consultez les pages 1815 Le CongrĂšs de Vienne incorpore les dĂ©partements belges aux Pays-Bas sous le sceptre de Guillaume 1er. Le rĂ©gime hollandais, tremplin pour l'indĂ©pendance Chronique de la rĂ©volution belge 25-8-1830 ReprĂ©sentation de "La Muette de Portici" Ă  la Monnaie, Ă  Bruxelles, et Ă©meutes aprĂšs le spectacle. 23-27/9/1830 JournĂ©es de Septembre et rĂ©volution belge Retraite hollandaise L’indĂ©pendance DatesEvĂšnementsPour plus d'infos, consultez les pages 4-10-1830 Le gouvernement provisoire proclame l'indĂ©pendance de la Belgique Chronique de la rĂ©volution belge La Constitution belge 27-10-1830 Les troupes hollandaises bombardent Anvers. 7-2-1831 Le CongrĂšs National approuve la Constitution belge 25-2-1831 Le baron Surlet de Chokier prĂȘte serment comme rĂ©gent de Belgique 4-6-1831 Le CongrĂšs National attribue le trĂŽne de Belgique Ă  LĂ©opold de Saxe-Cobourg-Gotha Le rĂšgne de LĂ©opold 1er DatesEvĂšnementsPour plus d'infos, consultez les pages 21-7-1831 Prestation de serment du roi LĂ©opold 1er Le rĂšgne de LĂ©opold 1er Les premiers trains belges en 1835 La Constitution belge 2-12/8/1831 Campagne des Dix Jours les Hollandais envahissent la Belgique 9-8-1832 LĂ©opold 1er Ă©pouse Louise-Marie d'OrlĂ©ans, fille du roi de France Louis-Philippe. 5-5-1835 Inauguration de la premiĂšre ligne de chemin de fer reliant Bruxelles et Malines 29-3-1848 Des ouvriers français envahissent la Belgique aprĂšs le renversement de Louis-Philippe en France. Ils sont repoussĂ©s. 1863 Rachat du pĂ©age de l'Escaut Le rĂšgne de LĂ©opold II DatesEvĂšnementsPour plus d'infos, consultez les pages 17-12-1865 LĂ©opold II prĂȘte le serment constitutionnel Le rĂšgne de LĂ©opold II Le Congo Belge La "guerre scolaire" Les Flamands et les Wallons Du vote censitaire au suffrage universel 1865 LĂ©opold II et Marie-Henriette 1873-1878-1883 PremiĂšres lois linguistiques 1876 CrĂ©ation de l'Association Internationale Africaine 1879 "La loi de malheur" et la "guerre scolaire" 1885 ConfĂ©rence de Berlin et crĂ©ation de l'Etat IndĂ©pendant du Congo 1893 Suffrage universel masculin tempĂ©rĂ© par le vote plural. Le vote devient obligatoire. 1895 LĂ©opold II devient souverain de l'Etat indĂ©pendant du Congo 1898 Loi d'Ă©quivalence linguistique 2/10/1900 Mariage du futur Roi Albert 1er et d'Elisabeth de BaviĂšre 1908 Le Congo devient une colonie belge Le rĂšgne d’Albert 1er DatesEvĂšnementsPour plus d'infos, consultez les pages 12/12/1909 Albert 1er prĂȘte le serment constitutionnel Le rĂšgne d'Albert 1er La PremiĂšre Guerre mondiale La Belgique dans la PremiĂšre Guerre mondiale Les Flamands et les Wallons Du vote censitaire au suffrage universel L'Ă©volution sociale 19/05/1914 Loi sur l'instruction obligatoire jusqu'Ă  14 ans 28/06/1914 Attentat de Sarajevo l'archiduc François-Ferdinand est assassinĂ© 4/08/1914 L'Allemagne envahit la Belgique. La Grande-Bretagne dĂ©clare la guerre Ă  l'Allemagne 28/10/1914 Ouverture des Ă©cluses de l'Yser et inondation du champ de bataille 22/04/1915 PremiĂšre utilisation des gaz asphyxiants Ă  Ypres 11/11/1918 Signature de l'armistice avec les Allemands 22/11/1918 Retour triomphal des souverains Ă  Bruxelles. 1919 Premier scrutin au suffrage universel avant la modification de la Constitution de 1921 28/06/1919 Signature du TraitĂ© de Versailles 10/01/1920 Incorporation au territoire belge du district neutre de Moresnet ainsi que des cercles d'Eupen et de Malmedy. 1921 Suffrage universel masculin Ă  21 ans. 10/11/1926 LĂ©opold III Ă©pouse Astrid de SuĂšde 1930-1934 "Grande Crise" Ă©conomique 17/02/1934 Mort du roi Albert 1er Le rĂšgne de LĂ©opold III DatesEvĂšnementsPour plus d'infos, consultez les pages 23/02/1934 LĂ©opold III monte sur le trĂŽne de Belgique Le rĂšgne de LĂ©opold III La politique Ă©trangĂšre de la Belgique L'Allemagne hitlĂ©rienne La DeuxiĂšme Guerre mondiale La Belgique dans la DeuxiĂšme Guerre mondiale 29/08/1935 Mort de la reine Astrid Ă  KĂŒssnacht en Suisse 10/05/1940 L'Allemagne envahit la Belgique 28/05/1940 Capitulation sans conditions signĂ©e par LĂ©opold III 18/06/1940 Appel du gĂ©nĂ©ral De Gaulle lancĂ© depuis Londres 11/09/1941 Le Roi LĂ©opold III Ă©pouse religieusement, et dans le plus grand secret, Lilian Baels 19/11/1940 Entretien entre le roi LĂ©opold III et Hitler Ă  Berchtesgaden 7/12/1941 Agression japonaise contre Pearl Harbour et entrĂ©e en guerre des Etats-Unis 6/06/1944 DĂ©barquement des AlliĂ©s en Normandie 7/06/1944 Le roi LĂ©opold III est dĂ©portĂ© en Allemagne 3/09/1944 LibĂ©ration de Bruxelles 20/09/1944 Le prince Charles est Ă©lu RĂ©gent du Royaume 16/12/1944 DĂ©but de l'offensive von Rundstedt 7/05/1945 LibĂ©ration de LĂ©opold III par les AmĂ©ricains et dĂ©but de la Question Royale 8/05/1945 Fin de la DeuxiĂšme Guerre mondiale 12/03/1950 Consultation populaire sur le retour du Roi 11/08/1950 Baudouin prĂȘte le serment constitutionnel en tant que Prince Royal 16/07/1951 Abdication du roi LĂ©opold III en faveur de son fils Baudouin 1er Ă  la suite de la Question Royale Le rĂšgne de Baudouin 1er DatesEvĂšnementsPour plus d'infos, consultez les pages 16/07/1951 Baudouin 1er prĂȘte le serment constitutionnel en tant que roi des Belges Le rĂšgne de Baudouin 1er Les Flamands et les Wallons Le Congo Belge La politique Ă©trangĂšre de la Belgique 1958 PremiĂšre exposition universelle d'aprĂšs-guerre Ă  Bruxelles 1959 Le Pacte scolaire met fin Ă  la "guerre scolaire" 2/07/1959 Le prince Albert, futur roi Albert II, Ă©pouse Paola Ruffo di Calabria 15/4/1960 Naissance du prince Philipe, futur roi Philippe 1er 30/06/1960 IndĂ©pendance du Congo 15/12/1960 Baudouin 1er Ă©pouse Fabiola de Mora y Aragon 1960-61 Grande grĂšve contre la loi unique 1962 Fixation par la loi de la frontiĂšre linguistique 1968 Affaire de Louvain "splitsing" de l'UniversitĂ© catholique 1970-1988 Temps de rĂ©formes constitutionnelles de la Belgique crĂ©ation des rĂ©gions et communautĂ©s 30/03/1990 Le Roi Baudouin 1er refuse de promulguer la loi sur la dĂ©pĂ©nalisation de l'avortement, en conflit avec sa conscience. Il sera mis dans l'impossibilitĂ© de rĂ©gner pendant 2 jours. 31/07/1993 Mort du roi Baudouin 1er Le rĂšgne d’Albert II DatesEvĂšnementsPour plus d'infos, consultez les pages 9/08/1993 Albert II prĂȘte le serment constitutionnel Le rĂšgne d'Albert II Les rouages du fĂ©dĂ©ralisme Les Flamands et les Wallons 1994 La Belgique est un Etat fĂ©dĂ©ral 1999 RĂ©vĂ©lation de l'existence de Delphine BoĂ«l, fille naturelle d'Albert II 4/12/1999 Mariage du prince Philippe et de Mathilde d'Udekem d'Acoz 25/10/2001 Naissance de la princesse Elisabeth, future reine des Belges aprĂšs son pĂšre 1/01/2002 L'euro remplace le franc belge 2010 PoussĂ©e de la N-VA, parti nationaliste flamand 2010-2011 Longue crise gouvernementale de 541 jours 13/7/2012 Scission de l'arrondissement Ă©lectoral de BHV Bruxelles-Hal-Vilvorde 9/7/2013 Adoption de la 6e rĂ©forme de l'Etat 21/7/2013 Albert II abdique pour raisons de santĂ© Le rĂšgne de Philippe 1er DatesEvĂšnementsPour plus d'infos, consultez les pages 21/7/2013 Philippe 1er prĂȘte le serment constitutionnel Le rĂšgne de Philippe 1er

Linvasion des étrangers nomades : Keftiou, Hébreux, Philistins, etc. - L'Exode - Le retour en scÚne des pharaons égyptiens par Claude Vandersleyen Résumé Il s'agit d'éclairer le

Je partage avec vous les documents que j’ai rĂ©alisĂ©s il s’agit des leçons d’histoire qui accompagnent les documents du fichier de Loustics. Depuis la rentrĂ©e, je l’utilise avec ma classe de CM1 article ICI. Ce fichier et toutes les activitĂ©s associĂ©es correspondent parfaitement au profil de ma classe interactivitĂ©, contenu simple, petites activitĂ©s ludiques et diffĂ©renciation pour les plus fragiles
. J’ai toutefois souhaitĂ© garder la prĂ©sentation de mes leçons cf la feuille jaune sur le cahier un titre une question une frise chronologique une image pour comprendre un personnage historique le vocabulaire associĂ© Ces leçons sont proposĂ©es en version Ă©conomique, c’est Ă  dire qu’il y a 2 leçons en une seule page
. Les documents arriveront au fur et Ă  mesure dans cet article. Le rĂ©capitulatif est prĂ©sentĂ© ci-dessous ThĂšme 1 Et avant la France ? leçons du chapitre 2 Les grands mouvements et dĂ©placements de population Pourquoi y a t-il eu des invasions barbares au VĂšme siĂšcle ? Pourquoi y a-t-il eu de nouvelles invasions au VIIIĂšme et IXĂšme siĂšcles ? Leçons du chapitre 3 Clovis, Charlemagne
. Quelles sont les grandes dynasties du Moyen Age ? Qui est l’Empereur Charlemagne ? Quelles sont les grandes rĂ©formes de Charlemagne ? ThĂšme 2 Le temps des rois Leçons du chapitre 1 Louis IX le roi chrĂ©tien au XIIIĂšme siĂšcle Pourquoi y a t-il eu plusieurs croisades ? Qui est Louis IX dit Saint Louis ? Quels sont les Ă©changes entre l’Orient et l’Occident ? Leçons du chapitre 2 François 1er, protecteur des Arts et des lettres Ă  la Renaissance Le temps des grandes explorations La Renaissance en Europe François 1er, roi de France Leçons du chapitre 3 Henri IV et l’Edit de Nantes Les religions sous la Renaissance Le roi Henri IV La Saint BarthĂ©lĂ©my Leçons du chapitre 4 Louis XIV, le Roi-Soleil Ă  Versailles Comment Louis XiV est devenu roi ? Comment vit le roi et sa cour ? Comment vit le peuple sous Louis XIV ? ThĂšme 3 Le temps de la rĂ©volution et de l’Empire Leçons du chapitre 1 Louis XVI, la RĂ©volution, la Nation Le petit plus dans ma classe J’ai amĂ©nagĂ© des coins dans ma classe. Mes Ă©lĂšves ont un ordinateur Ă  disposition avec un casque. Ils peuvent refaire de façon totalement autonome l’ensemble du parcours du chapitre du fichier diaporama, frise, exercices et mĂȘme la leçon. Cet atelier plait beaucoup beaucoup. A bientĂŽt le CM2 arrive le 15 octobre.. On en reparle !
LEgypte au temps de Moïse: L'invasion des étrangers nomades : Keftiou, Hébreux, Philistins, etc. - L'Exode - Le retour en scÚne des pharaons égyptiens 190 by
PubliĂ© le jeudi 22 septembre 2005 mis Ă  jour le lundi 04 février 2008 par Nico, Francois DaumasLe Nouvel Empire est la pĂ©riode la plus prospĂšre de toute l'histoire Ă©gyptienne. C'est une pĂ©riode de raffinement et d'Ă©volutions qui s'Ă©tale sur un peu plus de cinq siĂšcles. Datation Le Nouvel Empire s'Ă©tend approximativement de ~1552 av Ă  ~1080 av Dynasties Le Nouvel Empire est formĂ© de trois dynasties la XVIIIĂšme, la XIXĂšme et la XXĂšme. Pour en savoir plus, voir l'article Listes des pharaons Capitale Durant cette pĂ©riode, la capitale fut Ă  ThĂšbes avant d'ĂȘtre dĂ©localisĂ©e Ă  Pi-RamsĂšs par RamsĂšs II pour des raisons stratĂ©giques. Faits marquants Le Nouvel Empire est la pĂ©riode la plus connue de l'histoire Ă©gyptienne. De grands noms, nous en est parvenus tel RamsĂšs 2, Hatchepsout, Akhenaton, Thoutmosis 3 ou encore, pour ne citer que ceux-ci, le jeune Toutankhamon. Comme fait marquant, nous pouvons citer le premier traitĂ© de paix de l'histoire signĂ© entre l'Egypte et les Hittites, la rĂ©volution pseudo monothĂ©iste armĂ©nienne ou encore les grandes conquĂȘtes du NapolĂ©on Ă©gyptien Thoutmosis 3 ». PĂ©riodes adjacentes La pĂ©riode prĂ©cĂ©dent le Nouvel Empire est appelĂ©e la deuxiĂšme pĂ©riode intermĂ©diaire et la pĂ©riode la succĂ©dant est appelĂ©e la troisiĂšme pĂ©riode intermĂ©diaire. Histoire L'histoire de la XVIIIe dynastie, durant deux siĂšcles, n'est que celle d'une sĂ©rie de triomphes, aboutissant Ă  l'apogĂ©e de la puissance et de la civilisation Ă©gyptiennes . Thoutmosis Ier, aprĂšs plusieurs campagnes en Asie, franchit l'Euphrate, sans doute non loin de KarkĂ©mich l'actuelle Djerablous et dresse une stĂšle. La mort de Thoutmosis II et le rĂšgne d'une femme, Hatshepsout, sans interrompre tout Ă  fait les exploits militaires, les laissent en sommeil. Mais la reine, reprenant une antique tradition, organise au pays d'OponĂ© une expĂ©dition fructueuse qui rapporte Ă  ThĂšbes or, ivoire, bois prĂ©cieux, plumes d'autruches, peaux et arbres Ă  encens. À la mort de la reine, un infant royal, choisi depuis son enfance par le dieu Amon pour ĂȘtre roi, mais maintenu dans l'Ombre par la despotique souveraine, sa tante, Thoutmosis III, efface le nom abhorrĂ© de celle-ci sur les monuments qu'elle avait construits, ou mĂȘme les dĂ©truit et les remplace par les siens. DouĂ© d'une volontĂ© et d'une tĂ©nacitĂ© rares, il reprend les opĂ©rations militaires au Soudan et atteint la quatriĂšme cataracte, en annexant pratiquement le pays. En Asie, au cours de dix-sept campagnes, il remporte une victoire Ă  Meggido, et, le terrain libĂ©rĂ©, remonte peu Ă  peu vers le nord, occupe sur la cĂŽte Byblos et Simyra, pour se ravitailler par mer, et finalement franchit l'Euphrate et retrouve la stĂšle Ă©rigĂ©e par son aĂŻeul, Thoutmosis Ier. Il organise ces pays en protectorats, en laissant le pouvoir Ă  ceux des habitants qui lui sont fidĂšles, et amĂšne en Égypte les jeunes princes, qui gouverneront un jour, Ă  la fois comme otages et pour les former aux moeurs et Ă  l'administration Ă©gyptiennes. Ses successeurs AmĂ©nophis II et Thoutmosis IV se contentent de faire des parades militaires destinĂ©es Ă  intimider les peuples qui auraient des vellĂ©itĂ©s de rĂ©bellion, mais ils n'agrandissent pas davantage cet immense empire. L'Égypte en contact, au nord-est, avec le royaume du Mitanni, entre Khabour et Euphrate, avec les Hittites, dont le centre est en Asie Mineure, avec la GrĂšce achĂ©enne et les Ăźles de la MĂ©diterranĂ©e, voit affluer Ă  ThĂšbes les tributs de ses vassaux et les cadeaux des pays amis. Avec la foule bigarrĂ©e et chatoyante des Ă©trangers apportant leurs produits exotiques arrivent aussi les idĂ©es et les oeuvres littĂ©raires des peuples voisins. Les rois font des mariages politiques avec des princesses mitanniennes ou hittites qui apportent dans leur harem des conceptions nouvelles. La langue diplomatique du Proche-Orient est l'akkadien, Ă©crit en signes cunĂ©iformes sur des tablettes d'argile. Pour l'apprendre, les scribes Ă©gyptiens ont lu des Ă©popĂ©es babyloniennes, retrouvĂ©es Ă  Tell el-Amarna. Bref, ThĂšbes est devenue une capitale cosmopolite, d'une richesse fabuleuse et oĂč se brassent les affaires et les idĂ©es. À ce moment monte sur le trĂŽne un jeune monarque raffinĂ© et voluptueux AmĂ©nophis III. TrĂšs Ă©pris de la reine Tiyi, dont la forte personnalitĂ© se devine derriĂšre bien des Ă©vĂ©nements, il renonce au bout de quelques annĂ©es aux dĂ©monstrations militaires que ses prĂ©dĂ©cesseurs faisaient en Asie ou au Soudan, et bientĂŽt mĂȘme aux exercices violents de la chasse au lion ou au taureau sauvage. PrĂ©occupĂ© de questions thĂ©ologiques ou esthĂ©tiques, il imprime Ă  l'art de son Ă©poque la marque d'une maturitĂ© et d'une finesse psychologique qui ne seront plus jamais atteintes et demeurent un des sommets de l'expression artistique humaine. Dans son palais de Malgatta, Ă  ThĂšbes, sur la rive ouest, prĂšs de la nĂ©cropole, il mĂšne une vie raffinĂ©e que partage le fils qu'il a eu de Tiyi, AmĂ©nophis IV. AmĂ©nophis IV Akhenaton Ce dernier eut une Ă©pouse probablement aussi extraordinaire que sa mĂšre, la reine Tiyi. De son nom, La Belle est venue», Nefertiti, on a voulu conclure que c'Ă©tait une princesse mitannienne. C'est possible, mais on ne peut l'affirmer. Elle partageait avec son mari la conviction que le divin, d'un caractĂšre unique, ne se peut pas reprĂ©senter sur terre. Il est symbolisĂ© seulement par le disque solaire d'aton, auquel le roi construit un temple grandiose Ă  l'est de celui d'amon, Ă  Karnak. AmĂ©nophis IV, du reste, a connu par une expĂ©rience religieuse ce dieu dont il est le fils, l'image et le lieutenant en Égypte. Le disque du soleil n'est-il pas immĂ©diatement sensible Ă  toute l'humanitĂ©, Asiatiques, Soudanais, Égyptiens? N'est-il pas capable, mieux que les armes et la violence, de cimenter l'unitĂ© du vaste empire Ă©gyptien? Mais l'Ombre du temple d'aton s'Ă©tendait sur le domaine du dieu dynastique, Amon, qui avait fait la grandeur de l'Égypte et qui, deux fois dĂ©jĂ , avait chassĂ© l'Ă©tranger. Le sacerdoce d'amon rĂ©agit vigoureusement. Ce fut bientĂŽt la guerre ouverte. Le roi voulut anĂ©antir Amon, fit marteler son nom, c'est-Ă -dire tenta de faire disparaĂźtre son ĂȘtre mĂȘme, partout oĂč on pouvait le lire, et dĂ©truisit ses statues, les supports mĂȘme de son existence. Finalement, prenant le nom d'akhenaton, celui qui plaĂźt Ă  Aton», il dĂ©cida d'aller construire une nouvelle capitale approximativement au milieu d'une ligne allant de la quatriĂšme cataracte Ă  l'Euphrate, au nombril de l'Empire. Au Soudan et en Asie, il fonda deux villes dĂ©diĂ©es aussi Ă  Aton, et une vie brillante commença Ă  Akhetaton, l'Horizon du disque», l'actuel Tell el-Amarna. HĂ©las! Les Hittites, vainqueurs du Mitanni, fondaient des royaumes vassaux en Syrie. Un certain nombre de courtisans trahirent probablement la cause du dieu et du roi, qu'ils avaient adoptĂ©e par pure convoitise. Il fallut revenir Ă  Amon qui, Ă  ThĂšbes, avait reconstituĂ© secrĂštement sa puissance. Les successeurs du souverain hĂ©rĂ©tique moururent trĂšs jeunes, peut-ĂȘtre aidĂ©s par des politiques avisĂ©s, et un gĂ©nĂ©ral, Horemheb, s'empara du trĂŽne, enraya en Asie l'Ă©miettement de l'Empire et prĂ©para l'avĂšnement de la XIXe dynastie, Ă  l'extrĂȘme fin du XIVe siĂšcle. Ainsi disparaĂźt, dans un crĂ©puscule encore brillant, la glorieuse famille des Thoutmosides, qui donna Ă  l'Égypte le siĂšcle d'amĂ©nophis III, comme la GrĂšce eut celui de PĂ©riclĂšs et Rome celui d'auguste. Durant les deux dynasties suivantes XIIIe et XIIe s. av. le niveau de la culture demeure Ă©levĂ© et l'art produit toujours des chefs-d'oeuvre, l'Empire, partiellement reconstituĂ©, demeure puissant; les pharaons guerroient et se font creuser de somptueux tombeaux dans la vallĂ©e des Rois. Mais deux faits importants demeurent des signes avant-coureurs de l'Orage. l'un est d'ordre extĂ©rieur Ă  deux reprises, sous Minephtah d'abord dernier quart du XIIIe s., puis sous RamsĂšs III premiĂšre partie du XIIe s., les Peuples de la mer, confĂ©dĂ©rĂ©s, fuyant une nouvelle poussĂ©e indo-europĂ©enne venue du nord, attaquent l'Égypte . Celle-ci a encore la force de les repousser, mais l'avertissement est sĂ©rieux, car la lutte fut dure et presque indĂ©cise. Pour peu que l'assaillant eĂ»t Ă©tĂ© organisĂ© et, grĂące Ă  des arriĂšres et des rĂ©serves, ait pu revenir Ă  la charge, l'Égypte eĂ»t Ă©tĂ© envahie. Le second fait est d'ailleurs plus grave encore, parce qu'il tĂ©moigne d'une dĂ©composition intĂ©rieure. Le dernier des grands rois d'Égypte, RamsĂšs III, aprĂšs un rĂšgne de trente ans, se vit en butte Ă  une conspiration ourdie dans son harem. Les juges mĂȘme se laissent corrompre par des comparses et se retrouvent au banc des accusĂ©s. Quel qu'ait Ă©tĂ© l'effet produit par les condamnations capitales, un pareil scandale trahit une sociĂ©tĂ© ruinĂ©e du dedans, par le refus de subordonner au bien public les intĂ©rĂȘts particuliers. C'est un indice Ă©vident de dĂ©gradation. La moralitĂ© individuelle n'est guĂšre meilleure. Peu de temps aprĂšs le drame de la succession royale, un prĂȘtre d'ÉlĂ©phantine rĂ©ussit Ă  voler les biens du dieu, Ă  suborner des femmes mariĂ©es, Ă  mettre Ă  mal ceux qui tentaient de le ramener au devoir. Traduit en jugement, il dut ĂȘtre acquittĂ©, car on le retrouve plus tard nanti de grades supĂ©rieurs Ă  ceux qu'il possĂ©dait au temps du procĂšs. Pourtant aprĂšs l'Ă©pisode d'amarna, la renaissance ramesside avait Ă©tĂ© brillante. SĂ©thos Ier avait repris les armes en Palestine. RamsĂšs II avait mĂȘme tentĂ© de reconstituer l'empire de Thoutmosis III et avait remportĂ© sur les Hittites, durant la cinquiĂšme annĂ©e de son rĂšgne, prĂšs de Qadech, sur l'Oronte, une victoire que les Ă©crivains du temps chantĂšrent en un poĂšme Ă©pique. Comprenant que les Ă©vĂ©nements internationaux de l'asie antĂ©rieure jouaient un rĂŽle de plus en plus important, il transporta sa capitale Ă  l'est du Delta, Ă  Pi-RamsĂšs, que construisirent en partie les HĂ©breux installĂ©s dans les parages. Peu Ă  peu cependant, il substitua la diplomatie Ă  la guerre et, quatorze ans aprĂšs la bataille de Qadech, il signait avec Hattousilis, roi des Hittites, un traitĂ© cĂ©lĂšbre dont le texte nous est parvenu en Ă©gyptien et en akkadien, et en 1264, il alla mĂȘme jusqu'Ă  Ă©pouser une princesse hittite. En rĂ©alitĂ©, Égyptiens et Hittites, inquiets de la puissance croissante des Assyriens, qui avaient conquis le royaume de Mitanni, essayĂšrent d'enrayer les progrĂšs des terribles conquĂ©rants mĂ©sopotamiens, et ils y rĂ©ussirent durant de longues annĂ©es par leur entente. Seuls, les Peuples de la mer, sous la conduite d'un Libyen, firent courir un sĂ©rieux danger Ă  l'Égypte, oĂč rĂ©gnait le fils de RamsĂšs II, Minephtah. Ce dernier les battit et complĂ©ta par une campagne en Asie sa conquĂȘte des confins libyques. Il mentionne Ă  ce propos l'anĂ©antissement d'IsraĂ«l, qui doit reprĂ©senter ici quelque clan en marche dans le dĂ©sert, au temps de l'Exode. Point curieux Ă  noter, la victoire du roi sur ses ennemis est expressĂ©ment attribuĂ©e par le rĂ©dacteur Ă©gyptien Ă  la conduite orthodoxe de Minephtah Ă  l'Ă©gard des dieux, qui le jugent. C'est le point de vue qu'adopteront plus tard les historiographes bibliques. La XIXe dynastie finit dans l'anarchie, mais un souverain Ă©nergique, Setnakht, puis son fils RamsĂšs III, rĂ©tablirent la situation. Peu de temps aprĂšs, ce fut le retour des terribles Peuples de la mer. l'invasion est racontĂ©e sur le mur extĂ©rieur du grand temple de Medinet-Habou. Les successeurs de RamsĂšs III, Ă©blouis par la gloire de leur prĂ©dĂ©cesseur RamsĂšs II et par son interminable rĂšgne, prirent son nom pour l'imiter. Mais l'irrĂ©mĂ©diable dĂ©cadence se poursuit et les huit RamsĂšs qui lui succĂ©dĂšrent ne surent pas remĂ©dier au vieillissement de la sociĂ©tĂ© de leur temps. Les fonctionnaires corrompus volent la paye en nature des ouvriers de la nĂ©cropole royale. Des grĂšves s'ensuivent, qui affaiblissent le systĂšme social. Le petit peuple affamĂ© par les malversations des supĂ©rieurs pille les tombes royales. Les enquĂȘtes, les procĂšs, les chĂątiments, rien ne peut arrĂȘter les mĂ©faits des gens qui ont faim. C'est vraiment, Ă  la fin du IIe millĂ©naire, le terme de l'Égypte conquĂ©rante et impĂ©riale. Elle ne rĂ©gnera ni ne rayonnera plus vraiment hors de ses frontiĂšres. HĂ©ritiĂšre d'un passĂ© prestigieux, elle entre dans ce qu'on appelle la basse Ă©poque avec une aurĂ©ole de gloire, elle jouera encore un rĂŽle international, tant que durera son indĂ©pendance, mais politiquement elle ne rĂ©gira plus le monde. l'une des causes de cet abĂątardissement doit ĂȘtre cherchĂ©e dans l'enrichissement considĂ©rable du sacerdoce d'amon. Les valeurs matĂ©rielles, or, mĂ©taux prĂ©cieux ou rares, mobilier, esclaves et surtout immenses domaines fonciers, prĂ©occupĂšrent finalement le clergĂ© au point de lui faire perdre le sens de ses responsabilitĂ©s spirituelles. Le niveau moral personnel des prĂȘtres baissa, et le premier prophĂšte d'amon s'empara en fait du pouvoir politique pour devenir maĂźtre des biens de l'État, avant mĂȘme de prendre officiellement la titulature royale au temps d'HĂ©rihor et de Pinedjem. À ce moment pourtant, le bilan de la civilisation Ă©gyptienne est extraordinaire. La structure politique avait créé une stabilitĂ© sans Ă©gale le roi dieu, fils du Dieu crĂ©ateur, a reçu l'empire universel sur la crĂ©ation de par son droit d'hĂ©ritage. Il est maĂźtre du monde de jure et doit le devenir de facto. Mais il a le devoir, aussi, de rendre compte Ă  son pĂšre de son gouvernement. Ce dernier vit essentiellement de MaĂąt, vĂ©ritĂ©, justice, norme mĂȘme du monde, sans laquelle il ne saurait exister. Si le roi ne lui prĂ©sente pas MaĂąt, le Dieu le juge. Placer Ă  la tĂȘte de la citĂ© les philosophes face Ă  leurs responsabilitĂ©s Ă©ternelles, n'est-ce pas lĂ  une sorte de prĂ©figuration de la solution platonicienne au problĂšme politique? d'ailleurs, la civilisation va de pair avec ces hautes conceptions sociales. Amon est un dieu unique pour les prĂȘtres. Le divin ne saurait ĂȘtre divisĂ©. Il protĂšge le faible contre le fort. Il exige la justice, Ă  l'instar d'Osiris, de celui qui dĂ©sire arriver Ă  la vie bienheureuse de la Ville d'Ă©ternitĂ©. Les sages composent d'admirables manuels, non seulement de morale, mais mĂȘme de vie intĂ©rieure. Ils y recommandent, pour atteindre Dieu, le silence et le dĂ©pouillement. Les fonctionnaires se vantent, dans leurs inscriptions biographiques, d'avoir respectĂ© ces rĂšgles, auxquelles on les avait initiĂ©s, sans doute dans la Maison de Vie, et d'avoir suivi leur conscience, le dieu qui est dans l'homme. Akhenaton a mĂȘme proclamĂ© l'Ă©galitĂ© des hommes de toutes races et de toutes couleurs et conçu un vĂ©ritable humanisme. l'art, qui veut exprimer l'Ă©ternel et le mystĂšre mĂȘme du monde et de Dieu dans l'architecture, la finesse des sentiments et des idĂ©es dans la sculpture et la peinture, nous Ă©meut et nous charme encore. C'est qu'il a tentĂ© ces entreprises grandioses avec un sens inĂ©galĂ© de la perfection qui apparente les productions du temps d'amĂ©nophis III et mĂȘme d'amĂ©nophis IV aux plus grands chefs-d'oeuvre. Il en va de mĂȘme pour la littĂ©rature. Le roman, mĂȘme merveilleux, se pare de fines descriptions de la vie quotidienne et explique les faits et gestes des hĂ©ros par leur psychologie. Les historiographes des annales royales notent les faits Ă  la gloire du souverain avec une exactitude un peu sĂšche, mais les poĂštes de cour crĂ©ent de vĂ©ritables poĂšmes Ă©piques pour une bataille comme celle de Qadech. La poĂ©sie lyrique devient plus personnelle, et des chants d'amour accompagnĂ©s de musique divertissent, lors des banquets, des convives qui apprĂ©cient non seulement le luxe mais aussi les choses de l'esprit. On compose pour l'Ă©ducation des fonctionnaires des recueils de morceaux choisis qui nous ont conservĂ© quelques belles pages d'oeuvres aujourd'hui perdues. Des hymnes aux dieux exposent, au moyen d'images, toute une thĂ©ologie approfondie, et le chant que composa, pour Aton, le roi Akhenaton est un des grands textes de la littĂ©rature religieuse. Les Enseignements moraux sont devenus de vĂ©ritables guides spirituels. Le texte de cet article provient du CD-ROM EncyclopĂŠdia Universalis version 7 parue en 2001. Livre: Livre La mĂ©decine au temps des hĂ©breux de Halioua (Bruno), commander et acheter le livre La mĂ©decine au temps des hĂ©breux en livraison rapide, et aussi des Passer au contenu AccueilAgendaYouTubeAudioLivresContact LA VRAIE HISTOIRE DE LA PALESTINE Voici l’histoire rĂ©elle de ce que fut le territoire appelĂ© aujourd’hui IsraĂ«l par les uns et Palestine par les autres. Elle se base sur les faits historiques tels qu’ils ont Ă©tĂ© Ă©crit au cours des siĂšcles par les historiens, les voyageurs qui traversĂšrent le pays, ou les reprĂ©sentants arabes eux mĂȘmes dans leurs lire et Ă  faire lire, alors que toutes les nations grand signe des temps selon Zacharie se liguent contre IsraĂ«l afin de diviser le territoire du pays et du peuple ne remplacera jamais la vĂ©ritĂ© . LES FAUSSES » RACINES ANCIENNES Les supporteurs de la » cause palestinienne » scandent Ă  tour de bras que les Arabes » palestiniens » vivent depuis » des milliers d’annĂ©es en » Palestine . Des Arabes cĂŽtoient des Juifs dans cette rĂ©gion depuis des milliers d’annĂ©es, ceci est vrai. Toutefois, ils n’ont jamais vĂ©cu en Terre d’IsraĂ«l elle-mĂȘme, ils Ă©taient Ă©tablis au sud et Ă  l’est. Les Arabes en question sont les NabatĂ©ens, une ancienne nation de chameliers-marchands. Ces Arabes sont originaires de l’Arabie du Nord. Ils Ă©migrĂšrent vers le territoire d’Édom l’actuel dĂ©sert du NĂ©guev 350 ans notre Ăšre. Leur mĂ©tropole fut PĂ©tra, l’ancienne capitale des Édomites situĂ©e Ă  Ă©gale distance entre la Mer Morte et le Golfe d’Aqaba. Peu Ă  peu le NĂ©guev fut connu sous le nom de NabatĂšne. GrĂące Ă  leurs caravanes allant d’un oasis Ă  l’autre, ses habitants Ă©tendirent rapidement leur influence Ă©conomique dans le SinaĂŻ, l’est de la Jordanie actuelle, le sud de la Syrie actuelle et le nord-ouest de l’Arabie. Voici une carte de la civilisation nabatĂ©enne prenez en compte que la partie en rouge ne correspond pas nĂ©cessairement Ă  la rĂ©gion habitĂ©e par les NabatĂ©ens, mais plutĂŽt au centre de leurs activitĂ©s commerciales. La prochaine carte reprĂ©sente les routes commerciales terrestres des NabatĂ©ens. Bien que leurs caravanes traversaient frĂ©quemment la Terre d’IsraĂ«l, celle-ci Ă©tait habitĂ©e par les Juifs et les Samaritains. Au cours de la guerre des Juifs contre les HellĂ©niques en 166-142 av. Juifs et NabatĂ©ens furent alliĂ©s. Le royaume nabatĂ©en pris fin en l’an 106 lorsque la NabatĂšne est conquise par les Romains qui en font une province de leur empire. Pendant les 2e, 3e et 4e siĂšcles, les NabatĂ©ens se convertirent au christianisme. Au cours de leur histoire, les NabatĂ©ens ne remplacĂšrent jamais les Juifs en tant qu’habitants de la Terre d’IsraĂ«l, mais ils coexistĂšrent Ă  cĂŽtĂ© d’eux sur un territoire distinct. Voici d’autres cartes de la province romaine d’Arabie Comme visible sur les cartes, les NabatĂ©ens ne s’établirent pas Ă  l’ouest du Jourdain. Ils s’installĂšrent toutefois Ă  l’est du Jourdain et de la Mer Morte. Les Juifs attaquĂšrent les NabatĂ©ens vivant en PĂ©rĂ©e et en Moab en 90 av. et en convertirent de force beaucoup au JudaĂŻsme. En 32-31 av. les Juifs attaquĂšrent encore les NabatĂ©ens, cette fois en DĂ©capole et en Ammon. Les Arabes » palestiniens » ne sont donc pas des habitants millĂ©naires de la Palestine ». LA CONQUÊTE ARABO-MUSULMANE Les Arabes, dans le contexte des conquĂȘtes islamiques, s’emparĂšrent de la Terre d’IsraĂ«l en 638, la spoliant de leurs habitants Juifs et chrĂ©tiens. Beaucoup de sources dont plusieurs arabes confirment le fait que la Terre d’IsraĂ«l Ă©tait encore judĂ©o-chrĂ©tienne par la population et la culture malgrĂ© la diaspora juive et la domination islamique – L’historien James Parker a Ă©crit » Pendant le premier siĂšcle aprĂšs la conquĂȘte arabe [640-740], le Calife et les gouverneurs de la Syrie et de la Terre [Sainte] ont rĂ©gnĂ© entiĂšrement sur des sujets chrĂ©tiens et juifs. Mis Ă  part des BĂ©douins lors des premiers jours [du rĂšgne arabe], les seuls Arabes Ă  l’ouest du Jourdain Ă©taient les garnisons. – En 985 l’auteur arabe Muqaddasi s’est plaint qu’ » Ă  JĂ©rusalem la grande majoritĂ© de la population est juive , et dit que » la mosquĂ©e est vide des adorateurs
 . Quoique les Arabes aient rĂ©gnĂ© sur la Terre d’IsraĂ«l de 638 Ă  1099, ils ne sont jamais devenus la majoritĂ© de la population. La plupart des habitants Ă©taient des chrĂ©tiens assyriens et armĂ©niens et des Juifs.. Tout le monde conviendra que les Arabes ne prospĂ©rĂšrent pas plus pendant la pĂ©riode des croisades allant de 1099 Ă  1289. L’ÈRE OTTOMANE La seconde pĂ©riode de rĂšgne islamique est la seule qui reste aux Musulmans qui veulent affirmer qu’une grande nation arabo-musulmane existait en Terre Sainte avant que les Juifs viennent recrĂ©er leur État. Voyons voir si les Juifs s’emparĂšrent d’une » contrĂ©e bien Ă©tablie, peuplĂ©e et verdoyante » en retournant en Terre d’IsraĂ«l comme les Arabes l’affirment de nos jours. Tous les rĂ©cits de voyage et rapports sur la Terre d’IsraĂ«l de cette Ă©poque attestent au contraire d’une rĂ©gion vide de l’Empire ottoman. Voici ce que plusieurs personnes ayant voyagĂ© dans cette rĂ©gion on constatĂ© – Ibn Khaldun, un des historiens arabes les plus crĂ©dibles, a Ă©crit en 1377 » La souverainetĂ© juive sur cette terre s’est prolongĂ©e sur 1 400 ans
 C’est les Juifs qui ont implantĂ© la culture et les coutumes en s’y Ă©tant installĂ© de maniĂšre permanente . AprĂšs 519 ans non consĂ©cutifs de domination musulmane sur la Terre d’IsraĂ«l, Ibn Khaldun a certifiĂ© que la culture et les traditions juives Ă©taient encore dominantes. – Edouard Webbe en 1590 » Il n’y a rien Ă  JĂ©rusalem mis Ă  part des vieux murs . – Henry Maundrell en 1697 Nazareth, » un village minuscule et sans importance , JĂ©richo, » une bourgade minable et sale , Acre, » une dĂ©solation . – L’archĂ©ologue britannique Thomas Shaw en 1738 la Terre Sainte » VIDE, dĂ©solĂ©e et manquant de tout, qui manque d’habitants . – Le comte François Volney en 1785 » Nous avons du mal Ă  reconnaĂźtre JĂ©rusalem, on y compte environ 12 000 habitants. Le pays est dĂ©solĂ© et ruinĂ©. – Commentaires par des ChrĂ©tiens dans les annĂ©es 1800 » Les Arabes ne peuvent pas ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme autre chose que des rĂ©sidents temporaires. Ils ont placĂ©s leurs tentes dans un pays ruinĂ©. Ils n’ont rien créé en Terre Sainte. Puisqu’ils sont des Ă©trangers sur cette terre, ils ne sont jamais devenus ses maĂźtres. – Alphonse de Lamartine en 1832 Mis Ă  part Ă  JĂ©rusalem, il ne rencontra pas Ăąme qui vive et que la Terre d’IsraĂ«l Ă©tait » le tombeau de tout un peuple [les HĂ©breux] . – William Thackeray en 1844 » La rĂ©gion est abandonnĂ©e. Nous n’avons vu aucun animal se dĂ©placer parmi les pierres. – Alexandre Keith en 1844 » La Terre Sainte est arrivĂ©e Ă  l’état de dĂ©solation total dĂ©crit par les prophĂštes. – Le consul britannique en Terre d’IsraĂ«l, James Pinn en 1857 » Le pays est presque inhabitĂ©, il a grand besoin d’habitants. – Le cartographe britannique Arthur Penrhyn Stanley en 1862 » Ni signes de vie ni habitations en JudĂ©e, sur des distances entiĂšres. – Mark Twain en 1867 » Pas un seul village dans la VallĂ©e de JezrĂ©el, rien sur 30 miles dans les 2 sens. 2 ou 3 petits groupes de tentes bĂ©douines, mais pas une seule habitation permanente. On peut voyager pendant 10 miles sans rencontrer 10 ĂȘtres humains. DĂ©serts sans Ăąme qui vive, collines VIDES, ruine mĂ©lancolique de CapharnaĂŒm, stupide village de TibĂ©riade, enterrĂ© sous six palmiers. Nous arrivĂąmes Ă  Tabor sans rencontrer Ăąme qui vive tout au long du chemin. Nazareth est dĂ©solĂ©e, JĂ©richo est en ruine, BethlĂ©em et BĂ©thanie, dans leur pauvretĂ© et leur humiliation, ces endroits n’abritent pas une crĂ©ature vivante. Un pays dĂ©solĂ©, dont la terre serait peut-ĂȘtre assez riche si elle n’était abandonnĂ©e aux mauvaises herbes. Une Ă©tendue silencieuse, triste. À peine y a-t-il un arbre ou un arbuste, çà et lĂ  . MĂȘme les oliviers et les cactus, ces fidĂšles amis d’un sol sans valeur, ont quasiment dĂ©sertĂ© le pays. – Le consul amĂ©ricain Ă  JĂ©rusalem en 1880 rapporte que la rĂ©gion continuait son dĂ©clin » La population et la richesse de la » Palestine » n’a pas augmentĂ© pendant les 40 derniĂšres annĂ©es. – B. W. Johnson en 1892 » Dans la partie de la plaine entre le mont Carmel et Jaffa on voit Ă  peine quelques villages ou autres formes de vie humaine. Caesarea est maintenant entiĂšrement abandonnĂ©. La dĂ©solation est partout autour de nous. – Compte-rendu de la commission royale Britannique de 1913 » La rĂ©gion est sous-peuplĂ©e et est restĂ©e Ă©conomiquement stagnante jusqu’à l’arrivĂ©e des premiers pionniers sionistes dans vers la fin des annĂ©es 1880, qui sont venus pour reconstruire la terre juive. La route qui va de Gaza vers le nord n’est qu’une piste estivale tout juste bonne pour les chameaux et les charrettes. On ne voit ni bosquet d’orangers, ni verger, ni vigne, jusqu’à ce que l’on arrive en vue du village de YavnĂ©. Les maisons sont des torchis. Il n’existe pas d’écoles. La partie orientale en direction de la mer est quasiment dĂ©sertique. Les villages, dans cette rĂ©gion, sont rares et chichement peuplĂ©s. Beaucoup de villages sont dĂ©sertĂ©s par leurs habitants. – Dawood Barakat, Ă©diteur du journal Ă©gyptien Al-Ahram en 1914 » Les Sionistes sont nĂ©cessaires pour le pays l’argent qu’ils apporteront, leur connaissances, leur intelligence et l’industrialisation qui les caractĂ©rise contribueront sans aucun doute Ă  la rĂ©gĂ©nĂ©ration du pays. VoilĂ  pour le pays verdoyant et habitĂ© » envahi » par les Juifs. Fait historique sous la domination turque, la terre Ă©tait Ă  l’abandon et dĂ©peuplĂ©e. La terre s’est peuplĂ©e Ă  la fois de Juifs et d’Arabes car les Juifs sont revenus et ont commencĂ© Ă  la rĂ©habiliter. Une seule ville arabe fut construite en Terre d’IsraĂ«l Ramleh. Toutes les autres sont des villes juives rebaptisĂ©es par eux. L’historien suisse FĂ©lix Bovet notait en 1858 » C’est parce que les Arabes ne sont pas des autochtones qu’ils n’y construisent rien. LE MANDAT BRITANNIQUE AprĂšs la Grande Guerre, les Britanniques hĂ©ritĂšrent de ce morceau de l’Empire ottoman dĂ©fait. Beaucoup de citations de l’époque attestent que le pays Ă©tait dĂ©solĂ© et qu’il n’existait pas d’entitĂ© dite » palestinienne . – Hussein Al-Qibla, gardien des lieux saints en Arabie Saoudite en 1918 » Les ressources du pays et le sol vierge seront dĂ©veloppĂ©s par les immigrĂ©s juifs. [
] Nous avons vu les Juifs des pays Ă©trangers venir en » Palestine » de Russie, d’Allemagne, d’Autriche, d’Espagne, d’AmĂ©rique. [
] Ils ont su que le pays Ă©tait pour ses fils d’origine, [
] une patrie sacrĂ©e et aimĂ©e. Le retour de ces exilĂ©s Ă  leur patrie s’avĂ©rera matĂ©riellement et religieusement [ĂȘtre] une expĂ©rimentation pour leurs frĂšres [autres Juifs]. – Lewis French, le directeur britannique du dĂ©veloppement de la » Palestine » en 1931 » Nous l’avons trouvĂ©e [la » Palestine ] habitĂ©e par des Fellahs [agriculteurs arabes] qui vivent dans des taudis de boue et souffrent sĂ©vĂšrement de la malaria trĂšs rĂ©pandue. De grands secteurs Ă©taient non cultivĂ©s. [
] Il n’y avait presque aucune sĂ©curitĂ© publique, Les fellahs sont sans cesse soumis au pillage de leurs voisins nomades, les bĂ©douins. Voici une carte des divisions administratives de la rĂ©gion sous domination ottomane. La mention de » Palestine » n’apparait nulle-part. La Terre d’IsraĂ«l est divisĂ©e en trois secteurs, la Syrie Ă  l’est, Beyrouth au nord-ouest et JĂ©rusalem au sud-ouest. Le reprĂ©sentant arabe en » Palestine » dĂ©clara en 1919 » Nous considĂ©rons la » Palestine » comme faisant partie de la Syrie. Le dirigeant arabe en Terre d’IsraĂ«l Awni Bey Abdul Haadi dĂ©clara en 1937 » Il n’y a pas de pays tel que la » Palestine . » Palestine » est un terme que les Sionistes ont inventĂ©. Il n’y a pas de » Palestine » dans la Bible. Notre pays a fait partie de la Syrie pendant des siĂšcles. » Palestine » nous est aliĂšne, c’est les Sionistes qui l’ont introduits. Le professeur Philip Hitti, historien arabe, dĂ©clara en 1946 » Il n’y a pas de chose telle que la » Palestine » dans l’histoire, absolument pas. Le reprĂ©sentant du Haut ComitĂ© arabe aux Nations Unies dĂ©clara en 1947 » La » Palestine » fait partie de la province de Syrie. Les Arabes vivant en Palestine ne sont pas indĂ©pendants dans le sens qu’ils ne constituaient pas une entitĂ© distincte. Le reprĂ©sentant de l’Arabie Saoudite aux Nations Unies dĂ©clara en 1956 » C’est une connaissance gĂ©nĂ©rale que la » Palestine » n’est rien d’autre que la Syrie du sud. Le roi Hussein de Jordanie rĂ©pĂ©ta plus d’une fois » Il n’y a aucune distinction entre la Jordanie et la » Palestine . Hafez Assad ex-PrĂ©sident syrien dĂ©clara » Il n’y a pas de peuple » palestinien , il n’y a pas d’entitĂ© » palestienne . Ahmed Shuqeiri ex-prĂ©sident de l’OLP dĂ©clara » La » Palestine » ne fut jamais rien d’autre que la Syrie du sud. À cette Ă©poque, les Arabes ainsi que tout le monde n’ont jamais soulevĂ© la question d’un État » palestinien » car les Arabes eux-mĂȘmes n’exigeaient pas d’État pour un peuple qui n’existait PAS ! La » Palestine » n’a jamais constituĂ© un pays et le concept mĂȘme de » Palestine » n’existait pas dans l’Empire ottoman ! Le mot mĂȘme de » Palestine » ou mot Ă©quivalent dĂ©signant cette rĂ©gion n’était quasiment pas utilisĂ© chez les Turcs et les Arabes. Il n’y avait ni État ni peuple » palestinien . Les Arabes vivant en Terre d’IsraĂ«l se considĂ©raient comme Syriens ou Égyptiens. Une pseudo-nation créée le lendemain de la Guerre des Six jours » Pourquoi le soir du 4 juin 1967 j’étais Jordanien et le lendemain matin j’étais Palestinien ? » » Nous ne nous sommes pas en particulier occupĂ©s du rĂšgne jordanien. L’enseignement de la destruction de l’Israel Ă©tait une partie intĂ©grale du programme d’études. Nous nous sommes considĂ©rĂ©s » Jordaniens » jusqu’à ce que les Juifs soient revenus Ă  JĂ©rusalem. Alors soudainement nous Ă©tions des » Palestiniens 
 ils ont enlevĂ© l’étoile du drapeau jordanien et d’un coup nous avons eu un » drapeau palestinien . » Le fait est que les » Palestiniens » sont des immigrĂ©s des nations environnantes ! Mon grand-pĂšre avait l’habitude de nous dire que son village Ă©tait vide avant que son pĂšre ne s’y installe. Walid Shoebat, ancien terroriste islamiste de l’OLP, repenti et devenu sioniste chrĂ©tien Le drapeau Jordanien Le » drapeau palestinien » proposĂ© Zahir Muhsin, un ancien membre du comitĂ© exĂ©cutif de l’OLP et l’ancien commandant militaire de la mĂȘme organisation, dĂ©clara en mars 1977 au journal nĂ©erlandais Trouw » Il n’y a aucune diffĂ©rence entre les Jordaniens, les » Palestiniens , les Syriens et les Libanais. Nous faisons tous partie de la mĂȘme nation. C’est seulement pour des raisons politiques que nous soulignons soigneusement notre identitĂ© » palestinienne . L’existence d’une identitĂ© » palestinienne » distincte sert seulement un objectif tactique. La crĂ©ation d’un Ă©tat » palestinien » est un nouvel outil dans la bataille continue contre l’IsraĂ«l. Et encore en s’adressant Ă  un hebdomadaire pakistanais en 2006 » Le peuple » palestinien » n’existe pas. La crĂ©ation d’un État » palestinien » est seulement un moyen de continuer notre lutte contre l’État d’IsraĂ«l pour l’unitĂ© arabe. En rĂ©alitĂ© aujourd’hui il n’y a aucune diffĂ©rence entre les Jordaniens, les » Palestiniens , les Syriens et les Libanais. Seulement, pour des raisons politiques et tactiques, nous parlons aujourd’hui de l’existence des » Palestiniens » pour des intĂ©rĂȘts arabes exigeant la crĂ©ation d’un peuple » palestinien » pour nous opposer au sionisme. VĂ©ritĂ© historique le peuple » palestinien » et le pays » Palestine » n’existaient pas avant que les Arabes les inventent de toutes piĂšces pour Ă©ventuellement anĂ©antir IsraĂ«l. Cette affirmation peut sembler radicale, mais je vous conseille de lire l’article suivant Palestinians – » Peoplehood » Based on a Big Lie [Myths and Facts] Voici quelques passages sĂ©lectionnĂ©s » There is no age-old Palestinian people. Most so-called Palestinians are relative newcomers to the Land of Israel. Like a mantra, Arabs repeatedly claim that the Palestinians are a native people. The concept of a Stateless Palestinian people’ is not based on fact. It is a fabrication. Palestinian Arabs cast themselves as a native people in » Palestine » – like the Aborigines in Australia or Native Americans in America. They portray the Jews as European imperialists and colonizers. This is simply untrue. Aerial photographs taken by German aviators during World War I show an underdeveloped country composed mainly of primitive hamlets. Ashdod, for instance, was a cluster of mud dwellings, Haifa a fishing village. In 1934 alone, 30 000 Syrian Arabs from the Hauran moved across the northern frontier into Mandate Palestine, attracted by work in and around the newly built British port and the construction of other infrastructure projects. They even dubbed Haifa Um el-Amal » the city of work . The fallacy of Arab claims that most Palestinians were indigenous to Palestine – not newcomers – is also bolstered by a 1909 vintage photograph of Nablus, today an Arab city on the West Bank with over 121 000 residents. Based on the number of buildings in the photo taken from the base of Mount Gerizim, the population in 1909 – Muslim Arabs and Jewish Samaritans – could not have been greater than 2 000 residents. Family names of many Palestinians attest to their non-Palestinian origins. Just as Jews bear names like Berliner, Warsaw and Toledano, modern phone books in the Territories are filled with families named Elmisri Egyptian, Chalabi Syrian, Mugrabi North Africa. Even George Habash – the arch-terrorist and head of Black September – bears a name with origins in Abyssinia or Ethiopia, Habash in both Arabic and Hebrew. Palestinian nationality is an entity defined by its opposition to Zionism, and not its national aspirations. This point is admirably illustrated in the following historic incident » In 1926, Lord Plumer was appointed as the second High Commissioner of Palestine. The Arabs within the Mandate were infuriated when Plumer stood up for the Zionists’ national anthem Hatikva during ceremonies held in his honor when Plumer first visited Tel Aviv. When a delegation of Palestinian Arabs protested Plumer’s Zionist bias’, the High Commissioner asked the Arabs if he remained seated when their national anthem was played, wouldn’t you regard my behavior as most unmannerly ?’ Met by silence, Plumer asked By the way, have you got a national anthem ?’ When the delegation replied with chagrin that they did not, he snapped back, I think you had better get one as soon as possible’. » But it took the Palestinians more than 60 years to heed Plumer’s advice, adopting Anthem of the Intifada two decades after Israel took over the West Bank and Gaza in 1967 – at the beginning of the 1987 Intifada. Six dĂ©cennies aprĂšs la dĂ©claration d’indĂ©pendance d’IsraĂ«l, nous pourrions nous attendre Ă  ce que les Arabes arrĂȘtent de jouer les victimes qui se font dĂ©rober leurs terres, mais non, le mythe perdure. On nous rappelle sans cesse dans les mĂ©dias que les » colons » israĂ©liens » occupent » la JudĂ©e-Samarie, qu’ils volent la propriĂ©tĂ© des » Palestiniens » et qu’ils y construisent incessamment des nouvelles » colonies . En fait, de 1950 Ă  1967, plus de 250 colonies arabes ont Ă©tĂ© fondĂ©s en JudĂ©e-Samarie et de 1967 Ă  2002, 261 autres colonies furent fondĂ©es par les Arabes incluant JĂ©rusalem et Gaza. Durand cette seconde pĂ©riode, seulement 144 » colonies » juives ont Ă©tĂ© fondĂ©es incluant JĂ©rusalem et Gaza. À ce jour, les Arabes continuent toujours Ă  faire immigrer des milliers de colons en IsraĂ«l. En 1998, Yasser Arafat dĂ©clare » Dans 5 ans, nous aurons 6 millions d’Arabes vivant en » Cisjordanie » et Ă  JĂ©rusalem. Nous pouvons importer des Arabes. Le gouvernement israĂ©lien avoue avoir permis Ă  240 000 mais le nombre rĂ©el est probablement beaucoup plus Ă©levĂ© » travailleurs » arabes d’entrer dans les territoires depuis 1993, ces » travailleurs » sont restĂ©s dans les territoires et sont devenus des colons. Gaza ne comptait pas plus de 80 000 habitants » indigĂšnes » en 1951. Comment est-il possible qu’en seulement 54 ans la population ait augmentĂ© de 80 000 Ă  plus de 1 300 000 habitants ? Ces Arabes de Gaza sont-ils capables de procrĂ©er d’une maniĂšre surnaturelle ? L’immigration massive est la seule explication plausible pour une augmentation dĂ©mographique si forte. L’occupation arabe entre 1948 et 1967 Ă©tait une occasion avantageuse pour les chefs arabes. Ils favorisĂšrent l’immigration. Les immigrĂ©s venaient de chaque pays arabe, principalement l’Égypte, la Syrie, le Liban, l’Irak et la Jordanie. Il est impossible de connaĂźtre le nombre de colons arabes ayant immigrĂ©s en JudĂ©e-Samarie/Gaza depuis 1952, mais une chose reste certaine la majoritĂ© des » Palestiniens » n’ont aucun hĂ©ritage en » Palestine » avant la guerre d’indĂ©pendance d’IsraĂ«l et le reste ont, pour la grande majoritĂ© d’entre eux, aucune racine dans la rĂ©gion avant 1917, et la faible minoritĂ© restante n’en a aucune avant le 19e siĂšcle. La » Palestine » n’est qu’une rĂ©gion gĂ©ographique ; elle n’est ni un peuple, ni une nation, on ne peut donc en faire un État. Mis en ligne par Gally Page load link 70b6Wu.
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